À Monfalcone, municipalité de 30.000 habitants dans le nord de la péninsule, le premier parti islamiste du pays s’est présenté aux élections. Si le vote s’est soldé par un fiasco monumental, la commune est encore au cœur de l’information.
Petite ville du Nord dans la province de Gorizia, Monfalcone concentre le plus haut pourcentage d’immigrés résidents d’Italie, ils représentent 34 % des habitants. Bengali en tête, ils ont été attirés pendant deux décennies par les promesses d’embauche de Fincantieri, un immense chantier naval. Les problématiques de cohabitation avec la population locale se succèdent – démantèlement d’une cellule terroriste, fermetures de mosquées illégales, crèches détruites etc – avec toujours en arrière-fond la réalité d’une impossible intégration : impossible car elle n’est pas voulue.
Dans les écoles de la ville, le pourcentage d’élèves d’origine étrangère s’élève à 64%, et dans certaines classes il culmine à 90%. Les filles sont autorisées à assister aux cours en burka leur recouvrant totalement le visage.

23/12/23 : 8 000 musulmans défilaient pour s’opposer à la fermeture des centres culturels passés pour mosquées (et recevant à ce titre des subventions étatiques).
Le communautarisme s’est cimenté autour de la religion de Mahomet. Une réalité illustrée aux récentes élections municipales qui ont eu lieu dimanche et lundi derniers, où une liste ouvertement musulmane s’est présentée. Des 19 candidats d’ « Italia plurale », aucun n’est d’origine italienne et le parti compte seulement une femme. Il est composé d’Asiatiques et d’Africains naturalisés, comme à vouloir dire « tout sauf Italiens ». Le candidat à la charge de maire de Monfalcone est un ingénieur provenant du Sénégal, Bou Konate, ex-adjoint aux travaux publics et président d’un centre de prière. Dans cet extrait d’un reportage sur la fermeture de mosquées illégales, il refusait de parler avec une femme journaliste arguant qu’elle était « trop petite ».
Le parti est soutenu par le fameux Aboubakar Soumahoro, l’Ivoirien au cœur d’un vaste scandale de détournement de fonds et de mauvais traitement des migrants qui milite désormais à l’Assemblée nationale pour rendre fériée la fête de fin de Ramadan.
Mais le programme assez flou du parti islamiste n’a recueilli que 2,9% de consensus (343 voix), consacrant une victoire écrasante du parti le plus anti-immigrationiste de la région, la Lega, le candidat Luca Fasan s’imposant avec 70,9% (8272 voix). Dans une note publiée sur les réseaux, Soumahoro a déclaré que cet échec n’était qu’une première étape :
« Aujourd’hui à Monfalcone, nous avons dit à toutes et à tous qu’il n’est pas nécessaire de déléguer ses instances à d’autres pour être acceptés et légitimés. Aujourd’hui, à Monfalcone, nous avons allumé une petite lumière qui, inarrêtable, traversera toute l’Italie et réveillera l’espérance en toutes et chacun.«
Bref, pas besoin des Italiens pour gérer nos affaires.
Pour Antonio Polito, journaliste à Il corriere della Sera, quotidien d’envergure nationale pourtant favorable au multiculturalisme, la création du premier parti islamique du pays marque « la fin d’une démocratie qui ne se divise plus sur la base des idéaux et des programmes, mais de l’origine ethnique et de la foi. »
Audrey D’Aguanno
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6 réponses à “Italie : le premier parti islamiste du pays se présente aux élections municipales”
Quand ils seront devenus majoritaires dans leur ville, il n’y aura pas d’élection, ils imposeront leur religion à tout le monde. Même chose chez nous mais à l’échelle régionale et bientôt nationale.
D’abord il est certain qu’à laisser les portes de nos frontières entrebaillées, on s’enrhume…
Ceci dit, ne fusse que la photo parle d’elle-même : Pas une seule tête de « Blanc ». Et, faut-il le rappeler, on est en Italie …
De ce fait, je pose une question idiote : Comment peut-on laisser faire des assassins de race blanche nationaux, qui systematiquement cherchent à détruire la race Blanche et instaurer, par la recrudescence des invasions humaines non désirées, un meli-melo culturel profondément revanchard et raciste ?
Il faut comprendre qu’un jour ça finira par un face à face, sinon, à l’instar de la chute de l’empire romain d’occident notre civilisation finira par disparaitre. C’est une guerre d’une main d’acier dans un gant de velurs qui est livrée à l’occident qui s’affaiblit peu à peu à cause de ses lois humanitaires qui partent d’un bon principe de liberté, d’égalité et de fraternité mais tout ça n’est qu’une utopie, tout comme le communisme. L’humanité se croit au sommet de la chaîne alimentaire mais au final ne nous sommes que des animaux marchant sur deux pattes et un petit peu plus évolués que les autre animaux, mais dans cette jungle qu’est devenu notre monde,après le coucher du soleil le lion nous mangera.
Un Cauchemar déjà accompli en Angleterre et bientôt ici même en France, Si on laisse faire ce sera alors un Raz de Marée qui balayera Tout …
Nos Fausses « Zélites » complices n’intègrent pas que L’islam N’est pas seulement une religion mais que c’est aussi et principalement un système politique, la religion n’étant qu’un cheval de Troie permettant de s’emparer du Pouvoir Politique…
Lisez Houelbecq, « Soumission », c’est la lâcheté de nos élites qui combinée à celle de la majorité silencieuse et de la jeunesse mondialiste qui sonnera le glas de la france et de l’europe.
Vous pouvez rêver, espérer, prier, mais pour ma part, c’est foutu, plié, sauf déflagration mondiale. Faut-il la souhaiter ???….
J’ai vécu au début des années 80 à Monfalcone, avec mon mari et nos enfants.
Il n’y avait pas 1 immigré, pas 1.
Le seul restaurant exotique était en campagne sur la route de Trieste tenu par un Blanc sympathique qui parlait français et sa femme vietnamienne qui faisait de la bonne cuisine viet. C’était un petit restaurant.
Je suis si triste de voir ce qu’est devenue l’Europe à cause de l’UE corrompue et des politicars vendus pour l’immigrationnisme.
La vie dans le Frioul était douce et tranquille.
L’Italie du nord était paisible et propre.
Je suis dans colère froide . Quel gâchis civilisationel et pour l’avenir de la génération de mes petits-enfants.
Une de mes petits-enfants est partie après ses études et travaille en Australie.