Nantes. Échauffourées et voitures brûlées : les casseurs s’en donnent à cœur joie près des lycées de banlieues « sensibles »
Ce que l’extrême-gauche nantaise, toujours prompte à défendre ses dealers, appelle pudiquement des « refus lycéens de la réforme du bac » se transforme en réalité