02/03/2016 – 04h45 Bruxelles (Breizh-info.com) – Des « experts » du Conseil de l’Europe ont publié cette semaine un rapport déplorant (est-ce le rôle d’un expert que de déplorer ?) la « banalisation du discours raciste en France ». « Le discours de haine, de par sa banalisation dans la sphère publique, demeure un sujet de préoccupation », a commenté le secrétaire général de l’organisation, Thorbjorn Jagland avant d’intimer aux responsables politiques de « cesser de tenir des propos qui stigmatisent des groupes déjà vulnérables et attisent les tensions dans la société française ».
C’est ce même « Conseil de l’Europe » qui avait déploré la fermeture des frontières et prôné l’invasion migratoire, stigmatisant les pays d’Europe centrale qui s’affirment pourtant comme les derniers remparts avant un chaos potentiel.
Le Conseil de l’Europe est une institution séparée de l’Union européenne. Il a été créé par le traité de Londres du 5 mai 1949, signé par dix États (Belgique, Danemark, France, Irlande, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède). Les pays de l’Est et de l’Europe centrale n’en font pas partie.
Ses objectifs principaux sont :
- de défendre les droits de l’homme et la prééminence du droit ;
- de rechercher des solutions aux problèmes de société ;
- de développer la stabilité démocratique en Europe ;
- de favoriser la prise de conscience et la mise en valeur de l’identité culturelle de l’Europe et de sa diversité.
Le Conseil de l’Europe siège à Strasbourg, au Palais de l’Europe. Il se compose :
- d’un comité des ministres rassemblant les ministres des Affaires étrangères des États membres ou leurs représentants permanents. C’est l’instance de décision du Conseil ;
- d’une assemblée parlementaire dont les membres sont désignés par les parlements nationaux ;
- d’un secrétaire général, élu par l’Assemblée parlementaire pour cinq ans, qui coordonne les activités du Conseil ;
- du congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l’Europe, organe consultatif, représentant les collectivités locales.
Il s’agit en résumé d’une institution sans lien avec la réalité de la composition des peuples de l’Union européenne, puisqu’elle ne représente que dix Etats sur les ving-huit qui composent l’UE. D’autre part, les citoyens de l’Europe n’ont pas leur mot à dire sur la composition de ses différentes institutions, formées simplement de représentants élus ou choisis par quelques Assemblées elles-mêmes déjà élues. Une institution qui, en 2007, avait toutefois un budget de 197 millions d’euros alloué par les gouvernants des dix pays membres, c’est à dire par les citoyens.
L’Union européenne, en pleine dislocation, incapable de trouver des remèdes de choc à l’invasion migratoire, semble se lancer à corps perdu – épaulée par des « commissaires » et autres « experts » non élus, dans la bataille « des droits de l’homme » et de l’universalisme ; au détriment, bien souvent, du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
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3 réponses à “Invasion migratoire. Le Conseil de l’Europe joue la carte de la lutte contre le racisme”
encore une sangsue posée sur l’Europe enfin une partie , qu’attends -t’on pour virer tout ce beau monde qui je le constate ne sert absolument à rien sauf a nous couter 197 millions d’euros cette année encore …….
Le racisme a bon dos quand les peuples ne peuvent dire leur inquiétude vis à vis de l’islam !! Le racisme est une question de race et non de religion !! Chacun a le droit de ne pas aimer ce qui ne lui convient pas !! On choisit ses amis et on exècre ses ennemis !! Pour ce début de siècle c’est Daesh et tous ces groupes islamistes qui stigmatisent les peuples européens avec leur religion et non l’inverse !! Nous, PEUPLE européen, avons des phobies qui sont plus recevables que ce que nos dirigeants incapables qui sont protégés de toute part sont incapables de s’imaginer !! L’invasion migratoire n’est pas là pour rassurer le peuple surtouts quand les lois sont toujours du côté de nos ennemis !!
A Rome,fais comme les Romains.si ma femme va avec moi sur terre d’Islam,elle mettra un foulard et je renoncerai au Beaujolais.Si une islamiste et son mari débarquent en Grèce, qu’ils acceptent de manger du porc,que la femme montre ses cheveux et son visage et qu’ils n’exigent pas la construction d’une mosquée de campagne pour prier Allah pas plus qu’ils n’accepteraient dans leur pays d’origine la construction d’une chapelle chrétienne. Nous accueillerons plus facilement les réfugiés non européens si ils acceptent nos usages.