Essayiste, journaliste de radio et de télévision, Eric Naulleau est aussi un redoutable pamphlétaire et il le prouve avec un brûlot intitulé « La République, c’était lui ! – Grandeur et déchéance du camarade Mélenchon ». Puisque la gauche ressemble de plus en plus au Titanic après sa rencontre avec l’iceberg fatal, Eric Naulleau s’intéresse au capitaine du navire.
Relégué dans les soutes du Parti socialiste, le camarade Mélenchon eut un jour l’idée, pour gagner les galons convoités, d’abandonner toutes ses convictions. C’est ainsi que l’intransigeant républicain, le laïcard convaincu, devint le chantre du communautarisme et du séparatisme islamiste. Toute la gauche se trouva entraînée par le fond à sa suite, jusqu’au refus des Insoumis de reconnaitre le caractère terroriste des événements du 7 octobre 2023, en Israël. « La République, c’est lui ! » est l’histoire d’un naufrage, celui d’un camp idéologique en lutte contre les valeurs fondamentales de la France, au point de faire courir à notre pays un risque de guerre civile. Eric Naulleau n’y va pas par quatre chemins : « Mélenchon est le cavalier perdu d’une gauche en pleine déroute morale, un fuyard, un traître à la nation ! ».
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2 réponses à “Eric Naulleau : Grandeur et déchéance du camarade Mélenchon”
Eric naulleau Après avoir été ridicule en critiquant la chanteuse Lady Gaga superstar avec Bradley Cooper, vous persistez en salopard en démolissant Nakamura.
Eric même bassesses que Zémour
Sans être fan de Lady Gaga, il y a quand même un monde avec Nakamura dont on n’entendra plus parler en 2030.
Sinon, Naulleau sonne surtout incroyablement faux. Toujours. Et à contre-temps. Sa critique de Mélenchon aurait pu être faite il y a 5 ans.
C’est un petit animateur de TV qui a compris qu’il ne serait qu’un parmi d’autres en se disant de gauche et un parmi d’autres en se disant de droite.
Il prend donc la posture, déjà défrichée par d’autres, de celui de gauche n’ayant pas bougé.
Mais si Mélenchon avait une chance de gagner, jamais il ne l’aurait critiqué.