La France saigne. Et ce n’est pas une métaphore. Chaque jour, sur nos trottoirs, dans nos métros, à la sortie des lycées ou dans les halls d’immeubles, le métal froid d’un couteau tranche des vies, brise des familles, et marque notre société d’une barbarie insidieuse mais galopante. Plus une dispute, plus une embrouille, qui ne se termine sans qu’un couteau surgisse, aussi naturellement qu’un sourire dans une conversation. Une lame jaillit, un cri résonne, et la scène de violence se termine dans une mare de sang. Bienvenue dans la France du XXIᵉ siècle.
Oh, bien sûr, les sociologues et chercheurs du CNRS planqués dans leurs bureaux et payés par vos impôt s’empresseront de dédramatiser. Avec leurs graphiques, leurs données et leur éternel prêchi-prêcha, ils nous diront que « la violence n’a jamais été aussi basse », que « nos aïeux se battaient eux aussi au couteau ». Mais, sérieusement, qui peut y croire encore ? Il ne s’agit pas seulement de chiffres, il s’agit d’un sentiment palpable, omniprésent, que chacun ressent lorsqu’il sort de chez lui. Cette déferlante de violence au couteau n’a rien d’une coutume européenne, rien d’une tradition enracinée dans nos mœurs. Elle est une importation, une acculturation, et une pathologie sociale que nos dirigeants refusent de nommer par lâcheté ou par calcul.
Pourquoi se battre comme des hommes quand on peut poignarder comme des lâches ?
Dans cette triste équation, une question brûle les lèvres : pourquoi ces affrontements ne se règlent-ils pas à mains nues ? Parce que ce n’est pas dans la nature de ces nouveaux dégaineurs de lame. Car, et il faut oser le dire, les statistiques parlent d’elles-mêmes : les suspects arrêtés pour ces agressions au couteau, en large majorité, n’ont rien de Gaulois. Ils viennent de cultures où l’affrontement physique n’est pas une épreuve de courage mais une opportunité de meurtre. Là où la lâcheté prime sur l’honneur, et où le couteau devient le prolongement naturel d’un égo fragile.
Et, pendant ce temps, l’honnête citoyen, celui qui ne demande rien d’autre que de vivre en paix, est désarmé par la loi, ligoté par un arsenal législatif qui le prive de tout moyen de se défendre. Imaginez une seconde que ces manieurs de couteaux trouvent en face d’eux des citoyens armés, prêts à riposter avec une balle pour chaque lame dégainée. Imaginez un monde où la terreur changerait de camp, où le criminel réfléchirait à deux fois avant de sortir son arme. Mais non, nous vivons dans une société où seule la racaille a le droit de s’armer, et où le citoyen respectueux des lois est condamné à être une victime potentielle.
Des demi-mesures pour un mal profond
Face à cette flambée de violence, que font nos autorités ? Des mesurettes. Des « renforts policiers », des « zones de vigilance renforcée », des « applications pour signaler les trajets à risque ». Pathétique. Comme si la simple présence d’un gendarme ou d’une caméra pouvait dissuader un criminel déterminé. Ce ne sont pas des patchs dont nous avons besoin, mais d’un remède de cheval. Et ce remède commence par nommer les choses telles qu’elles sont.
Ces dégaineurs de couteaux doivent être traités avec une fermeté exemplaire. S’ils sont Français, qu’ils soient emprisonnés, puis redressés militairement, à la dure, pour redevenir aptes à vivre en société. S’ils ne le sont pas, ou s’ils cumulent les nationalités, qu’ils soient expulsés sans délai à grands coups de pied dans le derrière, et qu’importe que leurs pays d’origine ne veulent pas les reprendre, cela ne nous regarde pas. Zéro tolérance. Zéro excuse. Car tant que ces mesures ne seront pas appliquées, la violence continuera de se propager comme une gangrène, et le sang continuera de couler sur nos pavés.
Nous sommes à un tournant. Chaque jour qui passe sans action radicale est un jour de plus où nos rues s’enfoncent dans la violence, où nos enfants grandissent dans la peur, où notre société s’habitue au pire. Laisser faire, c’est capituler. Et capituler, c’est trahir.
Il est temps d’agir. Pas demain, pas dans six mois, mais maintenant. Réarmer nos lois, réarmer nos citoyens, réarmer nos valeurs. Et dire, avec force et sans détour, que la France ne sera jamais un terrain de chasse pour les lâches armés de couteaux. Si nous continuons sur cette pente, nous ne pourrons plus nous reconnaître dans le miroir de notre civilisation. Et cela, mes amis, serait le plus grand des crimes.
Julien Dir
Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
Photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2024 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
6 réponses à “Délinquance et barbarie en France. À chaque couteau dégainé, une société qui saigne [L’Agora]”
Et cela ne peut que croître, car il n’est pas interdit en France d’éduquer des enfants à tuer autrui : https://ripostelaique.com/pourquoi-est-il-permis-en-france-deduquer-des-enfants-a-tuer-autrui.html –
C’est la Loi qui est fautive. Rien d’autre.
Si la Loi disait que tout porteur d’un couteau est automatiquement condamné à la prison, et toute utilisation d’un couteau entraîne des sanctions pénales graves avec refoulement du pays apres avoir purgé sa peine, peut-être que « certains » reflechiraient avant de glisser leur schlass protecteur dans les chaussettes …
Il ne fait pas changer les lois, mais appliquer cellzs qui existent ! D’a^rès le Code pénal : quelle peine pour une agression au couteau ? Une amende de 15 000 € et 1 an de prison. Et voilà. Il suffit d’appliquer la loi, et ne pas libérer l’agresseur après quelques heures de garde à vue.
« nos aïeux se battaient eux aussi au couteau ».
Excusez-moi « expêrts » du CNRS, mais dans mon Penn-Ar-Bed, agité, bagarreur et souvent alcoolisé, je n’ai JAMAIS assisté à une bagarre au couteau et pourtant mon père qui disait aimer la baston même seul contre 3 (je l’ai dans un bar) n’a jamais possédé un couteau. Lui est son équipe de « Daltons » utilisaient au pire une matraque mais ni couteau, ni tessons de bouteille.
Le premier couteau que j’ai vu vers 1960 dans le bar de ma mère, veuve de 50 Kgs avec 4 enfants était brandi (Pourquoi ?) par un algérien calmé par son compère Kabyle.
Le 2è couteau de 30 cms fût brandi comme par réflexe par un maghrebin vers 1980 dans la rue Jean Jaurès de Brest alors que nous étions en goguette mon frangin Bernard et moi.
Peut-être que le couteau est le moyen d’expression d’étrangers connaissant mal le français ?
Politichiens tous complices !
S’ils avaient des couilles, il suffit de quelques bonnes lois pour éradiquer la moitié de la délinquance notamment islamique !
Agressions au couteau : pas seulement en France, c’est tendance dans toute l’Europe. Pour preuve : Royaume Uni, le 29.7.2024, Axel Rudakubana, 17 ans, d’origine rwandaise, a poignardé sauvagement deux femmes et 11 enfants. Trois fillettes succombent à leurs blessures. Aussitôt les autorités nient tout lien avec le terrorisme ou l’immigration. Ils décident d’emprisonner massivement les manifestants et comme il faut trouver des places dans les prisons, on accorde des remises de peine aux détenus qui les occupent. J’ai passé toutes mes vacances en Bretagne, du côté de Brest. A cette époque, il n’y avait pas de bagarres au couteau. Bizarre, vous avez dit bizarre ?