Les Jeux Olympiques de Paris 2024 se dérouleront du 26 juillet au 11 août 2024 à Paris. On vous a présenté le calendrier global de ces JO, place désormais aux calendriers détaillés par sport. Voici ici la gymnastique artistique.
Rappel ; Les Jeux olympiques de Paris 2024 seront diffusés en direct sur les chaînes du groupe France Télévisions, ainsi que sur les chaînes du groupe Eurosport.
PROGRAMME DE LA GYMNASTIQUE ARTISTIQUE AUX JO DE PARIS 2024
Samedi 27 juillet
Début : 11:00 Fin : 13:30 Arena Bercy
- Qualification – hommes
Début : 15:30 Fin : 18:00 Arena Bercy
- Qualification – hommes
Début : 20:00 Fin : 22:30 Arena Bercy
- Qualification – hommes
Dimanche 28 juillet
Début : 9:30 Fin : 13:20 Arena Bercy
- Qualification – femmes
Début : 14:50 Fin : 16:30 Arena Bercy
- Qualification – femmes
Début : 18:00 Fin : 19:40 Arena Bercy
- Qualification – femmes
Début : 21:10 Fin : 22:50 Arena Bercy
- Qualification – femmes
Lundi 29 juillet
Début : 17:30 Fin : 20:30 Arena Bercy
- Compétition par équipes – hommes, finale
Mardi 30 juillet
Début : 18:15 Fin : 20:30 Arena Bercy
- Compétition par équipes – femmes, finale
Mercredi 31 juillet
Début : 17:30 Fin : 20:15 Arena Bercy
- Concours général – hommes, finale
Jeudi 1er août
Début : 18:15 Fin : 20:25 Arena Bercy
- Concours général – femmes, finale
Samedi 3 août
Début : 15:30 Fin : 18:00 Arena Bercy
- Finales par agrès – femmes/hommes
Dimanche 4 août
Début : 15:00 Fin : 17:40 Arena Bercy
- Finales par agrès – femmes/hommes
Lundi 5 août
Début : 12:00 Fin : 15:15 Arena Bercy
- Finales par agrès – femmes/hommes
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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8 réponses à “Jeux Olympiques Paris 2024. Le programme détaillé de la gymnastique artistique”
Au cirque ce soir.
La cérémonie d’ouverture des J.O. fut très réussie avec un savoir faire impressionnant. Destinée à encenser la beauté, la jeunesse, la joie, la vie, l’espoir en un monde meilleur et en paix elle suscite quelques remarques.
Les organisateurs ont fini par tomber dans les travers qui font que hors de France la planète entière trouve les Français insupportables, arrogants, autosatisfaits, ne doutant de rien et surtout pas d’eux mêmes …
Assassin’s Creed, cavalier de l’apocalypse, danse macabre symbolisaient la gaieté. Plutôt inquiétant. Mais qui sont ces gens ?
Les allusions, lourdes comme des bouteilles de butane (1), faisaient trop souvent appel au voyeurisme primaire des téléspectateurs. Elles ont fini par devenir lassantes et iI est des clins d’oeil que l’on aurait préféré ne jamais voir.
La BNF serait devenu un lupanar où l’on déchire les livres et où on peut se faire des plans c.l à trois. La BNF va attirer du monde voire le monde entier mais ce ne sera pas pour la qualité de ses livres.
Comme à son habitude aya n’a pas pu s’empêcher de se toucher. Serge Gainsbourg avait pris les adolescentes pour des c.nnes avec «ses sucettes à l’anis ». Maintenant c’est du réchauffé et simplement pénible à voir. Et dire que des militaires ont été complices de ses insanités.
La cène obscène était totalement inintéressante et d’un ennui. En un sens on peut dire que le tableau était réussi même si le résultat était inverse de celui recherché. Pour ceux qui aiment les moeurs décadantes René Goscinny nous avait fait rire avec Gracchus Garovirus et Fellinus à Condate dans Astérix chez les Helvètes.
Le défilé : Pour les amateurs de cirque avec phénomènes de foire on peut suggérer de revisionner Rastabout (1965). Même si c’est un navet il ne s’ennuieront pas en écoutant Elvis Presley chanter. Alors que là …
Un plan B aurait été judicieux : Au lieu de chanter sur les toits, danser sous la pluie façon Gene Kelly ou chanter sous des parapluies (de Cherbourg) aurait été plus adapté à la météo. Les soeurs Dorléac étaient si belles et Michel Legrand avec ses trois oscars était légitime.
Toute notre admiration aux délégations trempées jusqu’à l’os qui ,on l’espère ne se retrouveront pas aux urgences pour bronchites aggravées. Félicitations aussi aux techniciens qui ont presque réussi à faire croire aux téléspectateurs de la terre entière qu’il faisait beau dans un Paris magnifique.
Nous n’avons pas remarqué la frimousse de la maire de Paris, ville hôte. ?
Pour être très sérieux : si, ne serait-ce qu’un seul euro venait de la poche des contribuables pour payer cette cérémonie, alors ils seraient en droit d’exiger que les comptes de la cérémonie soient rendus publics et accessibles à tous. Fatigués d’être pris pour ce qu’ils ne sont pas, une totale transparence leur est due.
