Et un recul supplémentaire pour l’idéologie « woke » aux États-Unis ! Google, figurant parmi les pionniers pour la mise en place des politiques de Diversité, d’Équité et d’Inclusion (DEI), a récemment annoncé la suppression de ses objectifs de recrutement axés sur la diversité. Cette décision s’inscrit dans une tendance plus large où de nombreuses entreprises américaines, telles que Meta, Amazon, Target, Walmart et McDonald’s, réduisent ou abandonnent leurs programmes DEI.
Cette réorientation intervient dans un contexte de pressions politiques et juridiques croissantes. L’administration Trump a émis un décret exécutif visant à éliminer les programmes DEI au sein du gouvernement fédéral, incitant également les entreprises privées à suivre cette voie. De plus, une décision de la Cour suprême des États-Unis en 2023 a déclaré inconstitutionnelles les considérations basées sur la race dans les admissions universitaires, remettant en question la légalité de nombreuses initiatives DEI.
Dans une note interne, Fiona Cicconi, directrice des ressources humaines de Google, a expliqué que, en tant que contractant fédéral, l’entreprise devait évaluer ses programmes pour se conformer aux récentes décisions judiciaires et aux décrets exécutifs.
Loin d’être un simple ajustement, cette suppression des objectifs DEI illustre l’échec de ces politiques, qui ont été imposées dans de nombreuses entreprises sous prétexte de « justice sociale », mais dont l’impact réel s’est révélé discutable. Les promesses de diversité et d’équité n’ont pas conduit aux résultats escomptés, et les tensions croissantes autour de ces pratiques ont poussé les grandes firmes à revoir leur stratégie. Plutôt que de favoriser le mérite et la compétence, les initiatives DEI ont souvent été perçues comme des critères de discrimination inversée, entraînant frustrations et inefficacité dans le monde du travail.
La vague d’abandons des programmes DEI montre que les entreprises ne peuvent plus se permettre de privilégier l’idéologie au détriment de la performance et de la rentabilité. Après des années de pression militante et de politiques inclusives forcées, les grands groupes semblent revenir à une logique plus pragmatique. Google n’est que le dernier d’une longue liste d’entreprises à reconnaître que la diversité imposée ne saurait remplacer l’excellence et l’exigence, deux critères essentiels dans un environnement économique de plus en plus compétitif.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
2 réponses à “Terreur woke. Au tour de Google d’abandonner les politiques de diversité forcée”
Du pognon jeté par la fenêtre
ils craignent tous le grand méchant loup « TRUMP » le grand ! il va bientôt falloir qu’ils mettent tous des pantalons marrons pour éviter de voir les fuites !