Le wokisme a commencé sa lente régression partout dans le monde mais certaines personnes en sont pourtant toujours victimes, notamment dans le milieu artistique.
Ce vendredi 13 décembre, c’est la chanteuse bretonne Faustine Audebert qui fait part de son étonnement sur les réseaux sociaux face à un refus de programmation :
Cette anecdote fait suite à une sorte de campagne wokiste à la sauce biniou qui a vu les musiciens et surtout musiciennes de fest-noz ou de la scène bretonne en général considérer que les femmes n’étaient pas assez mises en avant sur les planches. Pire ! Elles étaient même « discriminées » en tant que « femmes ». Pourtant, toute personne ayant organisé un fest-noz un jour sait très bien que des groupes féminins ou des duos de chanteuses sont présentes et demandées par les organisateurs sans aucune discrimination quelconque, mais il fallait bien que le petit milieu de la musique bretonne joue sa petite partition woko-féministe dans le concert mondial des « indignés ». Concert mondial qui a fini par lasser tout le monde d’ailleurs.
Par contre, malgré le fait que les « immigrés sont des Bretons comme les autres » et qu' »ils parleront tous bretons un jour » car la bretonnitude est avant tout « un sentiment », on ne voit jamais, à part quelques rares exceptions, de groupe de personne de couleur sur les scènes de musique bretonne. Pourquoi est-ce que les wokes du biniou ne « s’inquiètent pas » d’une « telle discrimination » ? Et qu’en est-il des bagadoù à Maurepas à Rennes ou Kerbernier à Brest ?
Le milieu de la musique bretonne reste à 99,99% blanc mais cela n’indigne personne, surtout pas les musiciens eux-mêmes ! Etrange… Ne serait-il pas temps de « casser les codes » et « les préjugés » camarades ?
Crédit photo : Page facebook Faustine Audebert
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