L’homme et la femme semblent plus éloignés que jamais, le nombre des divorces explose, la séduction est devenue un véritable carcan… et on fait de moins en moins l’amour. La misère sexuelle règne, un désintérêt pour les relations sexuelles que l’on retrouve même au sein des couples. Peur d’approcher l’autre sexe, puritanisme, conséquence du « trop de sexe », individualisme exacerbé, culture de la flemme, quels sont les ressorts de ce triste constat ?
Le Club des idées du Figaro animé par Eugénie Bastié a convié deux femmes pour en débattre : Thérèse Hargot, sexologue, auteur de « Tout le monde en regarde ou presque, comment le porno détruit l’amour » (Albin Michel), et Noémie Halioua, déjà coupable d’une brillante « Lettre à Ovidie qui déclare avoir renoncé aux hommes » est journaliste et vient de publier « La terreur jusque sous nos draps » (Plon).
Pour la première, derrière cette misère sexuelle il y a la consommation massive de pornographie. La deuxième accuse la nouvelle police des mœurs et ses agents féministes. Deux thèses qui, loin de se contredire se complètent, à l’intérieur d’une conversation passionnante, révélatrice d’une prise de conscience qui émerge toujours plus significativement : celle du bilan de la libération sexuelle.
Sans jamais tomber dans la pudibonderie, ce que Thérèse Hargot dénonce à travers sa critique de la pornographie, ce n’est pas la recherche du plaisir personnel mais le mécanisme qui coupe les hommes et les femmes d’une relation charnelle. Une industrie qui fabrique du fantasme toujours plus subversif, toujours plus violent pour satisfaire l’insatiabilité des pulsions sexuelles individuelles. La pornographie tue le désir car elle vise à la satisfaction immédiate et solitaire de la pulsion sexuelle. Le désir n’est pas éveillé, pas plus que l’envie d’aller à la rencontre amoureuse et sexuelle, contrairement à l’érotisme qui permet d’éveiller la créativité et le fantasme, de réveiller les désirs endormis. La consommation massive de pornographie détruit la notion de relation, l’autre devient un objet de consommation. On ne fait plus l’amour mais « du sexe », une activité comme les autres, ce qu’il n’est pas.
L’intimité sexuelle est devenue une source d’angoisse chez les jeunes. Ces derniers sont gouvernés par la peur, redoutant le consentement « contractuel » et la mise en compétition avec les protagonistes du porno (aspect physique pour les filles, performance pour les garçons). La pornographie ne permet pas d’évacuer les pulsions violentes mais les nourrit et les amplifie, rendant les relations problématiques et insatisfaisantes. À rebours des starlettes de plateau TV, Thérèse Hargot rappelle les différences entre les notions de consentement et d’envie, de pulsion et de désir.
Noémie Halioua s’érige quant à elle contre la politisation de l’intime, contre la conception du couple hétérosexuel conçu comme cellule fasciste unissant un dominant et un dominé et de laquelle il faudrait s’émanciper, pour éviter « le piège de l’amour » qui serait une ultérieure manifestation de la domination masculine. Or, pour la journaliste, c’est justement de ce réductionnisme féministe, de cette vision binaire qui fait de la femme une victime et de l’homme un bourreau qu’il faudrait s’émanciper. Cette morale féministe puritaine et policière alimente une guerre des sexes qui entraîne la dissolution du lien amoureux, raison pour laquelle elle prône un féminisme de réconciliation et invite à renouer avec le tragique de l’amour : comprendre qu’il existe des inégalités au sein des relations, des inégalités qui ne sont pas sexuées. Admettre qu’il y ait toujours un membre du couple qui aime plus que l’autre, qui fait plus que l’autre, et accepter la prise de risques que comporte le sentiment amoureux.
Sont aussi évoqués la criminalisation et la souffrance des hommes, la mollesse et l’apathie des nouvelles générations, l’indépendance et l’individualisme conçus comme horizon indépassable, les dommages de la pornographie sur les enfants.
Si jamais elles n’arrivent à la conséquence ultime de ce renoncement à l’amour, à savoir la mise à mort de la famille et de la reproduction, on ne peut qu’applaudir leur message à contre-courant d’une vulgate féministe qui montre de plus en plus ses impasses.
Audrey D’Aguanno
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12 réponses à “La fin du sexe en France. Qui est le coupable ? [vidéo]”
Quand les hommes ne sont pas des hommes et les femmes pas des femmes il n’y a plus d’attirance sexuelle
En accord avec Bahanne, et surtout de la par des dirigeants mondiaux sataniques de Soros à Davos, qui installent le Wokisme partout, dans les écoles, regardez à Rennes ! vouloir faire des enfants dans le climat actuel, anxiogène pour tous, ils n’ont pas besoin de nous faire des piqures pour diminuer la population ! ma libido s’en chargera ! je ne dit pas Frexit ! je dis RÉVOLUTION !
Revenez, pour ceux qui en ont l’âge, 50 années en arrière, et comparez à la vie d’aujourd’hui et vous saurez pourquoi c’est la fin du sexe et qui est coupable.
Aux idéologies prétendues émancipatrices (féminisme, wokisme, etc …) à la base d’un nouveau puritanisme, il faut ajouter des freins au désir dus à la difformité des corps, une conséquence de la malbouffe.
