07/11/2017 – 12H45 Quimper(Breizh-info.com) – Ce Samedi aux Halles Saint François avait lieu, à l’initiative des associations Quimper Résistance et RéAgir, une conférence d’Alain de Peretti, vétérinaire et président de l’association Vigilance Halal ayant pour but d’informer sur cette pratique barbare arrivée jusqu’à nous dans les valises des nouveaux colonisateurs et qui tend malheureusement à devenir une norme courante dans notre société malade et aveugle.
Après une présentation rapide des différentes personnalités présentes à la tribune dont Catherine Blein, ancienne conseillère régionale Front National désormais sans étiquette suite à des propos jugés « incorrects » par la direction du parti ; Alain Delgrange président de Quimper Résistance et Claudine Dupont-Tingaud présidente de RéAgir , la parole fut donnée à Alain de Peretti. Pendant environ 3 heures, il allait développer devant un auditoire d’une cinquantaine de personnes, la souffrance animale liée à l’abattage Halal, les dangers sanitaires qui en découlent et les enjeux religieux et idéologiques qui vont de pair avec cette pratique.
Aidé d’un diaporama, c’est en décrivant les techniques propres à cet abattage rituel, imposant que l’animal soit encore vivant au moment de la saignée qu’il ouvrit son propos. Les images valant souvent mieux que de longs discours, il n’était qu’à voir les mines de dégout sur le visage des participants pour prendre la mesure de cette méthode d’abattage.
Cette « technique » répondant à de bien mystérieux interdits religieux fait preuve d’une cruauté et d’un mépris sans égal à l’égard des animaux sacrifiés, qui comme bon nombre de récentes études l’ont montré restent parfois vivants après le premier égorgement, souffrant ainsi de longues minutes avant que le couteau du boucher ne parvienne à les faire passer de vie à trépas.
« Non seulement la méthode est barbare et plus que contestable mais les conditions dans lesquelles est pratiqué ce type d’abattage soulèvent aussi des questions fondamentales d’hygiène et de santé publique » explique l’orateur. Tel est donc en toute logique, le point abordé par le conférencier en seconde partie.
Mettant en parallèle les techniques d’abattages dites « d’étourdissement », les procédures utilisées, l’attention constante à maintenir dans des abattoirs dignes de ce nom la propreté des lieux comme du matériel utilisé et celles des abattoirs Halal ; il fut aisé de constater pour le public présent et sans que de grandes connaissances médicales ou scientifiques soient nécessaire, que la seconde méthode induisait de façon systématique des risques majeurs d’infection de la viande. Matériel non nettoyé, cadavres traînés au sol dans le sang, les excréments, les vecteurs de propagation de maladie sont nombreux et les risques de contaminations de la viande optimaux.
« L’augmentation des alertes sanitaires et des intoxications par le biais de viande animale sont en augmentation constante sous nos latitudes et les citoyens que nous sommes subissons l’aveuglement et la tolérance coupable dont font preuves nos gouvernements respectifs à l’égard de cette pratique religieuse pourtant bien éloignée d’une laïcité érigée en tant que valeur cardinale.» explique Alain de Peretti.
Que cache réellement cet abattage rituel ? Pourquoi ce silence des pouvoirs publics ? Pourquoi cet omerta sur le nombre réel des abattoirs dits halal ? Il serait intéressant de se pencher sur la destination réelle de la « taxe » que doivent payer ceux qui souscrivent à ce type d’abattage …
« Il est maintenant prouvé et admis qu’une bonne partie sert après avoir circulé aux quatre coins du monde à financer la propagation de l’Islam et le financement de la guerre de conquête qui est la sienne.» affirme l’orateur. N’y aurait-il pas par ailleurs certaines faveurs accordées à des responsables politiques afin d’acheter leur silence ? La question est ouverte/
L’orateur finira sa conférence en évoquant l’impérative nécessité de ce combat contre le halal, les difficultés rencontrées dans les procédures judiciaires engagées, la nécessité d’aider les associations comme « Vigilance Halal », « Traditions, Terroirs et Ruralité » mais aussi en présentant la démarche engagée en recensant les abattoirs ne pratiquant pas l’abattage rituel qui s’accompagne d’un démarchage auprès des bouchers afin qu’ils adhérèrent à une forme de charte pour garantir aux consommateurs que leur viande n’est pas issue d’abattage confessionnel.
Emporté par son élan, Alain de Peretti aurait sans aucun doute su captiver son auditoire pendant quelques heures supplémentaires mais la salle devant être rendue, c’est par un intéressant échange avec le public et la signature de son ouvrage « Vérités sur la viande Halal » que s’acheva cette passionnante conférence.
Yannig Berthelot
Crédit photo : breizh-info.com
Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine.
4 réponses à “Quimper. Abattage halal : « la méthode est barbare et plus que contestable »”
Si ce pays avait de vrais dirigeants ça s’arrêterait tout de suite cette histoire de viande halal…mais voilà , il ne faut pas déplaire aux musulmans … et tout ça n’est qu’ une question d’argent …ils sont où les défenseurs des animaux ?
Toutes les viandes devraient indiquer le nom de l’abattoir et si il est normal ou halal.
et de plus, illégale puisque sans étourdissement !!!! Ce qui se passe en France en faveur du hallal et du casher est une honte finie !!!!! tant qu’à avoir sur notre sol des consommateurs de ce type de viande, eh bien que les animaux soient abattus dans les pays qui pratiquent se mode là, puis congelée et expédiée dans les pays où il y a des consommateurs qui l’achèteront congelée, les horreurs n’auront pas lieu dans nos structures d’abattage et nous ne paierons rien du tout aux religieux de ces deux religions. IL Y EN A MARRE !!!!!!!
je partage le commentaire de Françoise Giraud : abattage non conforme à la loi française doit être importée congelée. Toutefois n’oublions pas le cascher des juifs… et malheureusement je pense que c’est ce qui fait accepter le hallal par les autorités. Les défenseurs des animaux ont aussi leur responsabilité de même que les éleveurs qui abandonnent des animaux qu’ils ont élevé avec soin à ces abattoirs cruels. Les bouchers aussi ont la responsabilité d’acheter à ces abattoirs sans renseigner leur clientèle. Et enfin nous-même achetons notre nourriture sans trop nous informer sur sa provenance. Tous responsables,TOUS COUPABLES de la souffrance des animaux qui meurent pour nous nourrir. Précision j’aime la viande mais je suis de plus en plus culpabilisée en faisant mes achats, je n’ai jamais acheté de cheval et j’ai écarté les « bébés » veaux, agneaux, chevreaux, etc.
Anne-Marie Saliou