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Paris. Un militaire attaqué au couteau gare de l’Est, un suspect originaire du Congo (et déjà connu pour meurtre) interpellé [Vidéo]

Au fur et à mesure que le début des JO 2024 se rapproche, Paris montre un visage de plus en plus « séduisant » aux touristes et amateurs de sport qui auraient la mauvaise idée de vouloir assister à l’événement dans la capitale française.

Après la pollution de la Seine toujours d’actualité à moins de deux semaines des épreuves de triathlon et de nage en eau libre qui doivent s’y dérouler, après l’affaire des agents de sécurité fichés S, voici que l’insécurité refait parler d’elle à Paris !

Lundi 15 juillet au soir, un militaire de l’opération Sentinelle a été blessé au couteau à la Gare de l’Est. Transféré dans un hôpital des Hauts-de-Seine en urgence absolue, l’homme a été pris en charge pour une blessure à l’épaule. Son pronostic vital n’était pas engagé selon les dernières informations.

Quant à l’assaillant, il s’agit d’un individu âgé de 40 ans et né au Congo. Cet homme, un certain Christian I. qui a par ailleurs la nationalité française depuis 2006, est déjà connu pour meurtre et troubles psychiatriques. Il a été interpellé peu de temps après l’attaque par les autres militaires.

Un meurtre commis en 2018 selon le JDD, lors duquel l’Africain naturalisé français avait poignardé un homme de 22 ans à la gare de Châtelet-les-Halles, en plein centre de Paris.

Il avait été par la suite reconnu irresponsable pénalement en raison d’une « abolition du discernement », l’analyse psychiatrique de son cas indiquant alors que l’homme était atteint d’une « probable maladie schizophrénique évolutive depuis plusieurs années sans prise en charge médicale jusqu’à présent ».

En ce qui concerne l’agression du 15 juillet, elle a eu lieu vers 22 h. S’appuyant sur les images des caméras de vidéosurveillance, le quotidien le Parisien explique qu’après avoir suivi les militaires durant plusieurs minutes, l’assaillant aurait frappé l’un d’entre eux avec un couteau entre les deux omoplates.

Citant des sources policières, le titre de presse ajoute que l’auteur de l’attaque, se disant « chrétien », aurait crié « Dieu est grand » en français » lors de son passage à l’acte. Le quadragénaire d’origine congolaise aurait dit avoir agi « parce que les militaires tuent des gens dans son pays ».

Après avoir été placé en garde à vue lundi soir, le suspect a ensuite été pris en charge à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris mardi 16 juillet au matin.

Après l’ouverture d’une enquête pour tentative de meurtre par le parquet de Paris, ce dernier a fait savoir ce même 16 juillet que l’enquête portait désormais sur une tentative d’assassinat. À noter également que le suspect a déjà été condamné à deux reprises par le passé pour des violences sur conjoint.

Une attaque qui a fait réagir le ministre des Armées Sébastien Lecornu. Sur le réseau social X, il a déclaré : « Soutien et reconnaissance à nos forces armées qui participent plus que jamais à assurer la sécurité des Français ». Une sécurité qui, à quelques jours des JO, pose de plus en plus question !

Crédit photo : capture YouTube (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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Une réponse à “Paris. Un militaire attaqué au couteau gare de l’Est, un suspect originaire du Congo (et déjà connu pour meurtre) interpellé [Vidéo]”

  1. vert dit :

    Quand on voit un congolais naturalisé français. 

    Agresser un militaire hier soir .

    Un récidiviste, atteint de maladie psychiatrique. 

    Le sujet tabou de la déchéance de la nationalité française pour les binationaux délinquants se pose .

    Doit -on garder ces gens sur notre sol ?

    Effectivement, il a été naturalisé en 2007. Bien trop rapidement. 

    Quand on pense que dans certains pays , pour obtenir un permis de séjour, il faut passer un examen médical. 

    Et les cas psychiatriques sont évidement écartés .

    Que pas mal de clandestins sont en fait des cas sociaux ou psychiatriques. 

    En conclusion . Il serait temps d’avoir le courage de légiférer, pour les déchoir de la nationalité française et les renvoyer .

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