Regardez sur le net le métro des années 50/60 et vous y verrez des femmes super bien habillées, talons hauts et chapeaux ( qui allaient travailler ! ) et des hommes en veston, cravate et manteau, chaussures en cuir cirées ça a une autre allure que des bonnes femmes en survêt adidas et en grosses tennis mais qui, visiblement, ne font pas du sport…c’est leur tenue de ville. Pas vraiment glamour ni sexy elles ne risquent pas l’agression ou le harcèlement ! Quant aux mecs, ils sont habillés pareil juste avec la barbe en plus pour les différencier !
Les faux vaccins du virus de laboratoire SARS COV 2 ont fait beaucoup de dégâts sur le système endocrinien humain. La protéine « Spike » oblige le corps humain à en fabriquer, qui se substitue donc à de nombreuses hormones : l’anti inflammatoire ACE 2 mettant les organes en danger, créant même l’infertilité, annihilant l’immunité, favorisant les cancers et les fausses couches par les globules rouges agglomérés problèmes placentaire mal vascularisés, ce qui empêche le sang d’être fluide. Il est plus visqueux lourd et provoque une mauvaise vascularisation. Depuis l’arrivée de ce faux vaccin ou on obligé les personnes à se vacciner, la natalité a baissé de 8,5 % en 2 années un record sans précédent. Conclusion : tous les éléments cités prouvés par des généticiens, des professeurs des médecins, des laboratoires mais censure sur tous les chiffres, les organismes d’état de la santé, constatent les dégâts en tout. Même les députés ont demandé l’analyse complète des effets secondaires des faux vaccins du virus SARS COV 2. Donc 30% d’AVC en plus, autant en fausses couches un record aux USA, en France surtout et dans toute l’Europe. Absences de périodes menstruelles chez les femmes plus de 27 % depuis. Bref le tout agit sur le désir et sur les phénomènes de notre société qui détruisent l’envie, le moral et le désir de faire des enfants et surtout les désirs charnels. Celles et ceux qui ont mis ce virus et le vaccin sur le marché, est extrêmement pernicieux. C’est un crime contre l’humanité surtout que l’on a vacciné des femmes enceintes, une folie dont le ministre de la santé préconisait. On aurait voulu réduire la population occidentale que l’on aurait pas fait mieux.
je ne comprends pas ces gens, c’est si agréable et en plus c’est gratuit
CQFD!
Les femmes commencent à comprendre le problème : les hommes partent de plus en plus de la plantation, ce qui, à terme va limiter leurs ressources, leur accès aux bras masculins et à leur intelligence, et surtout à leurs spermatozoïdes. Dans les listes d’attente à la PMA, 41% de femmes seules et isolées, 40% de couples lesbiens, 19% de couples réellement infertiles, qui vont être servis en dernier. Tout est dit, de même que les élites sont en panique devant la montée du RN, de même de plus en plus de femmes sont en panique devant la pénurie d’hommes candidats au couple et « bien ». D’ailleurs sur le plateau du Figaro, que des femmes, et Audrey est une femme…
Comme dit précédemment, c’est aux femmes de venir nous rechercher, et je sens comme un frémissement dans mon entourage féminin pour mettre fin à cette guerre des sexes, que je fuis en fuyant les femmes, justement. Par contre et par ailleurs, connaissant très bien la Nature féminine intrinsèque, ça va être très dur de me ramener dans le giron, de même qu’une femme divorcée ne veut jamais en général se remarier… J’ai un chat, je suis indépendant, autonome et responsable, quid d’une femme qui n’apporterait que 36% des ressources d’un ménage (INSEE), pour supporter sa domination sous la couette (Voir le livre de Noemie)?
Pourquoi pas ne pas rouvrir les maisons closes, comme en Allemagne ?
Les femmes en général sont contre la pornographie, la prostitution, etc… en effet tout ce qui peut détourner d’elles la sexualité et le désir des hommes est néfaste pour elles, puisque la plus grande ambition de la femme c’est de susciter l’Amour. J’adore la proximité des femmes, mais la féminité est un attrape couillon ou un trompe couillon comme me disait une ex… Les femmes vont avoir du boulot pour reconstruire après cette guerre, comme en Ukraine, pour confirmer le couillon de poète qui avait dit que la femme est l’avenir de l’homme. Je rajouterais que le chat et l’avenir de la femme. Moi, j’adore les chats, sautons une étape…
Le wokisme féministe a provoqué la guerre des sexes : bravo ; par ailleurs , pourquoi les responsables d’agression sexuelle sont toujours des hommes ??? Les donzelles qui exhibent leurs nibars et tordent du croupion pour obtenir des faveurs d’un mâle alléché, c’est pas de l’agression sexuelle ??
A Audrey: Avec l’âge, certaines femmes baignées dans la culture des « droits » découvrent subitement que les hommes ont parfaitement le droit de les ignorer et d’appliquer le précepte « l’homme ne propose rien, la femme ne dispose donc pas. »
Les hommes sont harcelés sexuellement à tout instant par les efforts que font presque toutes les femmes pour être désirées (Susciter l’Amour… lol). Rien que leurs tenues immodestes opèrent sur leur passage une série de viols psychologiques dont il est parfois très difficile de se remettre.
« L’homme véritable se retient »: Albert Camus
C’est ce que je fais tous les jours!!!!!!!!!!!!lol