Le règlement de la piscine municipale de Carouge, en Suisse, a été assoupli pour permettre aux usagers de porter le burkini, ce changement étant justifié par des raisons de protection solaire et de santé publique par la municipalité socialiste.
En Suisse, le burkini comme « protection solaire »…
Revêtir un Burkini pour se protéger des UV à la piscine : un « droit » dont disposent désormais les usagers du bassin municipal de la commune de Carouge, en Suisse. Cette ville de 8 000 habitants, située dans le canton de Genève, est gérée par une municipalité socialiste. Un détail qui a son importance lorsque l’on s’intéresse de plus près à cette nouvelle prérogative accordée au public de la piscine de la Fontenette.
Cette modification du règlement de la piscine municipale a été relevée par le quotidien suisse La Tribune de Genève le 28 juillet, la publication indiquant que ce changement visait à « assouplir l’usage de maillots de protection solaire », concédant que « certains burkinis sont ainsi dorénavant permis ».
Aussi, et puisqu’il y a un début à tout, c’est donc en cet été 2023 que les burkinis sont donc apparus en toute quiétude pour la première fois sur les bords de la piscine de la Fontenette.
Une modification en toute confidentialité
Si les autorisations du port du Burkini dans certaines piscines municipales ont parfois fait grand bruit dans les médias, il en est autrement à Carouge, où le conseil municipal de la commune suisse n’a, toujours selon le quotidien genevois, pas été informé par l’exécutif local de cet « assouplissement » du règlement. Pas plus qu’il n’en a été fait état dans le magazine communal…
Un certain sens de la confidentialité confirmée par le maire socialiste de Carouge, Stéphanie Lammar, cette dernière précisant que la modification du règlement intérieur de la piscine municipale est « une prérogative de l’Exécutif et nous n’informons pas le Conseil municipal à chaque fois qu’on procède à des changements ».
Des demandes pour des « vêtements anti-UV longs »
Quant à la justification de cette nouvelle tolérance accordée à ses administrés amateurs de loisirs aquatiques, Stéphanie Lammar ne mentionne pas une quelconque raison religieuse et préfère invoquer les risques induits par une trop forte exposition solaire :
« Nous avons adapté le règlement de notre piscine extérieure en raison des changements climatiques et du rayonnement nocif du soleil, car de plus en plus de personnes nous demandaient de pouvoir porter des vêtements anti-UV longs, permettant de se protéger davantage. Ces modifications ne traitent donc pas de la question du burkini en tant que tel, mais concernent une question de santé publique ».
Un burkini qui ne serait finalement qu’un auxiliaire comme un autre des crèmes de protection solaire ? L’édile suisse indique que ces « vêtements anti-UV longs » étaient, jusqu’à présent, « autorisés pour les enfants ainsi que pour les personnes au bénéfice d’un certificat médical ».
De bien curieuses mesures de protection solaire
La municipalité de Carouge a donc voulu simplifier la chose selon Stéphanie Lammar : « Demander un certificat médical pour justifier de se protéger du soleil nous a semblé excessif et ne répondant plus à l’évolution actuelle des mesures de protection solaire », a-t-elle expliqué, sans toutefois livrer davantage d’informations sur ladite « évolution »…
Par ailleurs, le maire a ajouté que «si le burkini est porté près du corps et ne diffère que peu d’un collant et d’un t-shirt manches longues anti-UV, nous n’avons pas à l’interdire, dans la mesure où il remplit les conditions. Par contre, il n’est pas question d’accepter dans les bassins des burkinis évasés qui ne sont pas en adéquation avec le règlement. »
En bref, un condensé de mauvaise foi qui pourrait prêter à sourire si de telles évolutions n’étaient pas observées dans de nombreuses autres piscines, notamment en France. Comme par exemple à Grenoble où le maire EELV Éric Piolle avait autorisé le port du burkini en 2022.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
11 réponses à “Suisse. Le Burkini autorisé dans une piscine… pour ses vertus protectrices contre les UV”
Tiens curieux, les populations adeptes du burkini sont pourtant majoritairement issues de pays où le soleil cogne fort, Hassi Meessahoud 31°51 nord, Agadir 30°30 nord et par contre Genève 46°10 de latitude nord. Plus de 15° en direction du nord sur notre planète ça commence à faire de grosses différences de température. Foutage de gueule, conquête islamogauchiste ou les deux ?
Et contre La « Konnerie » volontaire et pervertie des « Zélus » politiques complices, Les Suisses préconisent quoi comme protection pour les honnêtes citoyens ???
Bientôt La même imposture en France dans les piscines et et sur nos plages ???
Le Burkina étant noir ne risque pas de protéger contre les uv!!!
Quelle bêtise hypocrite!!
petit à ,petit, l’oiseau fait son niz, sauf que cet oiseau là……toutes ces c**** feraient mieux de regarder ce qui se passe en afganistan, liberté des femmes !
Quelle hypocrisie ! Sans compter que des vêtements de ce genre vont semer des particules probablement synthétiques dans la piscine, ce qui est très mauvais. Ca n’est pas prs hasard si les shorts de bains étaient jusqu’à présent interdits dans les piscines, justement par ce que ça disperse des molécules dans l’eau.
Pourquoi les musli viennent en occident ?
Étonnant des Suisses par ce qu’ils avaient interdit les minarets pour les mosquées.
Ils n’ont plus qu’à rajouter une peu de lessive dans la piscine pour laver les vêtements. L’idée est bonne et tout le monde pourra se laver. L’été la vitamine D3 est essentielle chez les femmes car sinon des problèmes graves d’ostéoporose apparaissent chez les femmes à la ménopause et après. L’assurance maladie privée en Suisse paiera. Ces assurances se retournerons contre ces décisions aberrantes de la municipalité. La gouvernance socialiste de Carouge semble ignorer ce problème majeur pourtant malgré une femme conseillère administrative qui ne sait pas cela qui justifie cela. On marche sur la tête par obscurantisme des données médicales.
La profondeur de l’enfer est quasiment infinie. Ils vont toujours trouver quelque chose, toujours !
Donc il faut contrer avec d’autres arguments, d’autres méthodes.
Vu ci-dessus deux arguments qui semblent valables :
1. Les shorts étaient interdits à cause de molécules dispersées. Est-ce vrai, je ne sais pas. Si cela l’est, on peut aisément interdire une dispersion de molécules néfastes due aux burkinis.
2. Attaquer sur le fait qu’un burkini ne protégeant pas des rayons ultraviolets néfastes pour la peau, l’argument est donc un mensonge, chose interdite à un niveau officiel, même communal.
Encore une escroquerie…..on n’en sort pas, on en crèvera….
idiotie et méprise !hygiene et détérioration des eaux !,j’espère que la gente initiatrice se fera seccouer les puces
Pour info, Carouge n’a pas une population de 8.000 habitants comme indiqué dans votre article, mais de
22.000. Celà fait une légère différence ?
Super les informations de la presse française.