Le 29 juillet dernier, les quartiers nord de Nantes – qualifiés de « sensibles» ont été une fois de plus à la hauteur de leur réputation. Au Chêne des Anglais, un habitant sorti prendre l’air aux heures les plus fraîches de la nuit, a été molesté par deux personnes, dont un qui porte une hachette, et son téléphone lui a été volé. La description du principal agresseur permet de l’interpeller, avec son couteau, dans le secteur à cinq heures du matin ; la victime, griévement blessée au nez, a plus de 8 jours d’ITT.
Pendant que certains commencent leur semaine en garde à vue, d’autres font tout pour y parvenir dès le dimanche soir : les videurs du Macadam, au moment d’ouvrir leur boîte de nuit située près de la gare de Chantenay, surprennent un client avec 34 comprimés d’ecstasy sur lui, qui prétend ne faire que la garder. Il est interpellé sur les lieux par la police.
Nantes : l’ex-détenu fête trop la quille et manque de retourner en prison
Le 27 juillet dernier à Nantes, un homme a peut-être trop fêté sa sortie de prison . Tant et si bien qu’il a failli y retourner vers 17 heures. Il a commencé par importuner les clients d’un bar place Viarme, puis il a traversé la place et s’est fâché contre un automobiliste qu’il a traité de « sale flic » avant de lancer un savon liquide sur sa voiture – l’automobiliste ne s’est pas énervé, et a appelé les policiers, qui ont eu fort à faire pour intimer l’ordre à l’ex-prisonnier de quitter le quartier pour ne pas avoir à retourner derrière les hauts murs.
Avec une voiture achetée sur Telegram, il refuse un contrôle et multiplie les infractions
Le 29 juillet dernier, un homme été jugé, pour avoir, le 25 juillet, refusé un contrôle de police route de Paris, de surcroît en état d’ivresse, et percuté une voiture de la brigade canine, aujourd’hui à l’état d’épave. Sa voiture ? Il l’avait achetée 1200 euros sur Telegram (décidément!), mais elle avait été volée en région parisienne la semaine dernière.
Entre sa garde à vue et la comparution immédiate, il s’est retrouvé à la maison d’arrêt, plus que surpeuplée. Trois jours lui ont suffi : « je dors par terre, on est trois dans la cellule. C’est horrible. Horrible. Je m’excuse auprès des policiers. Je veux bien payer tout ce qu’il faudra. Je suis prêt à faire tout ce qu’il faudra. Je veux juste récupérer ma vie ». Excuses acceptées. Ce sera 12 mois avec sursis de deux ans, obligation de travailler, de se soigner et de suivre un stage de sécurité routière.
LM
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3 réponses à “Agression à coup de battes, refus d’un contrôle, injures envers des policiers…soirées agitées à Nantes”
« 12 mois avec sursis de deux ans, obligation de travailler, de se soigner et de suivre un stage de sécurité routière. »
bon mais ensuite aucune vérification, le gars peut récidiver sans problème
Que choisir : un coup de chaud à la maison ou un coup de batte dehors.
Sortir dans la rue, c’est vraiment la roulette russe.
Lu dans le gazette de Bamako :
La ville de Nantes est devenue la porte d’entrée pour nos compatriotes et autres frères sub-sahariens, certains qu’ils sont de se trouver une blanche locale (jeune ou d’âge moyen),
pour se marier et obtenir le permis de résidence. Un couple sur deux étant mixte