Aux Pays-Bas, la question du coût de l’immigration n’est pas un tabou à l’université d’Amsterdam. Après une précédente publication en 2021 sur les conséquences de l’immigration sur les finances publiques, voici que l’École d’économie d’Amsterdam (Amsterdam School of Economics) récidive !
Parmi les auteurs du document récemment publié et intitulé « Borderless Welfare State » (en français « État-providence sans frontières »), figurent de nouveau le célèbre mathématicien Jan van de Beek et Hans Roodenburg, auteur du rapport explosif «Immigration and Dutch Economy» (Bureau Central du Plan néerlandais) de 2003.
Sans réelle surprise, la nouvelle étude de 2023 n’est guère plus flatteuse que la précédente quant à l’impact économique de l’immigration sur les finances publiques. Une immigration qui ne constitue donc pas, pour les sociétés européennes, la supposée « richesse » vantée par ses promoteurs. Et les chiffres hollandais le prouvent : 400 milliards d’euros, c’est ce que les migrants qui se sont installés aux Pays-Bas entre 1995 et 2019 ont coûté à l’Etat néerlandais.
À titre de comparaison, cela correspond à l’ensemble des revenus générés par le gaz naturel néerlandais depuis les années 1960.
Le gouffre financier des « demandeurs d’asile »
En mettant en évidence les dépenses sociales faramineuses pour les immigrés dans les pays d’Europe occidentale, cette nouvelle étude de l’École d’économie d’Amsterdam vient donc prouver une fois de plus que l’immigration de masse non régulée n’est pas un enrichissement, mais une opération ruineuse à tous points de vue.
Il y a deux ans déjà, le ministère danois des Finances publiait une analyse dans laquelle il examinait les dépenses fiscales pour différents groupes d’immigrés. Les auteurs avaient classé les migrants en trois catégories : les occidentaux, les pays MENA (pour « Middle East and North Africa » à savoir Proche-Orient, Afrique du Nord, Pakistan et Turquie) et les non occidentaux.
Pour sa part, l’étude hollandaise propose une différenciation nettement plus précise, qui englobe 42 régions d’origine. Ainsi, la deuxième génération de familles de travailleurs immigrés turcs n’est pas mise dans le même panier que les migrants originaires de Syrie fraîchement arrivés aux Pays-Bas. En outre, la publication a recensé les motifs des personnes interrogées pour immigrer aux Pays-Bas. Celles-ci sont réparties en quatre catégories : le travail, les études, les raisons familiales et l’asile.
Les données montrent que la dernière catégorie coûte des sommes particulièrement élevées. Chaque demandeur d’asile creuse un trou de 475 000 euros en moyenne dans le budget de l’Etat pendant son séjour. Dans le cas des régions d’origine comme la Corne de l’Afrique, le déficit est encore plus élevé : un migrant originaire de ce coin du monde coûte 600 000 euros aux Pays-Bas. La situation est différente pour l’immigration de travail en provenance du Japon ou d’Amérique du Nord. Avec 625 000 euros par immigré, elle remplit les caisses.
En outre, l’étude met en évidence les effets de génération. Ses auteurs soulignent avec force que l’immigration ne constitue pas un investissement économique à long terme : « Les groupes de migrants pour lesquels la première génération apporte un bénéfice net considérable ne présentent généralement pas le même résultat pour la deuxième génération. Cette génération, bien qu’elle soit plus ou moins bien intégrée, est en général à peu près neutre sur le plan budgétaire. Les groupes d’immigrés pour lesquels la première génération apporte une contribution nette négative ont généralement une deuxième génération qui apporte également une contribution nette négative ».
L’idée largement répandue selon laquelle « les choses s’améliorent avec le temps » ne s’applique donc pas, souligne Jan van de Beek. Pour la contribution financière la plus négative – à savoir celle de la première et la deuxième génération d’immigrés de la Corne de l’Afrique qui s’installent durablement – les coûts nets cumulés s’élèvent en moyenne à 1 150 000 euros.
