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Comment la culture européenne a perdu la bataille culturelle [L’Agora]

Le Grand Remplacement est désormais achevé ! Wamdoulila ! Car la culture européenne a bel et bien perdu la bataille culturelle…

Ecoutez-vous parler. Ecoutez vos gamins parler. « Frères ». « Ma soeur ». Nous sommes devenus des immigrés. Même le plus invraisemblable rouquemoutte de Ploudalmézouille parle comme « eux ». Se dandine comme « eux ». Chaloupe. Et fait des trucs avec ses doigts à l’arrêt de bus pour faire « genre ». Pas une photo de groupes où tu ne vois pas ces signes de connards sortis des gangs amerloques. Personne n’y comprend rien mais ça fait « style ». « Cool ».

Et les tags sur les murs. Et le rap de merde. Les fringues ! L’attitioude ! L’autre fois, j’étais au Mc Do de Carhaix, des jeunes avec des bonnes têtes de Le Bihan par chez nous étaient capuches sur la tête, démarche dandinante, à causer fort avec un accent sorti de la mosquée de Bondy. Et wagana wagana. Et lawadada. Le RER D terminus Poher !

Tiens, pour parler des actualités, écoutez bien ce délicat langage de la fameuse mère qui a défendu son fils harcelé à l’école de Boissy Saint-Léger. Tellement féminin. « Un seul qui veut l’approcher, j’l’encule devant l’école »

C’est beau hein ? Féminin ! « J’t’encule devant l’école » ! Moi je serais un homme, ça me ferait rêver une délicatesse pareille ! Par contre, les damoiseaux parmi lesquels elle tente de survivre n’ont pas apprécié la performance. Et l’ont déjà ciblé !

Alors bien sûr qu’on peut comprendre cette mère qui sur-réagit parce que son fils se fait cogner dans la cour. Par toutes les pépites et les futurs docteurs en physique nucléaire que l’Afrique a la générosité de nous envoyer. Mais comment ne pas avoir la nouille sciée devant le langage employé par cette femme visiblement BLANCHE ! Une vraie expérience génétique ! Du plus beau parler africois dans un bec de blonde ! Remuez du naseau et vous sentirez l’élégant fumet de kebab qui sort de l’ordi ! Le Coran frère !

Le Grand Remplacement est totalement achevé. Car ils nous ont totalement assimilés ! Pas besoin d’en importer plus, on est déjà devenu eux. Tiens, même le rap a percé dans les milieux natios désormais !  Insupportable ! Tu as juste envie de leur envoyer un technicien de la mandale, genre sergent Hartman, pour leur botter le cul aux jeunes zemmouriens à casquettes ! Moi les fascistes qui écoutent du rap j’ai envie de les empailler et de les coller dans un champ de maïs. Que les Martiens voient ça, au moins !

Car dans la guerre culturelle qui préfigure la guerre ethnique, le Tiers-Monde a gagné. Tout gagné. A plate culture ! L’entité qui fixe le beau langage courant n’est désormais plus l’Académie Française, mais Skyrock. Et la mode ne sort plus de chez Givenchy mais du lycée Rosa Parks de Boissy Saint-Léger.

Le Grand Remplacement ça aura été ça au final. Notre assimilation par le « cool ». Par la fascination pour la banlieue. Autrefois on voulait ressembler à John Wayne, aujourd’hui c’est à Babacar Traoré.

En fait, cette mère et son langage de carmélite sont plus qu’un incident de collège. C’est une illustration. Illustration de l’assimilation des Blancs ayant grandi en cité. Illustration d’un soft power babouches. Illustration d’une intégration à l’envers. Illustration de notre défaite sur le champ de bataille du « style ». Autrefois, le bel amor des Troubadours occitans avait influencé l’art poétique et le savoir-vivre de toute l’Europe. Aujourd’hui, nous puisons nos racines à Bamako. Bientôt on remplacera les humanités greco-latines par une initiation à la philosophie marabout.

