Aucun problème, pour ce Tunisien de 36 ans, voler du cuivre en pleine nuit, c’est « un travail normal » ! En juin 2023, ce technicien en fibre optique installé en Vendée est pris par les gendarmes avec deux complices en train de voler des câble en cuivre appartenant à l’entreprise Orange à Foussais-Payré dans le Sud-Est de la Vendée. 600m pour 1365kg, les trois hommes ont été envoyés par un commanditaire commettre le forfait. La présidente du tribunal de la Roche-sur-Yon s’étonne des circonstances. « Pour vous, aller voler du câble en pleine nuit c’était un travail normal » demande-t-elle au prévenu. Réponse : « Oui c’était normal, je n’ai pas volé ».
En même temps, ce ressortissant maghrébin vient d’un pays où la nomenklatura du temps de Ben Ali construisait des villas au milieu de la route, alors bon…
Mais la justice française ne lui donnera pas vraiment l’envie de ne pas recommencer car l’individu et ses complices (qui ne sont même pas présents à l’audience !) écopent de 6 mois de prison avec sursis, plus la somme de 7000€ à rembourser à Orange.
Pourquoi se gêner puisqu’en France on ne risque pratiquement rien à voler le bien d’autrui ?
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3 réponses à “« Un travail normal ». Un Tunisien vole 600m de cuivre en Vendée”
Une justice féminisée laxiste..6 mois avec sursis…
Il aurait dû avoir de la taule ferme et surtout interdit de territoire
Pourquoi ce tunisien n’a pas été expulsé vers sont pays de naissance avec un grand coup de pied au cul , la France n’est pas une poubelle.
La pseudo justice a obédience gauchiste a encore frappé.
Le ferrailleur achète le cuivre à 6.30 € le kilo (prix minimum).
Ces 1365 kg auraient pu leur rapporter 8599.00 €.
L’amende infligée de 7000 € est en dessous de la valeur du cuivre. Mais c’est une amende qu’ils ne paieront jamais.
Pour le reste du sursis. Et un bon doigt d’honneur à la Justice.
Il est tant que justice soi faite dans notre pays et que ce Tunisien soit expulsé dans son pays.
Là bas, il risquait la main coupée comme le veut la loi de Dieu : « Le voleur et la voleuse, à tous deux, coupez la main.» (Coran, S. V, La table, v. 38).
En France, au Paradis terrestre, c’est un bouquet de fleurs !