La mairie socialiste de Nantes a trouvé une nouvelle priorité : lutter contre le « sexisme » en réaménageant l’espace public. Pendant ce temps, la réalité de la ville échappe à ses dirigeants. Agressions, vols, règlements de compte : les quartiers sont désormais sous le contrôle des gangs, et les Nantaises n’ont jamais autant craint de sortir seules. Mais pour la mairie, il est urgent de repositionner des bancs et de repenser l’éclairage
Une priorité déconnectée de la réalité
Depuis 2023, la municipalité expérimente un « budget sensible au genre ». L’idée ? Modifier l’aménagement des rues pour soi-disant améliorer la sécurité des femmes et des minorités sexuelles. Un groupe de travail, composé uniquement de femmes et de personnes LGBTQIA+, a été réuni pour déterminer quelles transformations seraient nécessaires. Parmi les propositions, on retrouve des mesures d’une créativité stupéfiante : déplacer les bancs contre les murs pour qu’on ne puisse pas s’asseoir derrière une femme, ou encore revoir la largeur des trottoirs.
Pendant ce temps, les habitants du Breil, de Bouffay et des abords de Pirmil subissent chaque jour des violences bien réelles, loin des préoccupations abstraites des bureaux de la mairie. Cambriolages, agressions physiques, harcèlement de rue : Nantes s’enfonce dans une insécurité croissante, et le premier réflexe de la municipalité est de mener une « balade urbaine » pour recueillir des avis sur le sexisme supposé des infrastructures.
Un déni total de l’insécurité
Ce projet ubuesque s’inscrit dans une tendance plus large : la déconnexion des mairies de gauche face à la réalité de l’insécurité urbaine. Plutôt que d’affronter les problèmes, on préfère les fuir en inventant des priorités absurdes.
Pendant que des « ateliers citoyens » débattent sur la « perception genrée » de l’espace public, des centaines de Nantaises réduisent leurs déplacements par peur des agressions. La situation est telle que certaines résidentes évitent désormais certains quartiers la nuit, voire même en plein jour. Le sentiment d’abandon est total.
Le énième projet démagogique de la mairie PS
On pourrait rire de ce « combat » contre les bancs mal placés si la situation n’était pas aussi dramatique. Sous Johanna Rolland, Nantes est devenue une ville sous tension, où l’insécurité est une réalité quotidienne. Mais plutôt que d’investir dans la police municipale ou d’exiger plus de moyens pour les forces de l’ordre, la municipalité préfère investir dans des consultations citoyennes pour savoir où mettre un lampadaire.
Le problème du « sexisme » dans l’espace public n’est qu’une diversion. Une idéologie préfabriquée qui permet à la mairie de masquer son impuissance face à la délinquance et à la criminalité. Une politique qui ne protège personne, si ce n’est les élus eux-mêmes, qui prétendent agir alors qu’ils fuient la véritable question : comment rendre Nantes sûre pour tous ses habitants ?
En bonus, l’intervention façon « Maîtresse d’école » totalement sidérant de Johanna Rolland
Le gauchisme vs @Foulques44. Ne jamais s’excuser face aux responsables du marasme actuel. #afuera https://t.co/EBsh8He8sc
— Breizh-Info (@Breizh_Info) January 31, 2025
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2 réponses à “Gauchisme à la mairie de Nantes. Johanna Rolland veut « réaménager l’espace public » pendant que les gangs règnent”
A mon sens, il faut chercher la clef du problème au sein des Nantais.
Il y a certainement une raison dans ce suivisme traditionnel du vote gauchiste.
Toutefois il est certain, et cet article le prouve, il faut être sourd et aveugle pour voter comme le font la majorité des Nantais !
La première chose que devrait fait cette LGBT, c’est de voir un Psychiatre pour remettre ses neurones en place !elle pense que s’occuper des trottoirs arrangerait la sécurité des Nantais !! elle est sur quelle planète ? A MOINS QUE CE SOIT POUR MIEUX INSTALLER LES DEALERS ET LES PÉDOPHILES A TRAVAILLER ?? je doute !! en tout cas pour moi, c’est l’enfermement immédiat avant destruction de notre belle ville de Nantes !