Et n’allez pas accuser l’école, la télé, les réseaux sociaux ou je ne sais qui. Nous avons tous adopté, à divers niveaux, ces codes, ce langage, ces fringues et cet art de vivre. Même chez les Saint-Pie X, ça « racaille » un peu dans les coins ! Aux Etats-Unis, on appelle ça les « White Chicks ». Des dindes filles à popa qui jouent les mecs de gang en selfie sur Instagram.

Et cette agressivité qu’on sent dans la société. La façon dont les gens ont de se parler. De s’aboyer dessus à tout propos. Tout cela vient de là-bas. Tout cela vient d’eux. Tout cela vient de notre défaite.

Donc soyez indulgents avec cette femme affolée. La « mère énervée ». Elle est cette classe laborieuse blanche que nous avons abandonnée dans les banlieues de l’immigration. Elle est le symbole de notre abdication culturelle. Du « Wallah » utilisé comme un point d’exclamation. Des Blancs assimilés ou assassinés.

Yann Vallerie en est tellement tourneboulé qu’il veut changer le nom de Breizh-Info en Bled-Info, donnez quelques dinars au média sinon il le fait ! Il a déjà acheté une abaya à Audrey D’Aguanno ! C’est dire !

Anne-Sophie Hamon

[email protected]

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
Crédit photo : DR

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23 réponses à “Comment la culture européenne a perdu la bataille culturelle [L’Agora]”

  1. Axel dit :

    Bien énoncé le problème Madame. Tout est dit et bien dit, nos jeunes sont assimilés par la racaille africaine banlieusarde. Moi, à bientôt 62 ans, ils ne m’auront pas, je ne serai jamais amateur de rap ou de leur « doigts de la honte », pour rester correct, qu’ils aillent se faire voir ailleurs. Mais je n’en pense pas moins…

  2. breizh dit :

    bien vu !

  3. Gillic dit :

    Excellent article, j’approuve totalement !!! Pour la petite histoire, au début des années 60 le magazine des armées est devenu TAM, auparavant, il s’appelait Bled je crois me souvenir !

  4. FRANCHETTI Patrice dit :

    Aaaah! Anne-Sophie, au delà de la tristesse que m’ inspire le contenu de votre article, quel régal de vous lire. On dirait du Louis-Ferdinand !!

  5. Gillic dit :

    Il parait qu’il y a foule de fiotte à crier à la sortie de l’école: des promesses, toujours des promesses ! Mdr…

  6. louis dit :

    😂 vraiment super ! et tellement vrai !

  7. Onaura dit :

    La peau blanche et les cheveux tellement blonds ne sont des preuves ni de francité ni de blanchitude …

  8. Franck dit :

    Superbe compte rendu à la Michel Audiard de faits qui doivent être le quotidien de beaucoup de citadins qui vivent dans des quartiers qui sont une chance pour la France. On comprend la reaction de la mère de famille qui ne voit aucune autre solution que d’aller se faire justice, même si la forme laisse beaucoup à désirer. Les gens sont de plus en plus agressifs et irritables, il n’y a plus de justice « juste » pour les défendre ou les encadrer, alors certains passent à l’acte. Bienvenue dans le futur proche

  9. zozo83 dit :

    Non, je ne suis pas d’accord: « le grand remplacement n’est pas achevé », il se poursuit….

  10. Durandal dit :

    Bonjour,

    Cette mère maghrébine a sur protégé son fils comme elles le font toutes. Et c’est votre modèle. Voilà le remplacement culturel.
    Quant au rap, les poèmes scandés sont vieux comme le monde. Que la qualité des poèmes soient nulle en ce moment, c’est vraiment un autre question.
    Le remplacement, c’est aussi d’aller au Mc Do… combien de mères de familles se soulagent ainsi. La charge mentale certainement ? Elles trouvent toujours des excuses quand cela les concerne.

    Le grand remplacement, c’est d’abord le grand remplacement des pères dans les familles. Sans pères, la transmission se délite. Voilà ce que les blancs ont permis dans leurs familles. Et voilà pourquoi leurs fils ne leur ressemblent pas, pas encore, car quand ils deviendront adultes, ils n’auront que cela à se raccrocher, ou ce qu’il en reste.

    Cordialement.

