La grande supercherie républicaine n’a que trop duré. Chaque année, les débats sur le droit du sol et l’immigration occupent les plateaux de télévision, les tribunes parlementaires et les éditoriaux des médias de grand chemin. Et chaque année, la question est posée de manière volontairement biaisée : faut-il abolir le droit du sol ? Faut-il réduire ou stopper l’immigration ? Comme si ces mesures, à elles seules, allaient régler la fracture identitaire qui menace d’emporter la France et l’Europe. Mais le mal est plus profond, et il est déjà fait.
L’enjeu n’est pas l’immigration future, ni même le mode d’acquisition de la nationalité. Le problème, ce sont les millions d’individus extra-européens qui ont acquis la nationalité française ces dernières décennies, et les nationalités de nos voisins européens, souvent à la faveur de lois laxistes, du regroupement familial ou de la naturalisation massive. Ils ont les mêmes papiers que nous, mais ils ne sont pas nous.
Une carte d’identité ne fait ni le sang, ni le peuple, ni la civilisation
On voudrait nous faire croire qu’un Malien, un Pakistanais ou un Algérien devient français par la simple magie d’une carte d’identité délivrée par la République. Quelle farce ! La nationalité administrative n’efface ni les origines, ni les cultures, ni les antagonismes civilisationnels.
Le Rassemblement national lui-même, qui se veut pourtant plus ferme que les autres, tombe dans ce piège en prônant une assimilation universelle qui confinerait à l’absurde. Assimiler qui, et à quoi ? Pense-t-on sérieusement que le Mahorais, le Kanak, le Breton, le Marocain et le Syrien forment un peuple homogène partageant les mêmes codes, la même vision du monde, la même mémoire historique ? Soyons sérieux.
Ce n’est pas une question de papiers, mais une question de peuple. Or, la France est devenue un conglomérat de peuples antagonistes enfermés dans une fiction républicaine qui ne repose plus sur rien.
La colonisation de la France par le droit
Si le problème se limitait aux clandestins, il serait presque facile à résoudre : il suffirait de les expulser. Mais que fait-on de ceux qui ont des papiers français mais qui restent étrangers à notre ? De ces millions de jeunes issus de l’immigration qui n’ont ni l’amour du pays, ni le respect de son histoire, ni l’adhésion à son identité profonde ?
Que fait-on de cette nouvelle génération qui se considère plus musulmane que bretonne, français, européenne, plus attachée à ses racines africaines ou orientales qu’à la nation qui leur a tout donné ? Ils sont nés ici, mais leur cœur, leur sang, leur âme sont ailleurs.
Les naïfs (et les idiots utiles) de droite comme de gauche continuent d’imaginer que tout le monde peut devenir français. Administrativement, c’est vrai. Mais identitairement, culturellement, religieusement, c’est un mensonge absolu.
L’utopie de la créolisation et la dissolution programmée de notre peuple
Les délires de Mélenchon et des obsédés de la créolisation n’ont rien d’un projet de société. C’est un programme de remplacement ethnique, qui vise à dissoudre nos identités dans un magma multiculturel sans racines ni repères.
On nous parle de diversité, de métissage inévitable, de fusion des cultures, mais que voit-on en réalité ? Des quartiers ethniques où les Blancs disparaissent. Des banlieues islamisées où l’on impose le halal et le voile. Une société fracturée où l’on doit s’excuser d’être français, chrétien, européen.
Les créolistes ne veulent pas une France ou une Europe enrichies par l’apport des autres. Ils veulent effacer un continent, où les peuples autochtones ne seraient plus qu’un vestige du passé.
Que faire ?
Il ne s’agit plus de limiter l’immigration future : le ver est déjà dans le fruit. La question est bien plus radicale :
- Avons-nous le courage d’affirmer que nos régions, nos nations, sont, majoritairement blanches et chrétiennes ?
- Allons-nous laisser les mondialistes nous imposer une identité de papier qui nie ce que nous sommes ?
- Pouvons-nous encore espérer une reconquête culturelle, ou devons-nous admettre que la sécession est déjà en marche ?
Il est temps d’abandonner les illusions républicaines et de reconnaître la réalité du conflit ethno-civilisationnel qui déchire notre pays. Il est temps d’avoir le courage de dire qu’une carte d’identité ne fait pas l’Homme qui la possède.
Le temps de la simple contestation est révolu. L’histoire jugera ceux qui ont laissé faire
Julien Dir
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14 réponses à “« La France aux Français » : La fumisterie du droit du sol et l’imposture de l’assimilation”
L’histoire jugera la disparition de notre douce France pour faire place à l’enfer voulu par nos élus. Sous peu une seule question : « Quel sera le sort des autochtones de souche chrétienne quand ils deviendront minoritaires sur les terres de leurs ancêtres ? » d’après récit romantique à souhaits « les corps indécents ». L’avenir ne présage rien de bon et quitter au plus vite la France devient hélas un leitmotiv pour beaucoup de nos jeunes à l’image des protagonistes de ce récit.
