Beaucoup de films qui semblent valoir le détour cette semaine, et notamment Action ou vérité, Comme des rois, Takara, Paul..On vous les présente ci-dessous :
Paul, Apôtre du Christ
D’Andrew Hyatt
Emprisonné par l’Empereur Neron, Paul se remémore les principaux moments de sa vie d’apôtre.
Comme des rois
De Xabi Molia
Joseph ne parvient pas à joindre les deux bouts. Sa petite entreprise d’escroquerie au porte-à-porte, dans laquelle il a embarqué son fils Micka, est sous pression depuis que le propriétaire de l’appartement où vit toute sa famille a choisi la manière forte pour récupérer les loyers en retard. Joseph a plus que jamais besoin de son fils, mais Micka rêve en secret d’une autre vie. Loin des arnaques, loin de son père…
Action ou vérité
De Jeff Wadlow
Un simple jeu innocent d’Action ou Vérité entre amis se transforme en cauchemar sanglant quand quelqu’un – ou quelque chose – commence à punir ceux qui mentent – ou refusent de jouer.
La révolution silencieuse
de Lars Kraume
Allemagne de l’est, 1956. Kurt, Theo et Lena ont 18 ans et s’apprêtent à passer le bac. Avec leurs camarades, ils décident de faire une minute de silence en classe, en hommage aux révolutionnaires hongrois durement réprimés par l’armée soviétique.
Otages à Entebbe
De José Padilha
1976, un vol Air France de Tel Aviv pour Paris est détourné sur Entebbe, en Ouganda.Les faits qui s’y sont déroulés ont changé le cours de l’histoire.
Takara, la nuit où j’ai nagé
Les montagnes enneigées du Japon. Comme chaque nuit, un poissonnier part travailler au marché en ville. Takara, son fils de six ans, n’arrive pas à se rendormir. Dans la maison silencieuse, le petit garçon dessine un poisson sur une feuille qu’il glisse dans son cartable.
Nous sommes l’humanité
D’Alexandre Dereims
Quelque part sur notre planète, il existence un endroit caché qui est resté isolé du reste du monde jusqu’à aujourd’hui. Le dernier paradis encore intact où les premiers humains vivent toujours au commencement de l’humanité. Ils s’appellent les Jarawas.
Nous, les intranquilles
De Nicolas Contant
Au centre Artaud, le groupe cinéma du centre raconte la maladie, la thérapie, leur rapport au monde. Après un premier geste documentaire, le film devient participatif et met en scène son élaboration en collectif. Les personnages cherchent à donner une image humaine de la folie. Ils s’amusent des idées reçues pour mieux les subvertir. En s’emparant ensemble du projet artistique, ils montrent qu’un autre monde est possible.
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