    M.D

  11. JTL29 dit :

    Les ploudalméziens de Ploudalmézeau ignoraient qu’ils habitaient à Ploudalmézouille. Je suis un voisin de cette commune ou plutôt de sa zone littorale plus connue (Portsall) et je peux certifier qu’on (même la plupart des ados) y parle encore le français à peu près correctement même si malheureusement le breton est devenu très minoritaire et c’est plutôt cela qui est triste et déplorable.
    Pour le reste, vous devez avoir raison mais vous devez confonfre avec certains quartiers de Brestzouille ou de Nantezouille.

  12. Erwan Berric dit :

    Tellement vrai! Jle kiffe non mais trop grave,ton article!

  13. Pellerm dit :

    L’article d’Anne Sophie ne manque ni d’humour ni de vérités !!
    Je suis moi même horrifiée et désespérée par tout ce que je vois et j’entends quotidiennement dans cette bonne ville de Carhaix … et aussi par ces étalages de drapeaux en tous genres sur le fronton de la Mairie qui en arrivent à cacher le principal .. Une autre façon de se soumettre à la doxa ambiante …!!
    Pauvre Bretagne …Pauvre France … Nous sommes déjà morts …

  14. Arwenn dit :

    Bravo! Article génial: drôle et percutant à la fois.
    Mes enfants connaissent le « parler racaille » en effet mais nous leur interdisons de le parler autrement que pour le tourner en dérision, un peu à la sauce des Inconnus.
    La résistance passe aussi par là!

  15. Hervé Brétuny dit :

    Je suis d’accord avec vous mais ne signez pas Anne-Sophie Hamon, vous êtes visiblement un homme selon votre style .

  16. andré dit :

    L’ envahissement de cette culture ( le nom me semble un peu trop flatteur ) sur nos anciennes valeurs culturelles a changé le comportement, le langage, l’accent et une façon de s’exprimer avec des mots inconnus au dictionnaire ! Le vrai sujet c’est que contrairement à toutes les époques où les jeunes inventaient leur  » culture  » ( voir les années rock and roll ) ils se sont fondus dans un magma africano-musulman qui ne correspond en rien à leurs racines ancestrales. Et au prétexte du multiculturalisme on est descendu au plus bas niveau de l’instruction et de l’intelligence. Personnellement, la façon de s’habiller, de parler, d’écouter du rap ne me dérangerait pas si derrière cette façade, cette image on trouvait un individu capable de raisonner, d’ argumenter, de réussir dans les études et de respecter ceux qui ne pensent pas comme eux.

  17. JP VARESE dit :

    Oui, mais c’est aussi une question de mode (et de groupe). Pensez un peu aux expressions « branchées »de votre adolescence. Combien de mots à la mode reste-t-il vraiment? Si peu.
    Eh oui, la mode se démode si facilement.

  18. gaudete dit :

    le gros problèmes ce sont tous les guignols qui se sont succédés sur le trône de France depuis Giscard compris et qui ont mis le pays à sac par leur impéritie et surtout bien conseillés par Attila qui nous sort maintenant ses larmichettes de biche apeurée par le désastre qu’il a sciemment organisé en conseillant ces ânes parce que ce ne sont rien d’autre que des ânes bâtés pour mettre le pays dans un tel état et le dernier n’est pas en reste. D’ailleurs que vaut un énarque sauf quelques très très rares exceptions. Je me régale sur les potins que sort la presse marocaine sur le cuistre de l’Elysée un florilège de ce que nous savions déjà mais à la sauce marocaine ça vaut son piquant de cacahuètes

  19. Le Celte dit :

    Certains font du rap en Breton , ils ont touchés le fond .
    Ceux qui parlent comme des banlieusards moyens me font rire .
    Selon les personnes qui sont en face d’un coup ils retrouvent un langage normal même avec de la politesse.
    Dans une casse automobile un Maghrébien a eut l’idée de vouloir me passer devant à la caisse , j’ai juste dit vous êtes sur de vouloir faire cela ?
     » La réponse qu’est ce que t’as  »
    Soudainement il s’est mis à lire l’inscription sur mon tee shirt : J’apprends à être sociable tient bonjour connard .
    J’ai été maladroit j’ai monté mes 115 kg sur ces doigts de pieds et après avoir gueulé de douleur il m’a dit  » pardon monsieur  »
    Je ne comprends pas les gens qui se laisse faire et qui ne disent rien .

