La situation est loin de se calmer à Angers. Excités par l’ultra gauche et une partie de la presse complaisante vis à vis d’elle et hostile de principe aux Identitaires et aux Patriotes, des jeunes d’une cité d’Angers (la Roseraie) sont venus en nombre (une centaine) lundi soir, pour tenter d’attaquer le local du RED, le Rassemblement des étudiants de droite.
Une attaque violente, perpétrée le soir d’une perquisition dans le local sur instruction du Parquet d’Angers. De quoi s’interroger d’emblée : comment une centaine d’individus armés ont pu parvenir en groupe, et en armes, jusqu’au centre ville d’Angers, et jusqu’au local du RED, soi disant surveillé par les forces de l’ordre, sans être interceptés par celles-ci ? Quelles ont été les consignes données (ou pas) aux forces de l’ordre depuis samedi soir ?
Pour Pierre, militant du Rassemblement des étudiants de droite que nous avons interrogé, chaque soirée rapproche un peu plus d’un drame. C’est désormais la peur et la colère qui habitent chaque militant de ce syndicat étudiant. Il y a de quoi : un policier municipal aurait indiqué à l’un des militants que durant le week-end, une racaille faisant partie d’un groupe d’assaillants possédait un pistolet de type Glock dans sa poche (à notre connaissance, il n y a pas eu d’interpellation, ce qui suscite l’interrogation). Cela à ajouter aux innombrables couteaux et tournevis qui ont été utilisés par les émeutiers lundi soir, provoquant des blessures chez au moins trois militants du RED et des plaies.
La situation sur place est tendue, et l’inversion accusatoire semble primer. D’agressés, les jeunes militants qui occupent le local appartenant anciennement à l’Alvarium sont décrits comme des agresseurs. C’est pour rétablir la vérité, et les faits, que nous avons interrogé Pierre, dont l’interview audio est à écouter ci-dessous. Son message principal est clair : « N’écoutez pas ce que la presse mainstream raconte, c’est du mensonge pur et simple ». Et d’en appeler également aux autorités à prendre leur responsabilité, à moins que les responsables de l’Etat en charge de la ville d’Angers ne souhaitent, un de ces soirs, avoir la mort d’un jeune militant identitaire et son sang sur les mains et la conscience.
L’intervention de Jean-Eudes Gannat chez Sud Radio :
Illustrations : DR
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5 réponses à “Pierre (RED Angers) : « Un policier nous a indiqué qu’un des émeutiers face à nous avait un pistolet Glock dans sa poche » [Interview]”
le maire d’Angers est ministre de Macron : rien d’étonnant.
Appeler les « autorités » à prendre leurs responsabilités… quelle illusion !
La Macronie et ses représentants, la Gueuse, détestent la France, les Français.
Tout est fait, par les « autorités », pour envenimer la situation autour de l’ex-Alvarium, pour amener au déclenchement d’un drame, et proférer ensuite des palanquées de mensonges éhontés sur l’extrême-drouaaate…
Ce qui vient de se dérouler en France, c’est l’apéro… (pour ceux encore nombreux qui préfèrent continuer de jouer les autruches…)
Préparons activement la suite, continuons la sécession.
Le jour vient, d’évidence, où le gouvernement ne pourra, enfin, que rendre les armes, tomber… et tenons-nous déjà en ordre de bataille politique, pour prendre la suite, s’il est encore possible de le faire…
Création immédiate d’un nouveau Conseil national de la résistance ?
Certains soulèvent sans attendre cette idée.
L’ultra gauche est moins anti flics quand il s’agit de balancer ses ennemis. Anarchie pour eux et répressions pour les autres !!! ( Affaire Meric entre autres…)
Rock Around the Glock!!!
Nouveau tube de l’été. Vive nos banlieues !!
quand ils sortiront les kalachnikovs, les bisounours mettront des fleurs et des bougies