Dans la nuit du 5 au 6 août, trois malfaiteurs certainement bien renseignés ont déboulé dans un appartement à Rezé après avoir cassé la porte et gazé celui qui y vivait, âgé de 71 ans, pour lui voler son violon et l’archet – l’instrument, un Gand et Bernardel de 1882, coûte plus de 30.000 euros, et son archet 3000 euros. Ils étaient visiblement tellement certains de leur impunité qu’ils n’étaient même pas cagoulés, selon leur victime.
Le 5 août, un peu plus tôt, une buraliste a été braquée avec un couteau route de Vannes, dans le quartier Longchamp, par un voleur seul. Deux heures plus tard un jeune homme qui ressemble à s’y méprendre au voleur… vient au bureau de tabac avec un majeur pour y acheter des cigarettes, s’y fait reconnaître et est interpellé – mais est mis hors de cause.
En fin de compte, c’est l’outil de reconnaissance faciale du fichier de traitement des antécédents judiciaires (TAJ) qui permet, trois jours plus tard, de confondre un mineur de 16 ans qui avait fugué de son foyer angevin – il y a été interpellé. Il s’avère qu’il s’était acheté une montre avec le butin.
Deal et rixes en boîtes de nuit
Le 5 août mais très tôt, la police intervient sur signalement des vigiles du Warehouse sur l’île de Nantes après une transaction d’ecstasy à l’intérieur, vers 3h30. Le dealer et ses deux clients ont été interpellés, ainsi qu’un quatrième larron surpris en train de se faire un rail de cocaïne – c’était un peu tôt pour prendre le train, alors il a fini en garde à vue.
Le 5 encore, vers 5h30, un jeune homme de 21 ans est admis au CHU avec une blessure par arme blanche au niveau de la jugulaire – il s’avère qu’il a été pris dans une rixe au couteau devant une boîte de nuit de la rue Crucy dans le Bas-Chantenay.
Les passagers font fuir les agresseurs du bus
Le 1er août, trois hommes ont été interpellés à Saint-Herblain après une tentative de vol du sac d’une passagère d’un bus entre Couëron et Nantes vers 14 heures – les passagers s’interposent malgré le couteau brandi par un des agresseurs et les font fuir – ça aussi, c’est Nantes.
Les gendarmes, rapidement prévenus par les victimes et en possession d’un signalement très précis, interpellent rapidement les agresseurs à la limite de la zone police, alors qu’un signalement fait état de plusieurs personnes qui tentent de casser une voiture stationnée, et les placent en garde à vue à la compagnie de Nantes.
Le lendemain, 2 août, un projectile est lancé sur un bus de la ligne C6 vers l’arrêt Du Chaffault, vers 22h45, une vitre a été étoilée – mais personne n’a été blessée. L’auteur d’un probable jet de pierre court toujours.
Louis Moulin
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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5 réponses à “Violon volé, tabac braqué, deal : les délinquants ne prennent pas de congés à Nantes et périphérie”
Merci Madame le maire ! merci pour tous les bienfaits qu’appontent votre immigration chérie !! heureusement les gens commencent à comprendre qu’il faut faire nombre pour faire échec à toute cette immigration sauvage !!!!
La maire avait fixé un quota de 10.000 subsahariens/an à recevoir.
Oserait elle encore réitérer cette proposition suicidaire, pour la ville et pour elle.
Eh darmalin sinistre de la ripoublik où es-tu? C’est plus facile d’attaquer les identitaires qui n’ont rien fait de violent ou Civitas qui eux non plus n’ont rien fait. Très fort avec les gens honnêtes nul avec les voyoux c’est la marque de fabrique de la macronnerie
Nantes est toujours une ville « animée »… de mauvaises intentions.
voleurs relachés flics emprisonnés, drole de pays