Ah ces gauchistes ! Voulant revivre à l’infini les années de plomb italiennes ou la guerre d’Espagne qu’ils n’ont pas connu, ils cherchent en permanence des histoires de “milices fascistes” voulant “tuer des militants de gauche” voire “provoquer des attentats” dans un but de “stratégie de la terreur”. D’ailleurs, c’est bien connu, en 2024, la principale menace à l’ordre public, c’est le “terrorisme d’extrême-droite”.
Risible et pathétique.
C’est dans cette logique que les esprits se sont enflammés la semaine dernière près de la ZAD de Saïx dans le Tarn où des opposants à l’autoroute A69 ont installé un campement afin de faire capoter le projet de voie rapide. Or, mardi 13 août, les gauchistes présents sur la ZAD s’enflammaient en hurlements et Nopasaraneries diverses car “des miliciens” avaient “tenté de tuer” deux d’entre eux à “coups de couteau” et “en les aspergeant d’essence”.
Mardi 14 août, le parquet du Tarn, par la voix d’Élodie Buguel, la procureure de la République auprès du tribunal de Castres indiquait qu’il ouvrait une enquête pour “dégradation par incendie” élargie, après audition des deux “victimes”, à violences en réunion.
Hélas pour les fantasmes gauchistes, la réalité de l’agression apparaît bien moins dramatique qu’annoncée : en effet, selon la procureure, le témoin qui avait affirmé avoir eu un couteau sous la gorge n’était absolument “pas sûr que l’objet pouvait être un couteau“. Quant au second témoin, il n’avait reçu que “quelques gouttes d’essence” sur lui, lors de la projection du dit liquide afin de le tenir à distance. On est donc bien loin de la tentative d’immolation décrite au départ.
Alors que des français se font égorger ou agresser tous les jours par des individus chouchoutés par les gauchistes, ces derniers continuent à nier la réalité et inventent des agressions dramatiques imaginaires de “miliciens” afin de se faire mousser dans leurs milieux d’éternels adolescents attardés.
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