Soutenir le journal Frontières, c’est défendre la liberté de la presse face à la tyrannie judiciaire

L’État et sa justice aux ordres viennent une nouvelle fois de démontrer leur vrai visage : celui d’un régime liberticide, prêt à tout pour museler les médias qui ne chantent pas en chœur avec l’idéologie dominante. Cette fois, c’est le journal Frontières, dirigé par Erik Tegnér, qui est pris pour cible. Son crime ? Avoir enquêté sur les dérives financières de la justice migratoire, et surtout, avoir eu raison trop tôt et trop fort.

En face, le rouleau compresseur judiciaire et politique s’est immédiatement mis en branle : procédures à répétition, menaces de procès, pressions bancaires et administratives, interventions du Conseil d’État et même du ministre de la Justice lui-même, Gérald Darmanin. Si Frontières avait sorti la même enquête, mais avec un prisme gauchiste (par exemple, de manière très « originale » sur l’extrême droite en France), il aurait été encensé par les médias de grand chemin et récompensé d’un prix Albert Londres. Mais en France, le journalisme d’investigation n’est toléré que lorsqu’il va dans le bon sens, c’est-à-dire celui des élites, des minorités protégées et du dogme pro-immigration.

Quand la vérité dérange, l’État réprime

Le scandale n’est pas tant dans les révélations de Frontières – qui ne font que confirmer ce que beaucoup savent déjà sur le détournement massif de l’argent public au profit du business migratoire – mais bien dans la réaction des institutions. L’État ne se contente plus d’ignorer ces enquêtes, il attaque frontalement.

En s’en prenant à Frontières, le pouvoir en place montre sa fébrilité, sa panique. Un ministre de la Justice qui s’abaisse à commenter un journal d’opposition, un Conseil d’État qui se mêle de censure médiatique… Voilà des signes qui ne trompent pas : Frontières a visé juste, et ça fait mal.

La cabale médiatique et judiciaire contre un média de droite assumé

Tout le monde le sait : si une rédaction de gauche comme Mediapart sortait une enquête du même calibre, tout le gratin politico-médiatique crierait au courage journalistique, au droit de savoir, à l’indispensable liberté d’informer. Mais quand un journal de droite mène ce travail d’investigation, il devient une cible à abattre.

Les méthodes utilisées contre Frontières rappellent les pires régimes totalitaires :

  • Intimidation judiciaire pour épuiser les journalistes et les contraindre à l’autocensure.
  • Pression financière pour les asphyxier et les empêcher de continuer leur travail.
  • Dénonciation publique orchestrée par le gouvernement et les relais médiatiques complices pour les diaboliser.

Il ne s’agit plus de simples désaccords idéologiques. C’est une guerre ouverte contre les médias qui dérangent.

S’abonner à Frontières, c’est résister !

La seule réponse face à cette offensive contre la liberté de la presse, c’est la solidarité. Nous devons être nombreux à soutenir Frontières, non seulement pour leur permettre de continuer à enquêter, mais aussi pour envoyer un message clair au pouvoir : nous ne nous laisserons pas réduire au silence.

Nous appelons tous les lecteurs de Breizh-Info et tous les amoureux de la liberté à :

Soutenir financièrement Frontières via leurs campagnes de dons.
S’abonner massivement pour renforcer leur indépendance et leur donner les moyens de poursuivre leur travail.
Faire circuler leurs enquêtes, car c’est en diffusant la vérité que nous combattons la propagande d’État.

Ne soyons pas naïfs : l’État ne s’arrêtera pas à Frontières. Demain, ce sera un autre média, une autre enquête, un autre journaliste. Si nous ne réagissons pas maintenant, c’est toute la presse libre qui sera étouffée. L’heure est à la mobilisation.

Face aux tyrans, soutenons les journalistes qui disent la vérité. Pour vous abonner, c’est ici

Yann Vallerie

 Crédit photo : DR
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