À Morlaix et Saint-Martin-des-Champs, dans le Finistère, une série de cambriolages frappe les zones pavillonnaires depuis le début du mois de janvier 2025. Ces vols, survenus en plein jour entre 10 h et 14 h, inquiètent les autorités qui appellent les habitants à signaler tout comportement suspect.
En quinze jours, près d’une dizaine de cambriolages ont été recensés, principalement dans des zones résidentielles avec impasses, notamment à Saint-Martin-des-Champs, La Boissière et La Vierge Noire. Les voleurs ciblent des objets rapides à subtiliser : numéraire et bijoux.
Les autorités peinent à déterminer si ces cambriolages sont le fait d’un ou plusieurs groupes. Des témoins évoquent des hommes vêtus de noir, parlant une langue de l’Est, mais les véhicules utilisés varient. Dans un cas, une habitante a surpris un cambrioleur dans son jardin, qui a pris la fuite sans demander son reste.
La police invite les habitants à composer le 17 ou à contacter directement le commissariat au 02 21 09 56 77 en cas de doute.
Les bons réflexes pour prévenir les cambriolages
Face à cette recrudescence, la gendarmerie rappelle quelques gestes simples mais efficaces pour réduire les risques :
- Verrouiller toutes les issues : Portes, fenêtres, portails… sécuriser chaque point d’entrée est essentiel pour décourager les voleurs.
- Discrétion des clés et objets de valeur : Évitez de laisser vos clés de voiture ou vos bijoux dans des endroits évidents, comme l’entrée ou l’armoire de la salle à manger.
- Simuler une présence : Si vous vous absentez, utilisez des systèmes de domotique pour allumer les lumières à distance et donner l’impression que la maison est occupée.
Les forces de l’ordre insistent sur l’importance de la vigilance collective pour contrer ces actes criminels.
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Une réponse à “Vague de cambriolages en plein jour à Morlaix : la police appelle à la vigilance”
L’État étant incapable ou ne voulant pas assurer la sécurité (au choix ou cochez les deux options), les Français vont devoir se bunkériser, vivre dans la peur permanente. » Chérie, tu as bien fermé la fenêtre de la cuisine, du salon ? », « Tu n’as pas entendu un bruit ? … — Bon sang, où ai-je rangé mon katana (sabre japonais) ? »
« Chéri, ne sort pas dans le jardin sans ton pistolet à gaz. — T’inquiètes, j’ai le pelle-versoir… »
Peut-être faut-il demander au gouvernement à ce qu’il inscrive et nous compte dans les niches fiscales l’obtention d’un garde du corps, comme chez les riches et les stars.