Beaucoup d’encouragements, de médailles et d’applaudissements aux athlètes français.
NB : Il semblerait qu’en France il n’y ait plus d’armée. Alors que se généralisent égorgements d’innocents et pas en images, attaques de banques à l’explosif, sabotage organisé du réseau ferroviaire national, rien ne bouge dans les casernes ?
(1) Ecouter Francis Cabrel dans Sarbacane.
Comme attendu les médias mainstream macroniens ont unanimement qualifié cette cérémonie d’ouverture d’époustouflante, de magnifique, de grandiose…et autres qualificatifs abusifs. Pour ma part, j’ai trouvé cette cérémonie extrêmement vulgaire, dégoulinante de clichés wokes à la limite du supportable. Sans parler de ces pauvres athlètes massés comme des poulets sur des bateaux bruyants, polluants l’air et l’eau sur six kilomètres. J’espère pour eux que personne n’était atteint du Covid ou autre virus contagieux…A part le final de Céline Dion toujours égale à elle-même, les exhibitions des « artistes » présentés d’une Aya Nakamura à Philippe Katerine chantres de la vulgarité, d’une Lady Gaga vieillissante et pathétique au défilé des « jeunes créateurs » avec des mannequins qui se trémoussaient de manière abjecte et lascive…Pauvre et dégradante vision de l’art et de la culture ! Une vision apocalyptique de ce qu’il veulent imposer à notre société. Et pour terminer cette image lèche-c.l des deux athlètes (Guadeloupéens) allumant la vasque olympique, dans une tentative pathétique de calmer un pays (la Guadeloupe) en colère, ils prennent vraiment les gens pour des C.NS ! Même les cieux n’ont pas apprécié ce spectacle malsain en le noyant sous des trombes d’eau, comme pour laver cette frange qui aura coûté des millions d’euros aux contribuables….
La folie J.O.
Aux amoureux du sport et tous les autres : déchaînez-vous, éclatez-vous, ne boudez pas votre plaisir, amusez-vous.
Adieu les années Covid. Si vous vous y mettez tous ce sera plus fort que les années folles et vous entrerez dans l’Histoire.
J.O. (suite).
Ne réfléchissez pas, montez dans le train parce qu’il n’y en aura pas d’autre. Où que vous soyez, la fête n’est pas que dans les salles, les stades, devant la TV. Sortez, bougez, parlez, profitez de l’été, l’occasion est trop belle et ce sera mieux que dans Amélie Poulain.
La folie J.O.(suite)
Peuple martyrisé, venge-toi, amuse-toi. Abandonne les décadents à leur ennui et leur tristesse. Chante avec Charles Trenet Y’a d’ la joie.
J.O. Au pays des merveilles.
Le souffle des J.O. n’est pas une brise molle mais une puissante tornade qui a fait décoller les Français du confort de leur salon jusqu’aux lieux des épreuves où ils ne manquent pas de souffle. Puisse ce souffle ne pas se calmer trop rapidement.
Les images des athlètes retransmises à la télévision sont souvent très réalistes et parfois hypnotisantes. On a l’impression de passer à travers l’écran et de se retrouver dans un autre monde. C’est fascinant.
Toi qui doutes, ce que le courage de ces athlètes te rappelle c’est que si tu ne réussis pas vraiment dans ce que tu entreprends, à condition d’en avoir la volonté et d’être accompagné, tu peux toujours mieux faire et tu seras gagnant parce que tu auras découvert au plus profond de toi-même des ressources que tu ne soupçonnais même pas pour réaliser ce que tu pensais ne jamais être capable d’accomplir. Et il s’agit là d’un véritable trésor.
Pour te détendre écoute la chanson de Renaud : « Dès que le vent soufflera. »
JO : fêtes et défaites
Les médailles, c’est oui. La fête tous les soirs, c’est oui. Même si les lendemains sont difficiles et les idées pas très claires ce n’est pas bien grave.
« T’était-il vraiment impossible d’agir autrement que tel que tu aurais pu le faire autrement ? (Ca te barbera, les inconnus)
Allez les Bleus, …, sauf un : l’artiste schtroumpf qu’on n’a pas encore vu applaudir les athlètes. Trop occupé, sans doute s’occupe-t-il de la commercialisation des produits dérivés de sa prestation lors de la cérémonie d’ouverture.
P’tit farceur ta blague ne fait rire que toi et les tiens.
L’actualité J.O. Fuck you
Sur France 2, deux interviews deux mondes et quel contraste !
Autant on pouvait être sous le charme des Parisiennes, de leur simplicité et finalement de leur classe lors du passage des cyclistes dans la rue de Belleville (03/08) autant la prestation de la maire de Paris était indigne (07/08). On a vu et entendu une authentique plouc qui débite des vulgarités. La honte.
Pour vous détendre : Le fils rock par Alex Metayer.
Pour ceux qui ne connaissent pas : Le film Les Triplettes de Belleville par Sylvain Chomet.