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Education à la sexualité pour les enfants et OMS. Thibault Kerlirzin : « Un document fondé en partie sur des bases pédophiles » [Interview]

Nous avons évoqué la semaine dernière la sortie d’une étude choc signée Thibault Kerlirzin au sujet des standars européens pour une éducation à la sexualité, de l’OMS. Nous l’avons interviewé pour poursuivre la discussion, ses révélations étant trop graves pour ne pas être livrées au grand public, qui se doit de protéger ses propres enfants.

Breizh-info.com : Quelle a été votre principale motivation pour réaliser cette étude ? Quels étaient vos objectifs initiaux en entreprenant cette analyse des standards de l’OMS ?

Thibault Kerlirzin : Cette étude m’a été commandée par les Mamans Louves. Ma principale motivation a été de pouvoir contribuer à leur combat en faveur de la défense des enfants, en trouvant le cas échéant des informations nouvelles qui pourraient renforcer ce combat. J’écris ici « le cas échéant », car au commencement de l’étude, j’ignorais ce que j’allais réellement trouver.

Les Standards européens pour une éducation à la sexualité de l’OMS constituent le cadre de référence des politiques de santé sexuelle pour les pays d’Europe dont la France. Au vu des nombreux témoignages reçus par les Mamans Louves et SOS Éducation relatant la présentation de pratiques sexuelles adultes auprès d’enfants, l’objectif était de savoir quelles étaient les références scientifiques sur lesquelles s’appuyait ce texte qui sert de guide pour la mise en œuvre de l’éducation à la sexualité à l’école.

Breizh-info.com :  Quels sont les principaux problèmes que vous avez identifiés dans les standards de l’OMS pour l’éducation sexuelle ? Vous mentionnez que certaines sources des standards sont discutables. Pouvez-vous nous en dire plus sur la nature de ces sources et pourquoi elles posent problème ? Vous parlez d’expertise biaisée dans la composition du groupe d’experts ayant rédigé les standards. Pouvez-vous élaborer sur ce point et donner des exemples concrets ?

Thibault Kerlirzin : Ces problèmes sont globalement de trois ordres, qui correspondent peu ou prou aux parties que j’ai proposées dans l’étude. Le premier souci avait déjà été traité par les Mamans Louves, SOS Éducation et la Plateforme Jonas, ainsi que par des professionnels de l’enfance, veilleurs vigilants qui ont dénoncé ces textes depuis 2017 : il s’agit de la composition du groupe d’experts. Le manque d’objectivité de ce dernier a également été mis en lumière notamment dans un rapport de SOS Éducation. En effet, 16 des 19 membres de ce groupe d’experts entretenaient des liens avec la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF), un organisme idéologiquement orienté, au travers de structures directement affiliées ou de ses branches nationales : Rutgers aux Pays-Bas, Sensoa en Flandre, Family Federation en Finlande, Fondation Santé Sexuelle en Suisse, etc. J’ai souhaité poursuivre cette recherche, ce qui m’a permis de découvrir quelques éléments nouveaux. Concernant Sensoa par exemple, nous rentrons d’autant plus dans le vif du sujet. Erika Frans, qui en est membre, figure concomitamment dans le groupe d’experts et dans la littérature sur le développement psycho-sexuel de l’enfant prise en référence pour élaborer les Standards. Frans a écrit pour Sensoa un livre intitulé J’ai vu 2 ours, matériel pédagogique au contenu destiné aux enfants de 3 à 11 ans. Outre des ours en position de sexe oral, de levrette ou d’autres postures sexuelles, le document propose diverses questions aux enfants. Extraits : « Y a-t-il aussi des animaux homosexuels ou lesbiens ? […] Jeunes et vieux… tout le monde le fait. Il n’y a qu’une seule règle : vous devez aimer tous les deux : qu’en pensez-vous ? […] Lorsqu’un homme est excité, il a un pénis en érection. En caressant ou en léchant cette « érection » ou en ayant des relations sexuelles on peut faire jouir un homme. […] Lorsqu’une femme est excitée, ses mamelons se dressent, son vagin et sa vulve deviennent humides, son clitoris plus gros et ses lèvres plus pleines. Notamment en caressant ou en léchant le minou une femme peut avoir un orgasme. »

