L’éco-anxiété est la nouvelle phobie des gens bien. Le mal de ceux qui s’inquiètent vraiment du sort de la planète. Pendant que les grands médias alternent les messages alarmistes – et le plus souvent mensongers – sur la fin de toute vie sur Terre pour demain matin, des individus en proie à la dépression– véritables éponges prêtes à gober tout ce que l’on agite pour les épouvanter – souffrent, renoncent à la vie quand elles ne se suicident pas carrément.
Cela est récemment arrivé en Italie au Festival du cinéma consacré à la jeunesse où une jeune fille rongée par l’éco-anxiété a interpellé le ministre de l’Environnement, Gilberto Pichetto Fratin, en pleurs, suffoquant à l’émission de chaque parole tellement les préoccupations liées à l’environnement l’oppressent. La scène en ferait rire plus d’un, si sur les joues du ministre aussi n’avaient pas coulé quelques larmes.
Bref, le spectacle de petits cons pourris de consumérisme et de mondialisme, à l’engagement facile dépourvu de la plus infime conception du politique et qui ne pensent pas un instant à adapter leur mode de vie par simple souci de cohérence ; faisant face à un représentant de cette caste qui chouine devant les caméras mais n’ayant absolument que faire de l’écologie, la vraie, celle des peuples et de leur territoire.
Cela s’est produit aussi en Malaisie, où l’influenceuse russe Zhanna Samsonova, adepte de régimes à faible impact écologique est morte de ses choix de vie toujours plus extrêmes, pour « sauver la planète ». Le véganisme et le crudivorisme étant encore trop dommageables pour la nature, c’est une alimentation à base de graines et de fruits à peine cueillis, dont elle vantait les bienfaits.
D’autres avaient choisi une mort plus médiatique, tel Wynn Bruce, « activiste climatique » qui s’immolait devant la Cour suprême américaine et dont le père affirmait que le suicide était le résultat «de son inquiétude pour l’environnement». Quelques exemples parmi d’autres…
L’instinct de mort qui traverse ces générations – des stérilisations « militantes », à l’auto-confinement en passant par les régimes alimentaires « non-polluants » – est nettement perceptible. Encore une fois, avec des parents démissionnaires qui ne leur ont rien appris ni transmis, qui ne les ont jamais privés de rien, ni ont jamais rien exigé d’eux, comment pouvait-il, pourrait-il en être autrement ?
Que peut-on attendre de ces générations que personne n’a préparé à la vie, qui ont évolué dans un système éducatif qui n’éduque pas plus qu’il ne forme à réfléchir ? Des générations qui n’ont aucun projet et tout le temps à disposition pour penser à leur petite personne ? Il est évident qu’elles sont et seront une proie facile, perméable à toutes les idéologies délétères pourvu qu’elles soient fashion, à tous les mensonges propagés en cœur par le système politico-médiatico… sanitaire.
Audrey D’Aguanno
Illustration : Photo par formulaire PxHere
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6 réponses à “Zhanna Samsonova. L’éco-stupidité tue… mais c’est normal”
Audrey porte bien son nom (de famille)
Vous avez sûrement des compétences rares sur le sujet. Vous pourriez les développer ici pour nous faire partager votre immense savoir ?
Et oui, la SEULE véritable écologie serait, effectivement, celle des peuples et des territoires, mais allez expliquer cela à » Ducon », petit écolo et grand citoyen du monde !
La mention « vu à la télé » fait vendre toutes les saloperies inutiles, les journaux des grands médias nous servent en permanence de l’anxiogène à haute dose.
Dans un JT on peut entendre environ 10 fois, tous reportages confondus, dérèglement climatique, réchauffement et tous les vocables de l’écologie pastèque.
La France detient le triste record de consommation des psychotropes (légaux) donc sans compter les drogues, il est donc pas étonnant de constater un mal être en somme une ambiance pourrie !
L’évolution pour les êtres humains c’est aussi l’adaptation aux conditions nouvelles, si certains ne suivent pas, cela s’appelle la sélection naturelle qui est bénéfique à l’espèce sapiens…
Ben moi j’ai froid cet été, j’ai remis la cheminée en marche le soir. Encore un coup du réchauffement climatique.
Moi, tous ces enfants pourris-gâtés et « éco-anxieux » me font doucement rigoler. Je n’éprouve pas l’ombre de la moindre empathie pour ces petits thunbergs en herbe ! Au fait, elle devient quoi, la grosse Greta ? Personne n’en parle plus.