Les écoles britanniques seront autorisées à diffuser un documentaire controversé sur le changement de sexe d’un adolescent, incluant la prise d’hormones et l’utilisation de dispositifs de compression de la poitrine. Ce programme, destiné à des élèves dès l’âge de 11 ans, est mis en avant dans le cadre du mois de la propagande intitulé « LGBTQ+ History Month » une célébration annuelle importée des États-Unis en 2005.
Un documentaire militant dans les écoles publiques
Le court-métrage « 1 Year », qui retrace l’histoire d’un adolescent ayant entamé une transition de genre, sera mis à disposition des écoles par Into Films, un organisme financé par le British Film Institute, lui-même subventionné par des fonds publics et la Loterie nationale.
Le film « 1 Year » retrace la transition de Ben Hodge, un adolescent qui a changé de prénom, porté des binders pour aplatir sa poitrine et commencé un traitement hormonal au cours de sa dernière année de lycée. Selon ses promoteurs, ce documentaire permettrait de sensibiliser les élèves à la réalité des jeunes transgenres.
Les établissements scolaires publics du Royaume-Uni pourront diffuser ce programme grâce à une licence de projection publique. La British Film Institute, qui reçoit des fonds publics et de la Loterie nationale, a contribué à rendre cette diffusion possible.
Mais cette initiative fait l’objet de vives critiques, notamment de la part d’experts en éducation et de professionnels de la santé, qui dénoncent l’absence d’information sur les risques médicaux liés à la transition chez les mineurs.
Selon un document officiel, ce programme est jugé « adapté » aux élèves à partir de 11 ans. Cependant, aucune mention n’est faite des risques médicaux graves associés à ces traitements, ce qui alimente la polémique.
Des risques médicaux passés sous silence
Plusieurs experts dénoncent l’absence d’un véritable débat sur les conséquences irréversibles des traitements hormonaux administrés aux mineurs.
Lucy Marsh, du Family Education Trust, alerte sur les dangers : “Le film ne mentionne pas les effets secondaires graves et irréversibles de la prise de testostérone ni le fait que son usage prolongé peut entraîner une stérilité définitive. Il encourage également le bandage de la poitrine sans informer sur les risques majeurs, tels que des lésions nerveuses permanentes et des fractures des côtes.”
Cette mise en garde est corroborée par les conclusions du Cass Review, un rapport indépendant commandé par le gouvernement britannique.
L’an dernier, la pédiatre Dr Hilary Cass a publié une analyse détaillée des pratiques médicales en matière de transition de genre chez les enfants. Ses conclusions sont sans appel :
- Les bases scientifiques de ces traitements sont extrêmement fragiles.
- Les bloqueurs de puberté n’ont pas démontré d’amélioration notable sur la santé mentale des jeunes patients.
- Les effets à long terme sur le développement cognitif et psychosexuel des enfants restent inconnus.
- Les études publiées sont de trop mauvaise qualité pour fonder des décisions cliniques fiables.
Ce rapport souligne également l’influence du phénomène de contagion sociale dans la montée exponentielle des demandes de transition chez les mineurs. Une tendance déjà observée dans d’autres pays européens.
Alors que de nombreux experts s’inquiètent des conséquences à long terme sur les enfants, le gouvernement britannique peine à prendre position. Mais la diffusion d’un tel film dans les écoles pourrait bien relancer le débat sur l’éthique et les dérives des traitements de transition administrés aux mineurs d’autant que ce débat fait écho à une autre controverse récente : en janvier dernier, plus de 300 écoles ont été sommées de ne plus utiliser les termes “garçons” et “filles” dans leurs classes, après avoir adopté un programme éducatif promu par l’organisation gauchiste Stonewall. Une organisation qui, étrangement, ne fait pas de propagande active dans les zones islamisées du Royaume-Uni. Etonnant non ?
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2 réponses à “1 Year. Au Royaume-Uni, un documentaire sur une « transition de genre » mis à disposition des écoles pour les enfants dès 11 ans”
PLUS BAS ! TOUJOURS PLUS BAS ! Pauvres Anglais ! mais s’ils sont assez con de ne rien dire !
fichez la paix aux enfants et aux adolescents