Alors que le débat sur l’immigration en Europe reste plus brûlant que jamais, une nouvelle étude révélée par le Daily Mail vient confirmer une tendance que les autorités britanniques peinent à reconnaître officiellement : certains groupes de migrants, notamment originaires d’Afrique ou du Moyen-Orient, sont massivement surreprésentés dans les arrestations liées aux crimes sexuels au Royaume-Uni.
Une surreprésentation flagrante
Selon les données obtenues par des demandes d’accès à l’information auprès des différentes forces de police d’Angleterre et du Pays de Galles, plus de 8 500 étrangers ont été arrêtés pour viol ou autres délits sexuels au cours des douze derniers mois. Cela représente près d’un cinquième des 44 000 arrestations effectuées pour ce type de crimes, alors que les personnes nées à l’étranger ne représentent que 16,8 % de la population britannique selon le recensement de 2021.
Encore plus inquiétant, ces statistiques n’incluent pas les binationaux ou les individus issus de la deuxième ou troisième génération de l’immigration, ce qui signifie que l’impact réel de l’immigration sur la délinquance sexuelle pourrait être bien supérieur à ce que ces chiffres indiquent.
Des nationalités surreprésentées
Le rapport met en évidence des différences considérables selon les origines nationales. Ainsi, les migrants originaires du Soudan présentent un taux d’arrestation pour crimes sexuels de 1 200 pour 100 000 habitants, contre 55 pour 100 000 chez les Britanniques. Autrement dit, ils sont plus de vingt fois plus susceptibles d’être arrêtés pour ce type de délits.
Les Afghans arrivent en deuxième position avec un taux de 1 009 arrestations pour 100 000 personnes, suivis des ressortissants d’Érythrée, d’Iran et d’Irak. À l’inverse, les Canadiens et les Allemands présentent des taux très bas (respectivement 37 et 32 pour 100 000).
Si l’on appliquait les taux soudanais à l’ensemble de la population britannique, le pays connaîtrait l’équivalent de 500 000 arrestations pour infractions sexuelles.
Une alerte sécuritaire ignorée ?
Face à ces chiffres, Robert Jenrick, député conservateur et ex-secrétaire d’État à la Justice, a réagi en affirmant : « Non seulement l’immigration massive nous appauvrit, mais elle nous rend aussi considérablement moins sûrs. » Il appelle à une réduction drastique de l’immigration et à une réforme du système de filtrage des entrants.
Selon lui, il est irresponsable de continuer à accueillir des ressortissants de pays « dont les cultures véhiculent des visions archaïques du rôle des femmes ». Il préconise que la sécurité des femmes britanniques passe avant toute autre considération idéologique.
Un choix politique du silence
Malgré ces chiffres préoccupants, le gouvernement britannique refuse pour l’instant de publier des données complètes sur l’origine ethnique et l’historique migratoire des auteurs de crimes, à la différence de pays comme le Danemark, qui assument une politique de transparence.
Rob Bates, directeur de recherche au Centre for Migration Control, s’étonne : « La police collecte ces données. Elles sont capitales pour améliorer notre politique migratoire. Pourtant, on choisit sciemment de les ignorer. »
En clair, le Royaume-Uni, à l’instar de la France, fait face à une dissonance entre réalité criminologique et discours officiel. Et dans ce silence, les victimes sont nombreuses, mais rarement médiatisées, surtout lorsque les auteurs sont issus de l’immigration récente.
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3 réponses à “Royaume-Uni. Les migrants soudanais et afghans surreprésentés dans les arrestations pour crimes sexuels”
Quand on importe le tiers monde on le devient
OUI, contrairement à ce que l’on s’imagine, la réalité est tout autre !!!
Et comme d’aucuns le savent, la presse, comme tous les organes du gouvernement, ont ordre de ne rien dire, de ne rien révéler. Et quant aux statistiques, elles sont manipulées …
Bref, il ne faut pas se leurrer : A laisser les portes du pays béantes, à ne rien révéler et au contraire à abreuver les populations de mensonges, et à se taire au-devant du deferlement humain qui nous inonde, le choix du silence conduit à notre perte et la disparition de notre race.
Bientôt la fin du monde occidentale si les « vrais européens » ne se réveillent pas.