Mythes et réalités de l’immigration économique
Par ailleurs, cette analyse des coûts prend en compte non seulement les coûts directs tels que l’aide sociale ou les frais de santé directs, mais aussi les coûts indirects tels que les investissements dans les infrastructures (construction de logements, écoles, etc.). Cela permet de chiffrer plus précisément le coût social global de l’immigration.
Jan van de Beek remet aussi en cause certains mythes liés à l’immigration économique. « Ce n’est pas parce que les immigrés travaillent », résume-t-il, « qu’ils apportent automatiquement une contribution nette positive au budget de l’État (…). Les groupes ayant un taux d’emploi relativement élevé et un recours relativement faible aux prestations peuvent également apporter une contribution nette négative ».
C’est notamment le cas de ceux qui ont un faible niveau d’éducation et un faible revenu, qui reçoivent relativement beaucoup de prestations liées au revenu et qui, en contrepartie, paient peu d’impôts et de taxes.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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16 réponses à “Immigration aux Pays-Bas : une facture de 400 milliards d’euros et des travailleurs immigrés coûtant plus qu’ils ne rapportent”
Pas besoin de le lire ça on le sait depuis lontemps…quand on voit le niveau des immigrés afrique et tiers monde……ces gens sont un poids énorme pour les pays européens
J’ai visités certains pays d’afrique……95 % illetrés…même le Sénégal un peu moins « sauvage »
Si ils auraient des capacités en 60 ans ils auraient pu developper leurs Pays…
Ces gens un poids immense pour nos pays …Ils vont nous descendre plus bas que terre et notre dette va exploser…Il faut couper tous les robinets et remigré de suite tous les assisés et Dieu sait si ils sont nombreux!!!
Quand on a cotoyé des africains dans nos universités et nos grandes écoles , des gens qui représentaient l’élite de leurs pays , d’un oeil objectif , capable de faire la part de leurs difficultés d’adaptation , de leur déficit culturel , on imagine mal ce que peuvent apporter à notre société post industrielle des broussards analphabètes .
Merci pour l’orthographe et la grammaire, manifestement il n’y a pas que les immigrés qui maîtrisent mal la langue française 🥴
et pour les français le cout estimé est a combien😆 ?
Difficile d’estimer le coût tant le panier est percé. Aux aides sociales astronomiques, à l’AME, à la prise en charge des soit-disant mineurs NA, aux dégâts engendré par la délinquance et à la fuite des liquidités vers les pays d’origine il faut ajouter les généreuses aides à ces pays, dilapidés depuis des dizaines d’années sans jamais que le pauvre con-tribuable Français ne voie le moindre retour sur investissement. Au final, nous sommes surement bien au-delà de l’estimation des pays bas.
j’ai appris ce matin que, tenez vous bien, l’AME est valable POUR TOUTE LA FAMILLE de l’intrus !!!!!
IL y a quelques années , un ancien professeur de l’ENA avait fait le calcul. A l’époque l’immigration coûtait à la France 75 milliards par an . Un article sorti en 2009 de « contribuables associés » la chiffre à 71.76 milliards .C’est un document d’une grand précision avec une foule de détails , il est téléchargeable .
Bien sûr ce calcul a été bien antérieur à la vague submersive que nous connaissons actuellement .
https://fr.slideshare.net/Lagriffe/monographie14-le-cout-reel-de-limmigration
Ames sensibles s’abstenir .
Hé oui ! j’aimerais savoir le vrai cout aussi en France ! on change les retraites pour un futur déficit de 5 milliards ! et combien on donne pour tous ces immigrés !! d’après certains analystes qui ne sont pas Français mais étrangers, disent pour la France entres 8 et10 milliards par ans, et en contre partie rien ne rentre dans les caisses ! avec le cout des Pays Bas, je pense qu’ils ont raison !!!!
Et en France ???