Le deuxième problème, et de loin le plus important, se rapporte aux profils que j’ai cartographiés à partir de la bibliographie des Standards. Outre l’autoréférence de l’IPPF et la présence de SIECUS – qui avalise les travaux du pédocriminel Alfred Kinsey, eux aussi largement dénoncés par les professionnels de l’enfance – nous avons repéré dans les références (« A » de la bibliographie) trois profils promoteurs de la pédophilie : Gunter Schmidt, Jeffrey Weeks et Ken Plummer. Le premier, proche du pédophile Richard Green, salue les « relations pédophiles réussies qui aident et encouragent l’enfant ». Le deuxième s’indigne qu’une relation pédophile « consensuelle et mutuellement agréable » puisse « être considérée comme nuisible ». Le troisième, interviewé en 1990 pour Paidika : The Journal of Paedophilia, et ancien membre du groupe pédophile Paedophile Information Exchange (PIE), critique le « lobby de l’abus sexuel d’enfant », i. e. les personnes qui considèrent les relations pédocriminelles comme de l’abus sexuel sur enfant. La section suivante de la bibliographie des Standards, « Littérature sur le développement psycho-sexuel de l’enfant » (« B »), a révélé à plusieurs reprises des profils similaires. Un tiers des profils de cette littérature (que j’ai appelés profils rouges) sont favorables à la pédophilie : Bornemann, Langfeldt, Schmidt que l’on retrouve à nouveau, Straver, Barbaree, Sandfort, Zwiep…

Le troisième problème identifié porte sur le supposé consensus que laisse entendre le groupe d’experts dans sa proposition d’éducation à la sexualité. Les deux points précédents soulignent déjà l’absence d’impartialité et de diversité collégiale du groupe d’experts ainsi que l’appel à des références pédophiles. Nous pouvons ajouter à cela l’absence d’études scientifiques dissonantes susceptibles d’infirmer l’idéologie disposée dans les Standards.

Breizh-info.com : Quels sont, selon vous, les dangers principaux de la sexualisation précoce des enfants telle que proposée par ces standards ? Pouvez-vous donner des exemples spécifiques des contenus des standards que vous jugez particulièrement préoccupants ?

Thibault Kerlizin : Je ne répondrai pas « selon moi » car je ne suis ni un thérapeute spécialiste de l’enfance ni un neuroscientifique et n’ai donc pas de légitimité à émettre un avis qui aurait une quelconque valeur scientifique. Mon travail de consultant a consisté sur ce point à lire et à rapporter des études scientifiques qui m’ont parues pertinentes pour mettre en perspective et contre-balancer les affirmations des Standards. Ses principaux risques ont d’ailleurs été décrits dans le rapport de SOS Éducation, co-construit avec son comité d’experts qui se compose de professionnels de l’enfance reconnus – dont des sommités de la pédopsychiatrie. Pour résumer, les risques sont d’attenter à la santé physique et psychique des enfants. Dans le développement des stades cognitifs, la parole de l’adulte est parole d’évangile pour les enfants de moins de 12 ans. Parler de sexualité infantile comme on parle de sexualité adulte – et de ses pratiques – modifie la vision fantasmatique de l’enfant, que l’on fait entrer de plain-pied et de manière extrêmement prématurée dans un monde auquel il n’appartient pas. Ainsi entendent-ils parler, conformément aux Standards, de sodomie, pénétration, masturbation ou encore de sexe oral comme étant de simples plaisirs qu’il ne faudrait pas réprimer. L’encadré p.38 des Standards, consacré aux enfants de 0 à 4 ans, présente ainsi « le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce » et, dans le même registre, p.40 pour les enfants de 4 à 6 ans, « les sensations liées à la sexualité (proximité, plaisir, excitation) comme faisant partie de la gamme des sensations humaines (elles doivent être positives, n’inclure aucune coercition et ne pas faire mal) ». On peut aisément imaginer ce que cette effraction psychique peut entraîner comme traumatismes avec les conséquences qui peuvent découler de ce type de traumas sur la stabilité émotionnelle, la construction de soi, ou l’émergence de toxicomanies variées.

Nous pouvons brièvement donner un autre exemple de contenu : la digression sur la notion de citoyenneté sexuelle, qui constitue l’encadré p.19 des Standards, « qui se rapporte aux droits sexuels dans la perspective des sciences sociales », dixit. Outre l’idéologie du genre et des « droits sexuels », la note de bas de page 27 présente dans cet encadré renvoie simultanément aux travaux de trois pédophiles précités : Gunter Schmidt, Jeffrey Weeks et Ken Plummer.

Breizh-info.com : Vous mentionnez la présence de défenseurs des relations pédocriminelles dans la bibliographie des standards. Est-ce que cela discrédite selon vous tout le document et ses recommandations ?

