Cet article est essentiellement une compilation de tweets que l’auteur a publiés sur ses différents comptes et qui présentent des citations, des preuves et des chiffres (avec toujours les liens vers les sources, qui sont des articles scientifiques ou des statistiques publiques) sur différents sujets d’importance :
- Gauchisme, ethno-masochisme, et maladie mentale
- Ecart salarial
- Mythe du racisme systémique ou policier
- Intelligence et QI
- Immigration et diversité
Je vais essayer de produire chaque mois une compilation sur ce format, de sorte à offrir des arguments sourcés et chiffrés sur les principaux thèmes qui font débat entre la droite et la gauche.
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Gauchisme :
Le 1er graphe montre que les blancs “très à gauche” sont les personnes qui ont le plus de maladies mentales.
Le 2e graphe montre que les blancs de gauche sont aussi les seuls à avoir une meilleure opinion des autres groupes ethniques que de leur propre groupe ethnique.
D’après ces graphiques, les blancs progressistes américains sont le seul groupe à avoir plus de sentiments positifs envers les autres groupes ethniques qu’envers eux-même.
Et ils ont moins d’amis proches noirs que les blancs conservateurs.
Féminisme :
Il n’y a pas d’écart salarial expliqué par des discriminations (June O’Neill) :
Dans une étude effectuée en 2005, June O’Neill aboutit à la conclusion que l’écart salarial entre les sexes s’explique largement par les choix faits par les femmes et les hommes quant au temps et à l’énergie consacrés à une carrière.
Elle constate qu’il n’y a PAS d’écart salarial entre les hommes et les femmes ayant des rôles familiaux similaires.
En observant l’écart salarial entre les femmes et les hommes de 35 à 43 ans qui n’ont jamais été mariés et n’ont jamais eu d’enfant, on voit un léger écart en faveur des femmes, qui devient insignifiant après prise en compte des différences de compétences et de caractéristiques professionnelles.
Les féministes ne parlent jamais de ces études qui expliquent très rationnellement les écarts salariaux.
Elles préfèrent croire à une théorie du complot fomenté par les hommes pour sous-payer les femmes.
Source : O’Neill, June, and Dave O’Neill. 2006 « What Do Wage Differentials Tell Us about Labor Market Discrimination? » In The Economics of Immigration and Social Policy, edited by Soloman Polachek, Carmel Chiswich, and Hillel Rapoport. Research in Labor Economics 24:293-357. (lien)
Il n’y a pas d’écart salarial expliqué par des discriminations (Payscale) :
Résultats d’une étude effectuée par Payscale (société de logiciels de paie) en 2023 :
« Les femmes gagnent 1% de moins que les hommes, lorsque l’on tient compte du titre du poste, des années d’expérience, du secteur d’activité, du lieu de travail et d’autres facteurs. »
Leur commentaire est hilarant :
« Bien que 0,99$ puisse sembler très proche de 1$, de petites différences de rémunération peuvent s’accumuler au cours de la carrière d’une personne. L’écart de rémunération entre les hommes et les femmes devrait être nul. Ce n’est pas le cas. »
Source : Payscale (lien)
Le paradoxe de l’égalité des sexes :
Une étude portant sur près d’1 million d’adolescents dans 78 pays a révélé que :
- Les garçons ont tendance à être plus heureux que les filles
- Et l’écart de bonheur entre les sexes est le plus important dans les sociétés les plus féministes.
Source : Guo, J., Basarkod, G., Perales, F., Parker, P. D., Marsh, H. W., Donald, J., Dicke, T., Sahdra, B. K., Ciarrochi, J., Hu, X., Lonsdale, C., Sanders, T., & del Pozo Cruz, B. (2024). The Equality Paradox: Gender Equality Intensifies Male Advantages in Adolescent Subjective Well-Being. Personality and Social Psychology Bulletin, 50(1), 147-164. (lien)
Différences filles-garçons en matière de jouets :
Les différences entre les sexes dans les préférences des enfants en matière de jouets sont parmi les plus importantes connues de la psychologie – et l’ampleur de ces différences n’a pas changé en 50 ans, selon une méta-analyse récente.
Source : Davis, J.T.M., Hines, M. How Large Are Gender Differences in Toy Preferences? A Systematic Review and Meta-Analysis of Toy Preference Research. Arch Sex Behav 49, 373–394 (2020). https://doi.org/10.1007/s10508-019-01624-7 (lien)
Racisme systémique ?
Invalidation de la théorie du racisme systémique :
Pour tester si la théorie du “racisme systémique” peut expliquer les écarts de réussite entre populations :
On peut étudier le niveau de discrimination perçu pour chaque groupe, et voir si cela correspond bien à l’ordre inverse du classement selon la réussite.
Un sondage américain a classé les groupes de population selon leur niveau de discrimination perçue :
- Noirs 2. Hispaniques 3. Asiatiques 4. Juifs 5. Blancs
La théorie du racisme systémique devrait donc impliquer que l’ordre est inverse pour le statut socio-économique.
Or, ce n’est pas le cas : les Juifs et les Asiatiques ont un SSE plus élevé que les Blancs aux Etats-Unis.
La théorie du racisme systémique est donc invalidée, ou en tout cas mise à mal.
À l’inverse, le QI moyen des différents groupes est bien corrélé à leur SSE moyen.
Démystification sur le prétendu racisme policier
S’il y avait vraiment un « racisme policier systémique », les noirs se feraient tirer dessus le plus souvent (par la police) et les blancs le moins souvent.
Mais ce n’est pas ce qui se passe.
Les Asiatiques se font tirer dessus moins souvent par la police que les blancs, même s’ils sont sous-représentés parmi les agents de police (source).
L’explication logique à ce phénomène n’est donc pas le racisme policier systémique, mais tout simplement le suivant :
Cela s’explique évidemment par le fait que les asiatiques commettent (en proportion) moins de crimes violents que les blancs, qui à leur tour commettent moins de crimes violents que les noirs.
Une réponse à “QI, immigration et diversité, écart salarial, racisme systémique : compilation d’études”
https://international-iq-test.com/fr/test/IQ_by_country