Il n’y a rien à dire, rien à rajouter. Les problèmes sont éternellement toujours les mêmes, et les questions posées toujours sans réponses. Comme il est expliqué dans cet article, les mythes liés à l’immigration économique sont un leurre magistral. Du reste, se poser la question c’est déjà tomber dans le piège. On me reproche d’être pessimiste, moi je prétends être réaliste. Pour le moment, personne ne m’a apporté la preuve de mes erreurs …
Je vais mettre les pieds dans le plat , combien d’assurés sociaux par rapport aux personnes présentes ?
Si ont effectuent un contrôle généralisé du travail des agents racisés et maghrébins ont va trouvés des personnes qui reçoivent de l’argent alors qu’ils n’existent pas.
Pourquoi les départements prennent en charge les mineurs isolés ?
Vous savez pourquoi les Anglais ne veulent pas de leur présence ?
Selon les renseignements Britanniques il y aurait des ados égorgeurs de Daesh.
L’Europe a les yeux plus gros que le ventre ( mou ! ) et ne pourra jamais absorber tous ces excès de population sans périr d’une indigestion!
En France 14% d’immigration dite économique et donc il nous reste 84% qui sont pour beaucoup des gens qui profitent de notre générosité soit par le biais du regroupement famillial ,ou par les demandes estudiantines. Nous comprenons que de fait, nous payons pour notre propre effacement puisque le constat est qu’effectivement cette immigration , est une invasion de peuplement opportuniste qui vient dans notre pays pour profiter de nos naïvetés crasses. Et la nous parlons de milliards d’euros dont ne profitent pas nos compatriotes pour certains exangues économiquement .
44 % de l’immigration algérienne venant en France grâce aux accords post guerre , est au chômage !! Vive les aides sociales que nous con- tribuables français nous finançons donc. Et on pourrait en rajouter à l’envie, les milliards s’envolent au profit de gens qui ne devraient pas être sur notre sol , et pendant ce temps notre appauvrissement va crescendo .
Merci les français disent nos envahisseurs en se gaussant de nous , jusque quand ? Non l’immigration n’est du tout une chance pour la France comme le proclame le foutriquet de l’elysee. Stop et vite! !!
Il y a un truc qui cloche : le graphique concerne le Danemark et non la Hollande
L’immigration est un business comme la big pharma et leurs faux vaccins ou les guerres entre grandes puissances pour faire tourner le militaro business. L’immigration le nouvel eldorado de l’esclavage moderne glorifié par la gauche caviar, fait vivre des milliers d’assistants sociaux, des psychologues des sociologues, des pseudos économistes et surtout des politiques pour la bonne notoriété de l’aide aux pays pauvres, dont les dirigeants sont millionnaires. l’Europe donne des subventions pour chaque humain immigré que nous payons tous par la redevance européenne. L’état central du boboïsme parisien se glorifie avec son extrême gauche des bienfaits de l’immigration- Bouchant ainsi les trous du manque de natalité, mais encaissant au passage les subventions européennes pour le budget. Puis laissant le soin aux collectivité locales de faire les frais d’hébergement d’aide en tout genre et la boucle est bouclée de l’esclavage moderne qui rapporte tout autant que celui sous l’ancienne Rome.
En France les coûts de l’immigration sont les mêmes pire encore vu la dictature démocratique ambiante. L’immigration est un business ou l’Europe distribue les subventions (voir chiffres) déjà acquises en avance, payées par les pays contributeurs donc nous tous. L’esclavage moderne fait vivre des milliers de personnes au chevet des immigrés, les politiques glorifiant la bienveillance de l’aide humanitaire dans toute sa splendeur. C’est exactement le concept des prêts et subventions aux dirigeants exportant l’immigration comme le concept des guerres géo politiques, économiques ou en énergies. On bombardent avant on crucifiait quoique similaire en Palestine en ce moment et ensuite on envoie les secours la croix rouge et l’aide humanitaire. Humanité hypocrite sans pareil.