Thibault Kerlirzin : Oui absolument. Vous voyez-vous dire à des parents : « Un tiers des références que nous avons prises en littérature sur le développement psychosexuel de l’enfant pour parler d’éducation à la sexualité à votre fils / fille sont des pro-pédophiles, mais pas le reste donc ça roule » ? C’est inconcevable. La mention d’un de ces profils, par inadvertance ou méconnaissance, peut arriver. Mais nous parlons ici de plus d’une quinzaine de profils problématiques. Sans être aussi graves, de nombreuses autres références qui jalonnent la bibliographie des Standards ne sont pas non plus exemptes de biais. Le groupe d’experts qui a élaboré le document et donc dangereusement choisi ces pédophiles en connaissance de cause est à écarter.

Breizh-info.com : Votre étude mentionne une corrélation entre la sexualisation précoce et les comportements à risque. Pouvez-vous élaborer sur ce point ?

Thibault Kerlirzin : J’opérerai une distinction / précision au regard de ce que j’ai lu. Les études dissonantes que j’ai rapportées parlent non pas de sexualisation précoce mais de rapports sexuels précoces qui entraîneraient des comportements à risque. La question du lien entre sexualisation précoce et comportements à risques se pose, mais les pédopsychologues et les neuroscientifiques (entre autres) sont plus indiqués que moi pour y répondre. Ceci, même si l’on peut supposer, comme je l’ai introduit à la fin de votre troisième question et au regard de l’impact du visuel sur les circuits limbiques (siège des émotions) et des mécanismes du conditionnement (tant répondant qu’opérant), qu’une sexualisation précoce peut générer des comportements à risque. L’éducation à la sexualité telle que proposée actuellement pourrait donc se révéler contre-productive dans ses effets sur la construction psychique des enfants, avec par exemple certains d’entre eux qui tentent de mettre en pratique ce qu’ils ont vu lors de ces séances éducatives. On pourra nous rétorquer que la société est déjà hypersexualisée dans l’espace public, à la télévision, sur les réseaux sociaux, et que ceci contribue déjà à une entrée précoce dans le monde de la sexualisation. C’est exact, mais ce n’est probablement pas une présentation de l’éventail des diverses pratiques sexuelles lors de séances éducatives qui préservera les enfants des effets de cette exposition.

Cette distinction faite, et dans le cas où des corrélations seraient établies par des professionnels entre une sexualisation précoce et des comportements à risques, voici les résultats que j’ai rapportés dans mon étude, et qui concernent la population féminine et, pour rappel, les relations sexuelles précoces. Ils sont fournis par une étude publiée en février 2018 dans Public Library of Science (PLOS) ONE. Intitulée « Corrélats des premiers rapports sexuels parmi les adolescents européens », elle relève que l’association entre les comportements à risques et la sexualité précoce est forte notamment en cas de nombreux partenaires et de relations non protégées. Cette activité sexuelle précoce accroît les risques de grossesses non désirées et la transmission de maladies sexuelles.

Cette étude se rapporte elle-même à une autre datée de 2011, « Jeune âge au premier rapport sexuel et comportements à risques – une étude sur près de 65 000 femmes dans quatre pays nordiques », qui souligne des corrélations étroites entre des rapports sexuels féminins précoces et des comportements à risques (notamment un nombre élevé de partenaires au cours de la vie), avec maladies inflammatoires pelviennes, l’infertilité ou des grossesses extra-utérines.

Nous pouvons enfin citer une étude de 2001 publiée dans The Lancet, qui nous apprend que plus de 80% des femmes interrogées ayant eu leur premier rapport sexuel à 13 ou 14 ans auraient rétrospectivement souhaité attendre davantage. Plusieurs explications ressortent : distinction de l’âge de la puberté de celui de la maturité psychologique et sociale, conséquences imprévisibles de l’immaturité psychologique, ou encore « risque accru de contracter une IST en raison de la prédisposition biologique du col utérin immature à l’infection si elles sont exposées ». En outre, une corrélation a pu être établie entre cette sexualité féminine précoce et le tabagisme et / ou l’alcoolisme (dont le binge drinking).

Breizh-info.com : Quelles seraient, selon vous, les approches alternatives pour une éducation sexuelle plus saine et adaptée aux enfants ? Quel rôle devraient jouer les parents et les éducateurs dans l’éducation sexuelle des enfants, selon vos conclusions ?

Thibault Kerlirzin : Ce qu’il faut à l’école c’est un espace de recueil de la parole, un espace où les éventuelles questions des élèves puissent être posées. Cet espace serait identifié par les élèves, pour leur permettre d’exprimer leurs questionnements qui relèvent de la sphère intime, sans forcer la présentation de la sexualité dans la sphère collective. Les professionnels de l’enfance sont formels à ce sujet, comme le rappelle d’ailleurs le rapport de la CIIVISE. Par ailleurs, je vous invite à lire le rapport de SOS Éducation déjà cité qui propose pour l’éducation à la sexualité plus de 130 recommandations afin d’aller dans le sens de l’intérêt des enfants et des adolescents.

