Les coups de couteau sont devenus une routine à Rennes. À la fin du mois d’août 2024, un individu avait asséné trois coups de couteau à un homme dans le quartier du Colombier, aux abords de la place Charles De Gaulle. Transportée à l’hôpital, la victime avait survécu à ses blessures. L’auteur présumé a finalement été interpellé le 28 janvier 2025 par des policiers de la brigade anticriminalité. D’origine afghane, le suspect a été placé en garde à vue.
À Rennes, il n’est pas nécessaire de remonter bien loin dans le temps pour retrouver la trace de la dernière attaque au couteau : mardi 21 janvier 2025, un homme de 47 ans avait été tué de plusieurs coups de couteau à l’abdomen près de la station de métro Henri-Fréville. L’intervention rapide des pompiers et d’une équipe du SAMU n’avait pas permis de sauver la victime, qui décéda quelques temps plus tard au CHU.
Ce meurtre par arme blanche était déjà le troisième à Rennes depuis le début de l’année. Le 2 janvier, un homme de 22 ans a été poignardé au square de Slovaquie, dans le quartier du Blosne. Neuf jours plus tard, un quadragénaire était retrouvé mort dans sa maison, située près du cimetière de l’Est. L’autopsie avait révélé de multiples plaies par arme blanche au torse et à la gorge.
Dans une autre affaire criminelle, le quotidien Ouest-France rapportait le 24 janvier qu’un dénommé Nidhal Hnid, 23 ans, avait vu sa demande de remise en liberté rejetée par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Rennes jeudi 23 janvier. Cet individu, présenté comme un « mineur étranger isolé » originaire de Tunisie, avait été interpellé au mois de novembre 2024 puis placé en détention provisoire dans le cadre d’une enquête pour tentative de meurtre.
Le 26 juin 2024, en pleine nuit, un homme de 22 ans, né au Maroc, avait été blessé par balle aux abords du centre commercial Italie, toujours dans le quartier du Blosne. La victime avait également reçu des coups de couteau. Les policiers avaient alors privilégié la piste du règlement de comptes entre narcotrafiquants.
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Attaque au couteau : « généralement on retrouve les même typologies d’auteurs derrière ces faits, bien souvent des personnes qui ne sont pas ‘français de souche’ » déclare Marie-Hélène Thoraval #LaGrandeITW #Europe1 pic.twitter.com/aQ2sPq7jWI
— Europe 1 (@Europe1) January 29, 2025
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3 réponses à “Rennes. Existe-t-il une corrélation entre les coups de couteau et l’immigration ? [Vidéo]”
Quand on contrarie un musulman: il sort le couteau et IL TUE!…La vie semble ne pas avoir d’importance pour lui quand il s’agit de quelqu’un qui l’a contrarié….Il sait qu’il aura ainsi »le dessus » sur son adversaire surtout si celui-ci n’est pas armé!……Un musulman TUE »pour un mauvais regard »…parce qu’on lui a refusé une cigarette…au lieu de »discuter » ou de se battre avec les poings!….Les attaques au couteau sont devenues fréquentes, chez nous, depuis »l’indépendance des colonies » car les musulmans ont suivi, en France, les »mécréants » qu’ils avaient chassés de leur pays natal!
Je ne comprends pas pourquoi on s’oblige à être timoré, ou parler avec une certaine recherche, lorsqu’on aborde la question fondamentale de l’insécurité galopante qui jette son voile sur la France.
Bien entendu, qu’à force d’ouvrir les portes du pays au tout-venant, on en recolte tout le côté pervers. Or, qui sont les defenseurs de cette politique outrancière, dangereuse, et surtout anti-nationale, sinon les Pouvoirs Politiques de Gauche ?
Bref, à mon sens, il est temps de se reprendre en main et foutre un grand coup de balai dans ces fourmilières gauchistes qui, de par leurs actions, pourissent la vie des Francais. Mais surtout, et il ne faut pas l’oublier, plongent le pays dans le marasme.
Inutile d’être diplômé d’études statistiques pour voir la corrélation entre le nombre des attaques au couteau ( plus de 120 par jour ! ) et la montée en nombre de populations spécifiques et pratiquant aussi une religion extrémiste bien connue….Le déni de tous ces chiffres ne résulte pas seulement d’une incompétence politique mais d’une idéologie mortifère pour la France et les français historiques.