Pour la dissolution de l’Université de Rennes 2 : halte au naufrage universitaire ! [L’Agora]

Chaque année, des millions d’euros de l’argent du contribuable sont engloutis dans des filières sans avenir, dans des campus gangrenés par l’idéologie gauchiste, dans des bastions d’agitations permanentes où l’on forme bien plus de futurs chômeurs que de professionnels compétents. Il est temps de poser la question qui fâche : pourquoi continuons-nous à financer des universités qui ne remplissent plus leur rôle premier, celui d’instruire et de former à des métiers utiles ?

Parmi ces trous noirs budgétaires, une se distingue particulièrement : Rennes 2, symbole absolu du naufrage universitaire français. Cet établissement n’est plus une université mais une ZAD subventionnée, où la pensée unique s’impose par la force, où le débat intellectuel est remplacé par le dogmatisme, et où chaque année, des centaines de diplômés en sociologie, sciences de l’éducation, psychologie, histoire de l’art et autres filières sans débouchés s’ajoutent aux cohortes des précaires, des militants sans cause et des futurs employés de fast-food.

Une université hors de tout contrôle

On pourrait au moins se dire que Rennes 2 offre un cadre propice aux études. Il n’en est rien. Grèves à répétition, blocages incessants, occupations de locaux, intimidations contre les étudiants identifiés à droite… Cette université n’est plus un lieu de savoir mais un laboratoire de l’extrême-gauche radicale, où l’on apprend davantage à ériger des barricades qu’à structurer une pensée critique.

Les épisodes de violence y sont devenus la norme. Menaces, agressions, censure idéologique, les étudiants qui osent exprimer des idées non conformes au dogme dominant sont ostracisés, voire physiquement pris à partie. Rennes 2 est devenue une zone de non-droit où les professeurs bien-pensants et la direction ferment les yeux sur la radicalisation croissante d’une partie des étudiants, tout en continuant à réclamer plus de financements.

Et pendant ce temps, l’État continue de dilapider l’argent public pour maintenir ces bastions idéologiques à flot. 12 250 euros par étudiant : c’est le coût annuel de la formation universitaire en France, payé en grande partie par la collectivité. Dans une université où étudier est devenu mission impossible, où les diplômes obtenus sont aussi utiles qu’un ticket de métro composté, cette dépense est un non-sens absolu.

Stopper le gaspillage, réorienter les financements

L’argent public n’a pas vocation à financer l’endoctrinement. Il est temps de cesser tout financement aux établissements où il devient impossible d’étudier et où la seule finalité est de produire des bataillons de manifestants pour les prochaines grèves de la CGT ou de Sud Éducation. L’État n’a pas à payer pour des formations qui ne débouchent sur aucun emploi viable, hormis des postes subventionnés par les collectivités elles-mêmes.

Les 40,3 milliards d’euros dépensés chaque année pour l’enseignement supérieur devraient être réorientés vers des filières stratégiques : ingénierie, santé, artisanat, agriculture, numérique… bref, vers des formations qui répondent aux besoins du pays, et non vers des usines à agitation. Former des sociologues gauchistes supplémentaires ne réduira pas la pénurie d’infirmiers, d’ingénieurs ou de techniciens.

Pendant que Rennes 2 continue son cirque et réclame toujours plus d’argent, les contribuables voient leurs impôts partir dans un puits sans fond.

La solution : fermeture immédiate des universités inutiles

L’Université de Rennes 2 doit être dissoute. Et avec elle, toutes les universités qui, au lieu de former des professionnels, produisent des diplômés sans avenir, des assistés et des militants.

Si une université devient un champ de bataille idéologique permanent, si elle ne sert plus qu’à fabriquer du ressentiment, alors elle n’a plus de raison d’exister. La dissolution de Rennes 2 doit être le premier acte d’une reconquête du supérieur. Assez de ces bastions gauchistes financés par l’argent du contribuable ! Place à des formations utiles, exigeantes, adaptées aux besoins réels de la société.

La France n’a pas besoin de nouveaux sociologues décroissants ou d’étudiants en « études de genre ». Elle a besoin de médecins, d’ingénieurs, de chercheurs, de bâtisseurs. Il est grand temps d’en finir avec ces filières de l’inutile, et avec elles, les usines à chômeurs et à agitateurs que sont devenues certaines universités.

Marc Dufresne

Crédit photo : DR

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3 réponses à “Pour la dissolution de l’Université de Rennes 2 : halte au naufrage universitaire ! [L’Agora]”

  1. Miroir dit :

    La pensée unique critique la pensée unique… La poutre panique face à la paille.

  2. loic ruello dit :

    filière inutile usine a chomeur : c’est assez bien résumé😆 !

  3. Etienne François BOUTONNET dit :

    Tout à fait d’accord !

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