Le Grand Remplacement, ça se passe en Italie aussi… et surtout. En 2022, 213.716 étrangers ont acquis la nationalité italienne, soit une augmentation de 76% par rapport à l’année précédente. Un record dans une nation qui n’a pas besoin du droit du sol pour arriver aux mêmes résultats que ses voisins historiquement soumis à la submersion migratoire.
Les chiffres de la Fondation Ismu montrent de plus une tendance lourde pour l’Italie :
« En 2022 (dernières données disponibles), 4,3 % des résidents non-italiens sont devenus italiens, contre une moyenne de 2,6 % pour l’ensemble de l’UE-27. »
C’est donc presque le double que dans les autres pays de l’Union européenne. S’il faut entre 10 et 15 années de procédures bureaucratiques pour y parvenir, on aurait tort de croire que cela freine les départs, puisque les immigrés vivent paisiblement dans le pays, légalement ou illégalement. Quand ils ne jouissent pas tout bonnement de plus d’avantages économiques – les migrants étant nourris, logés et entretenus au frais du contribuable italien qui subit, lui, de plein fouet une très forte pression fiscale – et de divers avantages sociaux.
Le tout dans une nation vieillissante : en cause la baisse de natalité et le solde migratoire négatif, avec de plus en plus de jeunes Italiens partant vivre à l’étranger.
Pourquoi cette immigration ?
Pour maintenir le système économique à bout de souffle que nous connaissons, basé sur la retraite par capitalisation. Les estimations prévoyant une diminution 4 millions de travailleurs en moins dans la péninsule d’ici 2050 (s’il y a aujourd’hui 2 retraités pour 3 travailleurs, en 2050, la proportion sera d’1 retraité pour 1 travailleur), les dirigeants de toute l’Europe ont fait le choix d’importer les futurs contributeurs. Un mauvais calcul puisque dans tous les pays touchés par l’immigration de masse, le taux d’inactivité des immigrés est très important, tout comme celui du chômage. En Italie, il est presque double par rapport au taux de chômage des autochtones (12% pour les étrangers, 7,6% pour les Italiens).
Et cela est sans compter les coûts que cela représente pour la société des pays concernés : les dépenses en matière de sécurité sociale, le coût de la lutte contre l’immigration irrégulière (en France de 2 milliards d’euros !), les dépenses de rétention, d’insertion, etc… Un bilan économique absolument désastreux, magistralement exposé par André Posokhow, dans son ouvrage « Immigration, l’heure des comptes » (éd. Synthèse nationale).
Quant à la pression à la baisse sur les salaires des Européens que l’immigration de masse induit, elle n’est plus à prouver. Au sein de l’Union européenne, le même rapport fait état de près d’un million d’étrangers naturalisés en un an :
« Au total, en 2022, 989.940 personnes dans l’UE ont acquis la nationalité du pays dans lequel elles vivent, soit une augmentation d’environ 20% (+163.100) par rapport à 2021. La plupart des nouvelles naturalisations (en nombre absolu) ont été accordées par l’Italie (22% du total de l’UE), suivie par l’Espagne (181.581 naturalisations, soit 18% du total de l’UE) et l’Allemagne (166.640 naturalisations, soit 17% du total de l’UE). »
Grand Remplacement ?
Théorie, fantasme d’extrême droite, délire, méchanceté… On pourra définir comme on veut « le Grand Remplacement ». Il n’en reste que les Européens – sommés de ne plus se reproduire parce qu’ils seraient à l’origine des maux de la planète et qu’en plus, les enfants ça pollue – sont substitués par des populations massivement importées d’Afrique ou d’Asie à un rythme toujours plus frénétique. Quel que soit le nom que l’on donne à ce phénomène, il est hélas, bien réel.
Audrey D’Aguanno
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7 réponses à “L’Italie bat le record des naturalisations au sein de l’Union européenne”
Préparez vous mes amis Italiens, car comme l’Angleterre, et bientôt la France !NOUS DEVRONT PRIER « Allah akbar » 5 FOIS PAR JOUR !! prenons l’Élysée d’assaut avant que ce ne soit tous ces immigres islamistes qui gouvernent !!!!!.
« Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise »
C’est pourtant simple : à force de s’exposer au danger de l’immigration, tout pays -et la France en particulier- on risque d’en être victime car immanquablement, le danger survient, entraînant l’extinction et du pays, et de ses habitants, et de la race.
L’ Europe a perdu ses frontières, sa culture, son histoire, sa religion, sa sécurité; ce territoire est ouvert à tous pendant que les jeunes diplômés partent dans les pays attractifs pour leur avenir. Bientôt la dette abyssale et le déficit record ne pourront plus » entretenir » ces populations car les payeurs des classes moyennes seront insolvables….la misère des pays que fuient ces migrants, ils la retrouveront bientôt en Europe donc ça valait pas le coup de partir !
Bravo Audrey, le constat est simple et clair… Nous nous faisons totalement avoir par nos gouvernements, par la ripouxblique, les ripouxblicains de tout poil… et nos populations autochtones sont dans un état de catalepsie total… qui fait franchement peur.
Panem et circenses, du pain et des jeux… Cyril Hanouna, les rayons de supermarchés encore bien achalandés, et tout va bien…
Jusqu’à quand un tel cirque va-t-il pouvoir durer ? Qu’attendent les Français, les Italiens, les Espagnols… de souche, pour entrer dans une révolte franche et massive ???
C’est dingue.
On en dira ce que l’on veut mais au moins quand l’ITALIE se nommait l’EMPIRE ROMAIN , les esclaves n’accédaient pas à la citoyenneté romaine
Au final, et il fallait s’y attendre, la gentille Meloni, pourtant qualifiée de « néo-fasciste » par le concert des médias avant son élection n’a pas de « C…. », ce qui est vrai, mais surtout mentalement.
Tout comme Vendetta La Hyène qui ces derniers jours est allé apporté 7,2 Mds d’€ en Egypte pour que ce pays (comme la Turquie, la Tunisie…) fassent son boulot à sa place…et à nos frais.
Décidemment, les femmes n’ont pas un profil de « chefs de Guerre ».
suicide des européens par leurs zélites, ne l’oubliez pas dans l’isoloir