Ce jeudi soir…là…. suis en train de marcher dans Rennes…
La Gare… Le Champs de Mars devant les Trois Soleils…la Poste…la Gare…République…Place Sainte-Anne… Place Rallier du Baty…La dalle du Colombier…Les Horizons…
Stupéfiant ! Une personne ayant connu Rennes dans les années 80 se demanderait comment on a pu copier aussi parfaitement son centre-ville en plein milieu du Bénin. Comme un western spaghetti ! Mais dans l’Ouest africain.
Mais comment avons-nous pu laisser faire ça ? Oh Djadja ! Rennes est désormais le 55è pays du seul continent qui déverse sa population dans les quatre autres. Si demain Nathalie Appéré demande à adhérer à l’OUA, il n’y aura rien à redire à cela. Puisque Rennes n’est plus en Bretagne. Et ce ne sont pas les plaques de rue en breton (en plein pays gallo !) qui vont y changer quelque chose. Il y a quelque chose d’ahurissant à tout cela d’ailleurs. Quand je faisais mes études à Rennes dans les années 80, mon Trégor natal commençait à se couvrir de panneaux en breton et Rennes en était exempt. Ville rock n’roll qui méprisait tout ce qui venait de la campagne. Trop plouc ! Rennes était une ville peuplée de Bretons gallos qui regardait plus vers Londres que vers Guingamp en gros.
Aujourd’hui, c’est le contraire. Paradoxe sur Vilaine. Une « bretonnisation » de Rennes assez artificielle. Municipale ! Avec des « Roazhon » partout et des « Straed » machin dans une ville qui n’a jamais parlé la dite-langue celtique. Les gallos doivent gueuler et on peut les comprendre ! Et puis là où est le paradoxe c’est que Rennes n’est plus peuplée de Bretons. Mélange de bobos parisiens qui télétravaillent et jeunes africains en chaussettes-claquettes ou uber sushis vélo. Tribus-Tribus. Les uns servant d’esclaves aux autres. 50 nuances de Grey et 50 nuances de noir. Mais les Bretons, a p’us. A part les plaques ! En fait, Rennes aujourd’hui, c’est plus il y a de breton moins il y a de Bretons !
Je vois sur un affichage Ouest-France que le procès des assassins présumés de Wilhem Houssin a démarré. Musicien. Ecorché. « Grand coeur ». « Soleil ». Il avait, entre autres, recueilli chez lui une famille mahoraise. Bravo ! Comme un résumé du Rennes bohème. Rennes transmusicales et antifa. Jouait-il aux palets sur le Mail entre deux répèt’ ?
En juillet 2021, notre grand coeur avait été battu à mort par 5 connards à Saint-Jacques à qui il avait demandé sa direction. Point de deal. Saint-Jacques (de la lande), c’est la banlieue de Rennes. Continuité. On se demande d’ailleurs pourquoi la commune n’a pas été absorbée.
Mais revenons au tragique. Wilhem a été découpé. Les types jouaient avec sa tête comme avec un ballon de foot. Inutile de vous préciser d’où viennent l’équipe de lascars. Bachir, le cervelet de la bande fait le cirque en prison apparemment. Mais il va se repentir, il l’a promis. Sur le Coran de la Mecque !
Il est 23h et je suis en bas de République. Pré-Botté. Pas loin des anciens locaux de Ouest-France. J’avais un ami qui habitait là. Fred. Faisait des vidéos en ce temps lointain. Tous les rennais s’appellent Fred ou Erwan. Je regarde autour de moi. Il était à la Ligue Communiste Révolutionnaire, Fred. Que penserait-il de tout ça ? De ce que je vois là, maintenant ? Enfin, c’est tout de même sidérant. Je suis là au même endroit qu’autrefois. Bistrots. Ouest-France. Mais ce décor a été transporté sur un autre continent. Autre réalité. Tiens, il y a un type qui parle tout seul. Traverse la rue. Emmerde les bus. S’énerve et interpelle le ciel. J’ai dit comportement bah ouaih. De quel coin d’Afrique du diable peut-il venir ? Comment est-il arrivé à Rennes ? Par quelle magie marabout va-t-il nous enrichir ?
Est-ce que Wilhem voyait ce changement démographique évident ? Est-ce que Fred le voit ? Crève les yeux ! Bondieu ! Et sans couteau ! Est-ce que Nathalie Appéré voit ce qu’est en train de devenir sa ville ? Ah, elle peut en aligner des panneaux en breton à tous les coins de rue ! Mais dans 10 ans, ce n’est pas plus de familles brezhoneg qu’on aura mais de la viande de brousse à même le sol et du maïs grillé sur des caddys sur 3 kms entre Sainte-Anne et Colombia.
En fait c’est une tragédie qui est en train de se construire sous nos yeux. Et les dingues qui ont promu ça… Encouragé ça… célébrés ça… « diversité, diversité ! »… sont des criminels devant l’Histoire. Ce sont même eux qui ont tué Wilhem. Les véritables assassins ! Par immigration interposée !
Anne-Sophie Hamon
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3 réponses à “Rennes, plus il y a de breton, moins il y a de Bretons [L’Agora]”
Ah ! Le retour d’Anne Sophie ! J’ai beaucoup ri sur les noms de rue en breton… du pur folklore. Même chose à Nantes et tout aussi ridicule
tres bien cet article ;;; j’ai vécu à Rennes dans les années 70 et 80 ,j’aimais cette ville un peu bourgeoise ,douce à vivre ,élégante , j’ai meme habité à Maurepas ,;et puis elle a sombré doucement dans un multiculturalisme décadent ,débile,;les imbéciles « antiracistes » pires que les « racistes » ont semés la misere ;cette ville est devenue une poubelle comme Nantes et bientot Vannes ou j’habite et que je vois décliné ,Lorient,Brest,Fougeres ma ville de naissance qui me donne envie de pleurer;;;;l’avenir est sombre ;; j’ai voyagé autour du monde en auto stop j’ai été migrant en pays étranger,et j’ai vu la beauté de cette planete dans sa diversité ,je la vois sombré dans un multiculturalisme et universalisme suicidaire ;; nous sommes tous issues de la terre et du vent du lieu de notre naissance ,le reste sur le sujet n’est qu’illusion ou reverie immature ou malhonneteté arriviste
Inutile de lire l’article pour comprendre, que plus il y a de Bretons de papier moins il y a de Bretons Gaulois réfractaires ! Mais c’est le nouveau, c’est une chance pour la France, n’est-ce pas ?