Quatre militants identitaires étaient jugés jeudi 10 août par le tribunal correctionnel d’Angers pour des faits de préparation de violence en marge des émeutes de fin juin-début juillet. Trois ont été relaxés, un d’entre eux a été condamné à trois mois de prison avec sursis pour violences tandis que le parquet avait réclamé des peines bien plus lourdes, dont du ferme, dans un procès couvert par un journaliste du Monde comme si il s’agissait quasiment d’un procès d’assise avec Francis Heaulme comme accusé principal.
Les 4 militants étaient poursuivis pour participation à un groupement armé. Pour rappel, nous nous étions fait écho largement de l’affaire : des antifas avaient tenté d’attaquer les locaux du Rassemblement des étudiants de droite, profitant des émeutes en réaction à la mort de Nahel, et avaient été repoussés avec force par les militants attaqués. Pendant plusieurs nuits, militants antifas et racailles de cité avaient tenté, y compris avec des armes, de s’en prendre physiquement aux militants identitaires. Les autorités avaient fini par ordonné la fermeture administrative du local…sans qu’aucun antifa ni qu’aucune racaille de cité ne soit interpellée, ce qui avait semblé totalement lunaire aux observateurs ayant vécu ces nuits de violence.
Ce jeudi 10 août, les juges ont considéré que les quatre hommes, âgés de 20 à 28 ans, avaient agi en « état de nécessité », proportionnellement à la menace dont ils étaient l’objet. Deux d’entre eux étaient également poursuivis pour port d’arme. Les avocats de la défense ont plaidé la relaxe, faisant valoir l’état de nécessité, tel que défini par l’article 122-7 du Code pénal. Tout en considérant que l’infraction de participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences était bel et bien caractérisée, de même que le port d’arme, les juges ont fait primer l’état de nécessité, à l’exception du militant accusé de violences.
Une relaxe qui manifestement, ne plait pas au journaliste du Monde qui conclut son article par un « rendez vous au prochain affrontement ! » qui en dit beaucoup sur le parti pris d’un « quotidien de référence » au sein de la presse mainstream.
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4 réponses à “Angers. Relaxe pour trois militants identitaires qui s’étaient défendus face à une attaque d’antifas, un militant condamné à trois mois avec sursis”
Et les antifas, ces abrutis qui pourrissent la vie des français véritables nazillons le bras armé de darmalin parce que ceux-là il ne les dissout pas, ce qui prouve bien qu’il les protège parce qu’ils cassent, etc combien ont-ils pris, il dira cet ahuri qu’ils agissent avec un masque qu’on ne peut les reconnaître. Par contre il s’attaque toujours à ceux qui n’ont rien fait, ex Civitas
Tant que les Français continueront de voter pour les mêmes depuis des décennies ou qu’ils ne voteront pas, ils auront la justice gauchisante et le Darmalin qu’il mérite… Il ne suffit plus de pleurnicher il faut agir, avec le bulletin de vote qui donnera le grand coup de pied dans la fourmillère !
la légitime défense, ça existe encore ou non? doit on se laisser agresser sans rien dire ni faire? drole de pays
Françaises, Français, aux prochaines élections ne vous trompez plus de bulletin de vote et foutez-moi dehors, à coups de pied dans le cul, ces incompétents de Darmanin, Moretti et Cie responsables du désordre social.