À Rennes, les quartiers comme Villejean se transforment en zones de non-droit où la violence règne en maître, suscitant une inquiétude croissante parmi les habitants et les autorités. Ces dernières semaines, la dalle Kennedy, située au cœur de Villejean, est devenue le théâtre d’une série d’incidents violents qui témoignent d’une montée en puissance des affrontements liés aux trafics de stupéfiants. Une situation qui soulève des questions sur l’efficacité des politiques actuelles et sur la nécessité de mesures radicales pour enrayer cette spirale.
Un quartier sous tension
Samedi 11 janvier 2025, une fusillade éclate en début de soirée près du Carrefour Market de la dalle Kennedy. Deux individus masqués arrivent en voiture et tirent en rafale, laissant derrière eux un bilan lourd : un homme de 53 ans, habitant du quartier, grièvement blessé au thorax et à la jambe, et un autre de 38 ans légèrement atteint. Au total, 24 douilles d’arme automatique ont été relevées sur place. Quelques jours plus tôt, une autre fusillade avait déjà secoué le même lieu, heureusement sans faire de victimes.
La population, excédée, témoigne de son angoisse face à cette recrudescence de violence. Cette insécurité croissante force les résidents à éviter certains secteurs, même pour de simples courses.
Un problème structurel alimenté par l’inaction
Les incidents à répétition dans ce quartier ne sont pas isolés. Ils traduisent une guerre des territoires entre narcotrafiquants qui profite d’un contexte d’impunité et de manque de moyens policiers. Il n y a aucune réponse pénale, et les policiers n’ont pas le droit de faire quoi que ce soit (si ils pouvaient éliminer les dealers sans avoir à se justifier – si ce n’est par les quantités de drogue saisies – cela dissuaderait sans doute les candidats).
Ce qui choque, c’est l’absence de réaction à la hauteur de la situation. Bien que des renforts temporaires aient été déployés, les habitants et les syndicats réclament une réponse durable. Classement en zone de sécurité prioritaire, augmentation des effectifs, renforcement de la justice pénale : autant de solutions souvent évoquées mais jamais réellement mises en œuvre.
Une réponse politique insuffisante
La maire de Rennes, présente sur les lieux après les événements, a dénoncé une « guerre de territoires » et promis des renforts de sécurité, ainsi qu’une cellule d’écoute pour les habitants.
Cependant, ces mesures semblent dérisoires face à l’ampleur de la crise. Tant que les élus pétris d’idéologie gauchiste (et donc laxiste) refuseront de reconnaître l’ampleur réelle des problèmes, et surtout, d’admettre leurs fautes lourdes, graves, définitives, les solutions resteront inefficaces. Il est impossible de changer les choses avec les yeux grands fermés.
Le gauchisme ambiant, qui refuse d’adopter une posture ferme face à la criminalité et préfère souvent minimiser les enjeux, participe à cette dérive. Les discours de soutien aux populations ne suffisent plus : des actes sont nécessaires. Une politique de sécurité basée sur des mesures inédites et radicales doit être mise en œuvre, quitte à bousculer les paradigmes établis.
Sans une véritable prise de conscience et un choc sécuritaire, les quartiers comme Villejean continueront de sombrer. La lutte contre le trafic de drogue n’est ni de gauche, ni de droite. Elle est une mesure de santé publique. Ne pas éliminer les dealers, physiquement, et toutes les petites mains, c’est laisser demain, toute une partie du pays devenir un Narco-Etat.
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7 réponses à “« Vivre extrêmement bien ensemble à Rennes ». Un homme de 53 ans grièvement blessé après une fusillade à Villejean”
Gratifier les « zotorités » d’une inquiétude croissante me semble très exagéré ! ils s’en foutent ce qui les inquiète c’est leur réélection , !
oubliez retailleau et sa com bidon il ne fera rien pourquoi ? dans ces quartiers les seules activités sont la drogue et la prostitution qui sont je le rappelle inscrit au pib français alors pas touche donc si vous etes là au mauvais endroit tant pis pour vous
Depenser dans la police ne devrait jamais etre le modele qui alimente les deficits. Avec la population locale ce quartier fut parfaitement propre et securise. Stable pour l activite economique.
La ripouxblique française, en soi, est déjà un Narco-État, qui soumet ceux qui en dépendent, par la force des choses, à ses hommes liges, ses diktats, ses guerres intestines puants.
Non ?
C’est une guerre qu’ils nous font. Va-t-on relever le défi ? oui ou non ? Si non alors laissons aller. Si oui, dès lors, il faut la faire et sans tarder en sachant qu’il faudra déclarer un état d’urgence et en assumer toutes les conséquences. Etes-vous prêt ? Je ne le crois pas !
Je pense que la ville de Rennes, bien gérée depuis des années par des irresponsables qui s’inquiètent subitement de la criminalité multi-ethnique….. est en bonne place pour détrôner Marseille, voire Chicago !!!
¨Je ne comprend pas votre article et j’ai alors regardé ce que c’est qu’un stupéfiant, et en voici la définition que j’ai trouvée « Stupéfiant est un adjectif qui signifie qui stupéfie, qui étonne fortement ». Donc ce n’est pas un nom, mais un adjectif donc je ne comprends toujours pas votre article.