  20. Rod Askelleg dit :

    « Et n’allez pas accuser l’école, la télé, les réseaux sociaux ou je ne sais qui.
    Nous avons tous adopté, à divers niveaux, ces codes, ce langage, ces fringues et cet art de vivre. »

    Ça, c’est justement ce que la télé voudrait faire croire : les Blancs, les Noirs et les Arabes qui se fréquentent à l’école partagent la même culture : la culture des jeunes. Et il n’y a pas de différence entre eux. Et tant qu’on y est, ils ont tous la même mentalité, les mêmes goûts musicaux et les mêmes résultats scolaires.

    En réalité, les Noirs et les Arabes sont si différents que leur influence culturelle sur les Blancs est forcément très limitée. Le résultat de leur présence est surtout que les élèves blancs ont moins de copains. Par contre, les Français qui s’installent chez nous ont une forte influence. Ils étaient sans doute moins de 10% il y a cent ans, mais je suppose qu’ils sont déjà majoritaires parmi les Blancs qui vivent en Bretagne.

    Le vrai remplacement culturel ne vient pas des immigrés mais bel et bien du pouvoir politique et en particulier de la télé : fausses infos, censure des vraies infos, fausses analyses sur tous les sujets, propagande anti-blanche, promotion d’écrivains, intellectuels et politiciens bidons, censure des gens normaux, promotion de l’homosexualité et du métissage, diffamation et intimidation des dissidents, encouragement à la vulgarité, promotion du rap et des graffiti, etc. La télé propage aussi l’idée que les Bretons sont de bons Français qui aiment le foie gras, le camembert, Napoléon, la langue de Molière…

    Le gouvernement et les institutions publiques influencent la population dans le même sens anti-blanc et anti-civilisation.

    À propos de l’influence des immigrés sur la mode à l’école :

    Ça fait longtemps qu’on s’habille en noir à Paris. Les intellectuels parisiens, en particulier, aiment bien s’habiller comme des ramoneurs. Ensuite, la mode parisienne influence tout le monde, jusqu’à chez nous en Bretagne. J’ai l’impression que les immigrés arabes s’habillent de façon très terne. Ça correspond sans doute à leur goûts vestimentaires. Mais les élèves blancs mettent eux-mêmes moins de couleur qu’avant dans leur habillement. À mon avis, c’est pour se fondre dans la masse et ne pas se faire remarquer. Celui qui s’habillerait comme dans les années 70 risquerait bien plus que les autres de se faire casser la figure. De même, les filles ont intérêt à laisser tomber les jupes. Et ce n’est pas seulement à l’école. Dans les rues des quartiers envahis, les adultes s’habillent évidemment de façon bien plus terne et discrète que quand ils sont en vacances au bord de la mer.

    À mon avis, cette mode de l’habillement terne à la parisienne est arrivée en Bretagne avant les immigrés. C’est clair que chez nous aussi, l’arrivée des immigrés dans nos villes et écoles allait forcément favoriser les habits moches et ternes. Mais en fait, la domination « culturelle » de Paris sur la Bretagne est si forte que la mode des habits ternes est arrivée avant les immigrés ! En tout cas, c’est ma théorie.

  21. Henri dit :

    Il y a vingt ans, dans le métro parisien, j’avais observé deux gamins de douze ans : un petit basané et un petit blondinet. Tous deux avaient l’accent du triangle Villemomble-Bobigny-Aulnay, et le petit Gaulois n’était pas en reste. Je m’étais dit : le nivellement par le bas a commencé, et rien ne l’arrêtera. Vingt ans ont passé, et je ne pense pas que les deux pré-ados soient devenus agrégés en physique quantique…

  22. Laurent Pottier dit :

    Comme toujours, la délicieuse Anne-Sophie a le verbe juste et l’observation bien frappée.

    Un vrai plaisir !

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