Une tentative de viol a été évitée de justesse dimanche 5 janvier 2025 à Nantes, dans le secteur de la Jonelière, grâce à l’intervention rapide et courageuse de plusieurs passants. L’agresseur, un jeune homme de nationalité somalienne âgé de 18 ans, a été maîtrisé par des témoins avant d’être interpellé par la police. Ce nouvel épisode dramatique soulève des questions sur la sécurité des espaces publics et les enjeux liés à l’immigration.
Une agression brutale sur les bords de l’Erdre
Vers 11 heures du matin, une joggeuse de 58 ans pratiquait son footing lorsqu’elle a été violemment plaquée au sol dans les escaliers menant au pont de la Jonelière. L’agresseur, silencieux, a tenté de la contraindre à un acte sexuel en positionnant son bassin au niveau de son visage. Malgré la violence de l’attaque, la victime a réussi à se débattre, hurlant et mordant son agresseur à la main, ce qui a alerté un passant.
Ce dernier, témoin de la scène, a immédiatement intervenu pour maîtriser l’assaillant. Rapidement rejoint par d’autres personnes, il a permis de contenir le suspect jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre. Une intervention héroïque qui a probablement sauvé la joggeuse d’un viol.
Un suspect sous l’emprise de stupéfiants
Le jeune homme, placé en garde à vue, a nié les faits, affirmant être tombé accidentellement dans les escaliers. Il a également indiqué qu’il était sous l’influence de drogues, ce que des dépistages ont confirmé en révélant la présence de cocaïne et de méthamphétamines dans son organisme. Le suspect, qui avait été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance durant sa minorité, est en situation régulière en France.
À l’issue de sa garde à vue, le parquet de Nantes a décidé d’ouvrir une information judiciaire pour tentative de viol sous l’emprise de stupéfiants. Le jeune homme a été présenté à un juge d’instruction, avec des réquisitions de placement en détention provisoire. L’enquête se poursuit pour déterminer les circonstances exactes de cette agression.
Cet incident rappelle tristement une série d’agressions similaires survenues en octobre 2023 le long du chemin du Gesvres à Nantes, où plusieurs joggeuses avaient été attaquées. Dans l’un des cas, l’intervention rapide d’un cycliste avait permis d’éviter un viol. Le suspect, également âgé de 18 ans, avait été arrêté et mis en examen. Ces événements posent la question de la sécurité des femmes dans les espaces publics, en particulier dans des lieux isolés souvent prisés par les sportifs.
L’agresseur présumé, un jeune Somalien, met en lumière, une fois de plus, les problématiques liées à l’accueil des mineurs isolés étrangers et à leur suivi une fois majeurs. Cette affaire relance le débat sur la gestion de l’immigration et sur les enjeux de sécurité publique associés. À Nantes, comme ailleurs en France, les politiques d’accueil et d’intégration semblent montrer leurs limites.
Illustration : DR
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8 réponses à “Nantes : une joggeuse échappe à une tentative de viol par un migrant grâce à des passants courageux”
« Le jeune homme, placé en garde à vue, a nié les faits, affirmant être tombé accidentellement dans les escaliers ».
Si ce genre de faits n’était pas aussi grave, l’argument serait à mourir de rire!
Rien d’étonnant, lorsque tous ces damnés de la terre, dont le flux est ininterrompu, voient qu’un couple sur deux, est composé d’une blanche locale et d’un sub-saharieN – qu’ils se disent, ne réfléchissant pas à deux fois :
« QU’IL Y A QU’À SE SERVIR »
Et cela n’a rien à voir avec le celtisme, puisque les équivalentes anglophones ne se laissent pas apprivoiser de la sorte
coke et methan ne sont pas gratuites comment ce clochman peut il se procurer ces drogues ? l’argent que donne l’etat ? les assoçs ?quand arretera t on d’importer ce genre de déchet inutile pour une société civilisée
Sidérés par ce qui arrive à leur pays, les Français sont restés interdits et muets d’horreur pendant longtemps, trop longtemps, croyant rêver…. mais maintenant, tout le monde a compris, le fait que des passants soient intervenus rapidement le confirme. Tant mieux pour cette sportive mais nous fait bien voir que nous ne sommes plus en sécurité nulle part.
Dans votre article on peut lire que « Ces événements posent la question de la sécurité des femmes dans les espaces publics » ».
Mais vous n’y etes pas, mais alors pas du tout !!!
Tachez de comprendre que ces événements (TRES GRAVES car ils peuvent entraîner le décès de la personne attaquée) posent une question fondamentale: C’est celle de la présence, licite ou illicite on s’en fout, de migrants, sans le moindre papelard officiel, sur le sol de France et en particulier celui de la Bretagne.
Chassez ces peuplades dont personne n’a besoin des Terres de la Nation, et vous aurez la paix !!!
Bravo les passants!
Mais vous auriez du lui péter la G et le foutre dans l’Erdre …
Il ne reste plus qu’à espérer que le somalien, avec l’aide d’associations et d’avocats bien intentionnés, ne porte pas plainte contre les passants…
Est-il possible de comprendre que tous ces migrants ont une opinion méprisante de la race blanche et des femmes en particulier….il serait intéressant de connaitre aussi la religion des agresseurs sexuels en général mais a part les terroristes où c’est connu pour le reste silence radio !