Dechéance de la nationalité française pour les binationaux délinquants .
Supprimer le droit du sol et d’asile.
Ils sont tous binationaux, partent au bled pour les vacances.
Et une fois décédés se font enterrer au bled
Quelqu’un parmi les Européens de souche peut-il croire une seule seconde que l’on réalisera le programme de cet excellent article par le bla-bla gouvernemental et parlementaire ?
Non, bien sûr !
L’unique solution est l’insurrection des Français de souche européenne… avant que les Africains et Antillais, les moyen- et proche Orientaux, les Gitans (pakistanais du Sind) et autres exotiques imposent leur loi, leurs coutumes tyribales et leurs religions bizarres
Les révolutionnaires aux XVIIIe et XIXe siècles hurlaient « La liberté ou la mort » et le faisaient pour de très mauvaises raisons
Nous avons une excellente raison de la faire : récupérer notre bien : notre pays pour notre nation
La question a été posée mille fois.
Et demain, elle sera reposee de la même manière.
Le tout est de savoir ce que veulent les Français et la France. Or, cette question, pour d’obscures raisons politiques, n’est pas tranchée. Et vues les circonstances et l’attitude qui prévaut, elle ne sera jamais tranchée.
De ce fait, faites le constat vous-mêmes ! C’est peut-être tragique, mais c’est comme çà !!!
On part du sol et on finit sur le sang. Et pourquoi pas un universalisme breton au delà des couleurs?. La France, donc le peuple français, des rois et des coloniaux a toujours été connectée au monde. Les bretons sont partout, connus et reconnus en tant que tel même vivant loin de ma bro. Des milliers de bretons ont métissés leurs lignées, et leurs ayant droits vive la bretagne dans leur valeurs. Qui est légitime pour faire la liste des personnes avec les bons critères validés..
L’effacement national suit son cours normalement. Il a commence dans les annees 50/60 avec l’effacement regional qui a ete impose aux eleves qui ont grandi dans ces annees la. Je faisais parti de ces eleves. Les expressions typiquement lorraine ete puni dans nos redactions (ca ne se dit pas en francais). Meme le folklore n’etait plus de mode. On a supprime un groupe de danseurs folklorique dans un village voisin (par le nouvellement elu maire communiste). Un foyer de jeune que des copains et moi avons recu l’authorisation d’ouvrir par le depute maire de Briey (54) ou l’on faisait la promotion de la Lorraine fut transforme en MJC par le maire communiste et tous les cadres etaient de la diversite.
Non cela ne date pas d’aujourd’hui.
PS: Je suis Americain de naissance, ne en France et j’ai recu mon education primaire et secondaire avant de me faire jeter des ecoles franaises parce que je refusais la doxa (deja), et qui a quitte la France apres 5 ans d’armee. Revenu en France pour prendre soin de mere qui refusait de partir pour les USA.
Comme je l’écrivais ailleurs, le navire France s’est pris un iceberg nommé immigration et est en train de sombrer de plus en plus rapidement par le poids augmenté, mené par des charlots de fédérale 6 avec un orchestre de rap sur le pont arrière, garni avec un drapeau rouge et un arc-en-ciel sur la hampe. Plus près du fonds je vais…..chantent-ils pendant que le capit’haine joue à faire tique-toc pour calmer le prurit de son fondement.
Le problème c est l RÉPUBLIQUE. ET SES FAUSSES VALEURS .LIRE ALAIN PASCAL .
Des Français de papier qui sont uniquement Français car la soupe est trop bonne au pays de « humanistes » déconnectés des réalités.
Pour rappel : revoir « être français » : https://www.youtube.com/watch?v=PTqcf8OiJ34
Assimilation, intégration = pièges à khons ! c’est comme si vous demandiez à un LFI de s’intégrer chez les gens du RN !
@ Vert
Je me permets de finir votre derniere phrase:
« Et une fois décédés se font enterrer au bled » ou ils continuent de toucher leur retraite.
@ Nathalie Balma
Pour avoir etudie la « Reconquista », je voudrais vous signaler qu’au depart, au XIIieme siecle, ils n’etaient que 12… 12 hommes et femmes decides a liberer l’Espagne. Avec les resultats que l’on connait.
J’ai explique ici l’expression typiquement americaine du « silver lining » que l’on pourrait traduire « Un bon aspect d’un événement généralement mauvais ».
Le fait que Breiz, vous meme et tous ceux qui lisent ce journal (ou d’autres de meme envergure) se rendent compte de la situation est en fait positif, meme si l’on se fait insulter pour l’instant.
La déchéance de nationalité ça existe! Et pour les délinquants d’origine étrangère mais francais de papier qu’on ne nous objecte plus qu’ils seraient apatrides! A eux d’aller ailleurs et de changer de nationalité…à l’heure de l’IA tour est possible, et même sans!
Quand on veut..on le peut..
Là un 49.3 …pourquoi pas? Ils l’utilisent facilement, non??