Quoi qu’il en soit, au regard du manque d’objectivité et de scientificité des Standards, qui je le redis servent de guide pour la mise en œuvre des séances d’éducation à la sexualité, il n’est pas souhaitable que l’éducation à la sexualité telle que ce document l’envisage soit mise en place auprès des enfants et des adolescents. Dans ces conditions, qui ne servent en rien la prévention (comme par exemple les violences sexuelles) il vaut mieux ne rien faire, comme le dit très justement SOS Éducation. Les parents ont tout de même un rôle majeur dans l’accompagnement de leur enfant, ils sont leurs premiers éducateurs.

Breizh-info.com : Pour conclure, quelles sont les trois principales conclusions de votre étude que vous aimeriez que les lecteurs retiennent ? Avez-vous reçu des réactions des institutions ou des experts après la publication de votre étude ? Si oui, quelles ont été les réponses ?

Thibault Kerlirzin : Le point le plus important est le suivant : près d’un tiers des références choisies par le groupe d’experts dans la littérature sur le développement psychosexuel de l’enfant se compose de partisans de la pédophilie. Justifier ce document c’est donc justifier un document fondé en partie, et volontairement, sur des bases pédophiles. En deuxième point : le groupe d’experts qui a élaboré les Standards n’est pas plus scientifique qu’objectif, ni indépendant, ni diversifié, mais se compose d’une équipe de la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF). Enfin, le groupe d’experts passe sous silence les études dissonantes et les dangers de ses Standards pour l’avenir de nos enfants. À ce titre, nous devons le combattre jusqu’à son retrait total et faire appel à de véritables professionnels de l’enfance.

S’agissant des réactions, la publication de l’étude est très récente. Des démarches institutionnelles sont en passe d’émerger. À ce jour, les réactions les plus nombreuses proviennent des parents, parmi lesquels nous retrouvons des professionnels de l’enfance et des enseignants, majoritairement outrés du blanc-seing qu’accorde la France à ce document.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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8 réponses à “Education à la sexualité pour les enfants et OMS. Thibault Kerlirzin : « Un document fondé en partie sur des bases pédophiles » [Interview]”

  1. louis dit :

    est ce qu’on va oui ou non mettre ces pédophiles en taule une fois pour toutes ??

  2. domper catalan français dit :

    Quand va-t-on foutre la paix aux enfants et les laisser découvrir leur sexualité naturellement et pas par des dispositions élaborées par des types qui défendent peu ou prou une forme ” moderne ” de pédophilie….

  3. domper catalan français dit :

    Quand va-t-on foutre la paix à nos enfants et les laisser découvrir leur sexualité naturellement au lieu de les forcer selon des directives établies par des défenseurs de la pédophilie ” moderne”….

  4. Emile 2 dit :

    L’occident dégénéré … bravo l’OMS !!!

  5. Madame Evelyne Quentin dit :

    Des dégénérés qui doivent être traduits en justice. Ils apprennent aux enfants qu’un homme peut être une femme et inversément indépendamment de l’identité biologique et qu’on peut même, en cours de route, changer de sexe et de culotte.
    Scandaleux. Que fait l’Education Nationale, que font nos Ministres, que font nos Députés ?
    AU SECOURS ! AU SECOURS !

  6. Raymond NEVEU dit :

    Depuis 1964 c’est l’Inéducation Nationale…l’école de Jules Ferry a été détruite par une mafia de hauts fonctionnaires pervers sortis de l’ENA. A purger mais pas par des mises à la retraite une solution plus efficace s’impose. Autre problème la prolifération des parasites des ONG…voilà à quoi servent tous nos impôts alors que nos services publics sont en déshérence!

  7. Eschyle 49 dit :

    “Les spécialistes sont des gens qui savent de plus en plus de choses sur de moins en moins de choses, de telle sorte qu’à la fin, ils savent tout sur rien.” (Bernard Shaw)

  8. gaudete dit :

    Que font nos ministres ? Mais si vous voyez ce que je veux dire comment des invertis peuvent-ils être ministres. Et en plus s’ils avaient un vrai cerveau plein de bon sens ils enverraient l’OMS se faire voir ailleurs . Le poisson pourri par la tête et il n’est pas nécessaire d’être grand clerc pour voir que l’état est pourri par la tête. No comment

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