La France se laisse aujourd’hui piétiner par un pays qui, depuis son indépendance, accumule échec sur échec : l’Algérie. Oui, l’Algérie, ce régime autoritaire dont les élites corrompues n’ont d’autres talents que de cracher sur l’Occident tout en envoyant leurs propres citoyens sur nos côtes. Jusqu’à quand allons-nous tolérer cette mascarade ?
Chantage permanent et ingratitude abyssale
L’Algérie, qui se plaît à nous donner des leçons de morale, est la première à utiliser le chantage comme outil diplomatique. Prenons le cas des Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF). La France identifie des individus en situation irrégulière, souvent des délinquants multirécidivistes, et exige leur renvoi dans leur pays d’origine. Et que répond l’Algérie ? Un mépris cinglant, refusant de délivrer les laissez-passer consulaires nécessaires à ces expulsions.
Comment un pays qui se targue d’être une « grande nation souveraine » peut-il refuser de reprendre ses propres ressortissants ? Mieux encore : comment la France peut-elle accepter de se faire humilier de la sorte sans riposter ? Nos dirigeants, englués dans leur lâcheté, se contentent d’implorer, de négocier, de quémander. La vérité, c’est qu’ils ont peur. Peur d’un pays qui, malgré des décennies d’indépendance, n’a jamais su transformer ses immenses ressources naturelles en prospérité.
Un modèle d’échec
Depuis 1962, l’Algérie est le prototype de la nation ratée. Un pays riche en gaz et en pétrole, mais où la jeunesse rêve d’une seule chose : fuir. Les Algériens n’ont de cesse de dénoncer « l’oppresseur colonial » tout en faisant la queue devant les consulats français pour obtenir un visa. Si la France est si détestable, pourquoi vouloir y venir ? Pourquoi ne pas rester construire ce « grand pays indépendant » dont les dirigeants se vantent tant ?
La vérité, c’est que l’Algérie est incapable de se développer seule. Elle préfère accuser l’ancien colonisateur de ses propres échecs, tout en siphonnant les aides, les investissements, et même les allocations des travailleurs immigrés. Un double discours insupportable, alimenté par une classe dirigeante algérienne plus préoccupée par son enrichissement personnel que par l’avenir de son peuple.
Riposter, enfin !
Face à cette situation, la France, qui appartient à l’UE, ne peut plus rester passive. Il est temps de renverser la table et d’adopter des mesures drastiques.
D’abord, déchoir de la nationalité française tous ceux qui possèdent la double nationalité et qui se rendent complices de ces humiliations permanentes. Si leur loyauté penche du côté d’Alger, alors qu’ils y restent. L’Europe n’est pas un simple hôtel où l’on prend tout sans rien donner en retour.
Ensuite, expulser tous les Algériens en situation irrégulière, que le régime algérien en veuille ou non. Peu importe si les laissez-passer consulaires sont refusés : nous les déposons directement dans leurs aéroports ou leurs ports. L’Algérie joue à ce petit jeu ? Alors jouons aussi.
Enfin, cessons de financer ce régime avec nos contrats gaziers et pétroliers. La France doit diversifier ses sources d’énergie et cesser d’être dépendante d’un pays qui la méprise. Une pression économique massive ferait réfléchir même les plus arrogants dirigeants algériens.
Assez de faiblesse, place à l’honneur
Ce n’est pas seulement une question de politique migratoire, mais de dignité nationale. Chaque jour que nous tolérons cette situation, nous perdons un peu plus de notre honneur. Les Européens ne peuvent continuer à se faire insulter par un régime qui, au fond, n’existe que par sa dépendance à notre économie et à notre culture. Et si cette tribune choque, tant mieux. Peut-être est-il temps de choquer pour réveiller les consciences. Le peuple français mérite mieux que des dirigeants qui baissent la tête face à un pays qui n’a rien à nous apprendre. À force de vouloir plaire à tout le monde, nous avons oublié ce que signifie être une grande nation.
Alors, à nos autorités : agissez. Menacez si nécessaire. Arrêtez de vous comporter comme des cucks. Et à l’Algérie : vous voulez jouer au plus fort ? Très bien, mais n’oubliez jamais que, sans nous, vous ne seriez qu’un désert d’arrogance et d’échec.
Julien DIr
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