Dans On n’est pas couché ce samedi 30 juin, Marlène Schiappa, secrétaire d’État (ayatollah ?) à l’Égalité, s’est retrouvée confrontée à l’acteur Jean-Claude Van Damme, peu connu pour manier la langue de bois.
Ce que l’on peut dire, c’est que le bon sens populaire de Van Damme, acteur apprécié pour ses films de série B qui ont donné l’envie à plusieurs générations de gamins de savoir se battre et de défendre la veuve et l’orphelin, a triomphé de l’Inquisition morale version Schiappa. Elle s’en est pris plein la tête avec humour, a terminé humiliée. Elle n’a trouvé pour se sortir du bourbier que de lui dire qu’il faisait du « mansplaining », c’est-à-dire interrompre une femme « pour lui expliquer qu’il sait mieux faire qu’elle des choses sur son propre domaine ».
Puis bien entendu, flic de la pensée oblige, le CSA a été saisi, pour voir si Jean-Claude Van Damme avait tenu des propos homophobes. Il a évoqué en rigolant le mariage de deux femmes, de deux hommes, de deux chiens…. Pourquoi pas le jeter en prison tant que nous y sommes ?
Il est désormais impossible de débattre face à Schiappa, comme face à des Belkacem et autres chiennes de garde hystérico-féministes. Tout comme il est impossible de débattre avec un individu de type caucasien, pourtant porteur d’un pénis, de deux testicules et d’une barbe, qui sort le plus naturellement du monde « je ne suis pas un homme » et « je ne suis pas blanc » sur un plateau de TV.
Asile psychiatrique. « Je ne suis pas un homme, je ne suis pas blanc » [Vidéo]
Impossible de débattre, puisque ces gens veulent se servir de la loi pour vous obliger à vous taire en public. Pour vous obliger à ne plus penser (et surtout pour y obliger vos enfants) qu’il existe des différences entre hommes et femmes. Qu’une société saine permet à des femmes de ne plus travailler pour pouvoir élever ses enfants (sacrilège !). Qu’une société harmonieuse est constituée de femmes féminines et d’hommes virils, et non pas de femmes à barbe et d’hommes en string (houlala, quels préjugés rétrogrades !).
Schiappa et ses chiens de garde gauchisto-féministe nous fatiguent, nous exaspèrent et nous inquiètent. Car les voir parader, à proximité du pouvoir et dans la lumière médiatique, rappelle les heures les plus sombres de l’Inquisition. Si nous les laissons faire sans réagir, ces gens n’hésiteront pas, il faut le savoir, à vous faire retirer un jour vos enfants à qui vous aurez eu le malheur d’acheter une poupée si c’est une fille, un robot si c’est un garçon. Ils n’hésiteront pas à vous retirer vos droits élémentaires si vous avez le malheur de défendre non pas la famille traditionnelle, mais le modèle familial qui a régi et qui régit encore aujourd’hui encore 98 % des individus sur cette planète, quelle que soit la race (bippppp mot interdit), l’ethnie, la religion.
Au nom de leur religion, Schiappa, les féministes, les LGBT (tout est lié, tout est ramifié, tout est à mettre dans le même sac et à amalgamer) seront vos nouveaux inquisiteurs et ils n’hésiteront pas à vous terroriser. Ils n’hésitent déjà pas, sous leurs traits de sainte nitouche, à vous vomir dessus à longueur de journée, vous les réacs, les fachos, les vieux cons. Bien entendu, on ne voit JAMAIS Marlène Schiappa débattre à La Courneuve ou dans le 9.3 avec des milliers de Jean-Claude Van Damme ethniquement ou religieusement différents. C’est sur les blancs réacs qu’il faut taper, les autres, on peut excuser leur attitude, car ils sont opprimés. (Ah, ok, d’accord…)
Vous ne verrez pas non plus les leaders LGBT ni Anne Hidalgo exiger l’instauration d’une Gay Pride à Sevran ou dans les quartiers dans lesquels l’Islam régit une partie de la conduite des citoyens. Pour Paris Intra Muros, les plumes dans le cul, la techno et les accoutrements façon Pédale Douce qui feraient devenir homophobe n’importe quelle personne normalement constituée et, pour Sevran, la loi islamique et les yeux grands fermés.
C’est cela la République de Schiappa, et avant elle de Belkacem. Cette République indifférenciée, ces Khmers roses, qui veulent vous faire disparaître à moyen terme, vous les hommes blancs (mais aussi les femmes blanches qui refusent le dogme féministe) qui osez raisonner encore parfois certes avec votre tête, mais aussi avec ce que vous avez dans le pantalon.
On aura l’air vraiment chouette, le jour où une bande d’individus Frankestein biberonnés par Schiappa et comparses, se sentant plus « courgettes cendrées à tendance bisexuelle » ou « saucissons binaires à tendance nanophile unijambiste » qu’hommes, se retrouveront majoritaires et gouvernés par des femmes hystériques, individualistes, frigides et revanchardes.
Un type de femmes bien évidemment incapables de se comporter de la même manière que des hommes dans l’adversité, ni physiquement de la même façon, et qui devront faire face avec des masses venues du monde entier, sans plume dans le cul, sans rêve de courgette rose trapéziste, et en ayant au préalable laissé à la maison tous ceux qui ne veulent pas se comporter comme des hommes.
Plus dure sera la chute. En attendant, chaque homme de ce pays a le devoir, dans sa famille, dans son foyer, de protéger ses enfants et de tout mettre en œuvre pour les préserver (y compris si nécessaire en les retirant d’un système éducatif qui voudrait leur inculquer des valeurs folles, y compris en s’installant dans des pays où la folie furieuse n’a pas encore frappé) du travail destructeur de Marlène Schiappa et des siens.
Bon maintenant Marlène, laisse-moi regarder tranquillement Kickboxer avec mon fils, pendant que ma fille a décidé de jouer à la maîtresse d’école dans sa chambre ! Ah au fait, ma femme opprimée vient de m’amener une bière fraiche pendant qu’elle prenait son chocolat du soir, et elle t’em… !
Julien Dir
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