Le Royaume-Uni a récemment interdit les bloqueurs de puberté, tandis que plusieurs pays européens prennent progressivement leurs distances avec ces traitements destinés aux mineurs. Aux États-Unis, en revanche, le débat demeure explosif, entre défenseurs des interventions médicales et législateurs cherchant à en limiter l’accès. Comment expliquer un tel fossé entre les deux rives de l’Atlantique ? Que disent réellement les études scientifiques sur ces traitements et les effets à long terme sur les enfants concernés ?
Dans un nouvel épisode d’American Thought Leaders, Leor Sapir, chercheur au Manhattan Institute, décrypte les mécanismes qui ont permis l’émergence d’un consensus médical artificiel en faveur de la transition de genre des mineurs. Il met en lumière les conflits d’intérêts, la suppression de données et les pressions politiques qui ont contribué à façonner une doctrine aujourd’hui contestée dans plusieurs pays occidentaux.
L’émission revient également sur la bataille judiciaire en cours aux États-Unis, où la Cour suprême pourrait bientôt trancher sur la légalité des interdictions de ces traitements. Une décision qui pourrait redéfinir en profondeur la gestion de la dysphorie de genre chez les mineurs et entraîner un basculement des politiques publiques sur ce sujet sensible.
Dans cet entretien avec Jan Jekielek, Leor Sapir apporte un éclairage essentiel sur ce débat, entre enjeux scientifiques, éthiques et politiques.
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2 réponses à “Transition de genre, bloqueurs de puberté et traitements médicaux : Big Pharma derrière tout ça ?”
les médicaments sont de plus en plus agressifs, tout est fait pour détruire la santé ( nouvel Ordre mondial, Soros Gates) il faut que les humains reprennent le contrôle de leur santé ! si quelques bombes pouvaient s’égarer et tomber sur certains labos, ce serait un grand service au monde !
Big Pharma derrière tout ça ….
Et s’il n’y avait que sur ce sujet ….
N’avez vous pas remarqué cette campagne tous azimuts sur le surpoids et l’obésité ?
A coup sur une telle campagne doit apporter une solution et BigPharma l’aura avec une nouvelle molécule « innovante » afin de contrebalancer les effets de la malbouffe