Dans le dernier numéro de la revue Eléments (février-mars 2025), le philosophe Alain de Benoist écrit :
« Le réalisme exige de voir les choses telles qu’elles sont et non telles que l’on voudrait qu’elles soient. Le grand clivage réside en effet dans le contraste entre l’être et le devoir-être, le sens du réel et la négation du réel au profit du mirage et du whishful thinking. Ceux qui, comme certains, niaient l’existence du Goulag dans les années 1950, persistent aujourd’hui à ne pas voir ce qu’ils ont sous les yeux, qu’il s’agisse des pathologies sociales nées de l’immigration ou du constat que les races et les sexes ne sont pas des “constructions sociales“, ceux qui affichent un climatoscepticisme que la réalité dément tous les jours, et qui s’obstinent à ne pas voir dans les dérèglements actuels la conséquence du mode de croissance autodestructeur du système capitaliste : tous appartiennent à la catégorie des hallucinés, qui haïssent ce qui est au nom de ce qui devrait être. » (Alain de Benoist, Eléments, février-mars 2025) .
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2 réponses à “Les hallucinés se portent bien”
La philosophe Simone de Beauvoir, pourtant de gauche a écrit : » Le plus grand défaut de l’humanité n’est pas l’ignorance des choses mais le refus de savoir ».
J’ai quelques cas à soumettre ! Sonia Roland, Nathalie Appéré, Anne Idango … et quelques autres …mais déjà leur enlever le voile LGBT qui couvre les visages !