Durant les révoltes ethniques de Leeds, les policiers arrêtent….une Anglaise qui protestait contre les émeutiers

Depuis les révoltes qui ont eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi dernier à Leeds dans le quartier multiethnique de Harehills, de nombreuses images ont tourné en boucle sur les réseaux. Des images auxquelles nous sommes désormais accoutumés : matériel urbain saccagé, véhicules incendiés, jets de pierres et d’objets, bref, la racaille à l’œuvre. De la Suède à la France, de l’Espagne à l’Allemagne, tous les pays européens devenus malgré eux multiculturels connaissent les mêmes problèmes.

Les vidéos reprenant les agents de police fuyant en courant pour échapper aux émeutiers sont effarantes, et soulignent une fois de plus l’impuissance des forces de l’ordre à endiguer la violence et les destructions dans les quartiers dits “sensibles”. Des citoyens s’amusent sur les réseaux à souligner les différences de traitement employé par les policiers lorsqu’il s’agit de réprimer des Anglais ou les nouveaux habitants du Royaume-Uni :

Watch the hidden reality of the Leeds Riots
This is how the evil muslims caused damage after the Romanian christians attacked West Yorkshire Police and social services. A green party councillor Mothin Ali of Harehills pulls out AK47 to shoot #LeedsRiots pic.twitter.com/ndAm0dyofQ

— Neelam (@neelam_s_ali) July 19, 2024

Mais les images qui ont le plus fait réagir sont celles du seul arrêt qui a été effectué durant la nuit des émeutes : une femme anglaise qui protestait à sa porte contre la destruction en acte du quartier. Escortée en pantoufles par cinq agents, elle est ensuite menottée et placée dans le van de la police. Un homme portant un kufi musulman exclame “officiers, elle est innocente.”

Royaume-Uni : La police a arrêté une Anglaise pour conduite haineuse après avoir critiqué les migrants qui brûlaient Leeds alors qu’aucun des émeutiers n’a été arrêté.
Comme une impression qu’on nous pousse partout en Europe à la révolution pic.twitter.com/aun4w1a8q9

— Réalité Actuelle (@ReaActuelle) July 20, 2024

“No-go zone“, “zones de non-droit”, “banlieues”, “territoires perdus” et même “quartiers populaires”, quelque soit leur appellation, quelque soit leur emplacement, ces pans de territoire national sont de véritables poudrières générées par l’immigration massive et la politique du laissé faire où copulent joyeusement trafic de drogue, délinquance, et islam radical, comme à Harehills où le candidat Mothin Ali s’était écrié “Allah Akbar” lors de son élection.

L’intégration de certains immigrés ressemble toujours plus à une vaste utopie irréalisable.

Audrey D’Aguanno

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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