Tandis que le bras de fer entre les autorités italiennes et les ONG pro-migrants se poursuit, l’île de Lampedusa a de nouveau vu plusieurs centaines de clandestins débarquer sur ses côtes au cours des derniers jours.
Pour la seule journée du 5 mai, 627 migrants sont parvenus à gagner le littoral de l’île à bord de 17 embarcations. La nuit suivante, 93 autres clandestins répartis dans trois bateaux puis « repêchés » par les autorités italiennes ont eux aussi débarqué à Lampedusa.
Ces groupes de migrants illégaux avaient pris la mer depuis les côtes tunisiennes et libyennes. Ils sont notamment originaires de Côte d’Ivoire, du Cameroun, du Tchad, de Guinée-Konakry, du Soudan, du Burkina Faso, du Nigeria, d’Égypte, de Syrie et du Sénégal.
Une immigration illégale provenant d’Afrique subsaharienne
Suite à ces arrivées, ce sont environ 550 individus qui se trouvaient dans la structure d’accueil pour migrants de Lampedusa. Dans la matinée du 6 mai, la préfecture d’Agrigente (Sicile) a ordonné le transfert de 252 de ces clandestins à bord d’un ferry vers le port sicilien de Porto Empedocle dans la soirée.
Le 4 mai, Lampedusa voyait déjà affluer en 15 heures 272 clandestins à bord de huit embarcations. Au matin du 5 mai, un premier transfert de 200 migrants par ferry vers Porto Empedocle était déjà ordonné par la préfecture d’Agrigente.
Parmi le groupe de clandestins, les pays d’origine recensés étaient peu ou prou similaires à ceux enregistrés le lendemain : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Mali, Nigeria et Sénégal.
Meloni en Libye pour parler immigration
À noter que le Premier ministre italien Giorgia Meloni s’est rendu le 7 mai à Tripoli (Libye) et à Benghazi mardi 7 mai, notamment pour discuter avec les responsables libyens de la question de l’immigration illégale.
Selon le média Euractiv, Giorgia Meloni aurait insisté auprès de ses homologues libyens sur l’importance pour les deux pays de poursuivre leur coopération, qui, selon elle, a déjà produit des « résultats significatifs ».
Lors de ce déplacement, le Premier ministre italien a rencontré le Premier ministre du gouvernement d’union nationale à Tripoli, Abdul Rahman Dabaiba, le général Khalifa Haftar, qui exerce son influence dans l’est du pays, et le président du gouvernement d’union nationale, Mohamed Yunus Al Menfi.
En 2024, malgré une pression migratoire qui demeure très forte, les débarquements de migrants en Italie ont diminué de plus de moitié au cours des trois premiers mois de l’année par rapport à la même période en 2023.
Crédit photo : capture YouTube (photo d’illustration)
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10 réponses à “Italie. Meloni en Libye pour parler immigration, nouvel afflux de clandestins à Lampedusa [Vidéo]”
Bonjour, rien ne changera avec Mme Mélanie car elle est ordre de Bruxelles et ce sera la même chose avec le RN , il faut faire le Frexit et sortir de l’union européenne.
Pour cela il faut voter pour les Patriotes de Florian Philippot ou pour l’UPR de François Asselineau.
Je vais être trivial, mais il n’y a pas plus de bras de fer entre les autorités italiennes et les ONG pro-migrants que de beurre au cul !… Comme je l’ai toujours commenté, discutailler ne sert strictement à rien. Le mal est dans l’inaction européenne qui refuse de se protéger. Il faut en venir aux armes, et couler les Boats-People aussitôt qu’ils pénètrent dans les eaux territoriales. Seule la peur de la mort fera reculer ces invasions barbares qui ruinent de détruisent nos civilisations.
Discussions inutiles avec ces pays , ce ne sont que des passoires à migrants, qui n’ont aucunes réelles volonté de bloquer ces nomades pour la plupart subsahariens dont eux-mêmes ne veulent pas dans leurs pays . Les manifestations contre l’arrivée des migrants ces derniers jours en Tunisie l’attestent clairement. La submersion migratoire nécessite un violent changement de logiciel de la part de nos pays , fin du financement des ONG complices des passeurs , fin de l’accueil systématique et retour des bateaux dans les ports de départ en Afrique, mise en œuvre de pousses bateaux a la limites des eaux territoriales des pays concernés en utilisant nos marines nationales. Arrêtons les tables rondes qui ne servent à rien , des actes !
De toute facon,rien ne changera tant que la France ne sortira pas des accords de Schengen !
Le MEDEF a besoin d’esclaves et tant qu’à faire, on prend le tout venant. Il faut faire comme en Australie. Zéro visa, zéro aide, zéro boulot et zéro perspective pour tous ceux qui s’invitent illégalement chez eux.
AUX GRANDS MAUX LES GRANDS REMEDES.
Mais pour les administrer efficacement, il faut en avoir dans les pantalons.
Tout est dit, ou presque. Manque plus que les bonnes volontés. Mais elles sont rares, ou bien fort timides. Bravo ! Bonne analyse de tous nos compatriotes qui s’expriment sur Breizh Info ! J’ai particulièrement apprécié l’analyse de Batman. Et comme il est souligné par toutes ces réponses, un jour ou l’autre il faudra en convenir : s’occuper des bateaux des migrants. J’ajoute ma proposition honnête et sérieuse du choix d’un BAGNE Pénitencier loin de l’Europe et surtout de la Mère-Patrie. C’est pour cela que je propose la Terre Adelie au Pôle Sud comme lieu de détention. La France y dispose d’un immense territoire, dans le cadre d’activites « autres » pour le moment, telles les recherches scientifiques. Mais un BAGNE au Pôle Sud (Et non-plus la poreuse Cayenne) avec ses températures perpétuellement hivernales négatives et ses horizons de glace à l’infini 12 mois de l’année, fera certainement réfléchir les délinquants de tous bords, dont, je le répète à haute voix : Strictement personne n’a besoin !!!
Que les donneurs de leçons et autres pleutres pensent à leurs descendants (apparemment ce ne sont pas leurs soucis).Dehors les parasites de tous bords !
» à bord de 17 embarcations. » les italiens les confisquent ils ?
pendant que macron et van der leyen ne pense que m o pas cher et sont aux bottes des mondialistes rien ne changeras