Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin évoquent sur l’agression ultra violente d’une dame de 73 ans et de sa petite fille.
Cette fois-ci, il y avait des images particulièrement choquantes. Et pour les médias, c’est cette vidéo qui fait le jeu de l’extrême droite, accusée de récupération politique, une fois de plus. L’occasion pour Jean-Yves Le Gallou de revenir sur cette notion de “récupération” que l’on peut aussi appeler “volonté de censure”… Le dossier de la semaine est consacré à Valeurs actuelles, le magazine qui est dans la tourmente suite aux départs de Geoffroy Lejeune et à l’annonce de Charlotte d’Ornellas…
Sans oublier les pastilles de l’information et le portrait piquant du jour par Claude Chollet en partenariat avec l’OJIM, consacré à Yann Barthès, le ricaneur de Quotidien.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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3 réponses à “Bordeaux, la vidéo qu’ils ne pouvaient pas cacher ! – Le Nouvel I-Média”
Toute violence est inadmissible.
Ainsi, on a identifié, arrêté et jugé en un claquement de doigt les agresseurs de Monsieur Trogneux, neveu de Brigitte Macron, tout comme on a condamné illico l’auteur de la gifle au Président. C’est très bien. On aimerait une Justice aussi efficace en toutes circonstances.
Mais alors pourquoi deux poids deux mesures ? (vidéo à 24.50)
Des milices fascistes organisées d’extrême gauche, prêtes à en découdre, ont agressé les personnes venues PACIFIQUEMENT à la dédicace du livre de E. Zemmour. Les fascistes (encagoulés pour certains et reconnaissables pour d’autres) on tabassé des adolescents et des personnes âgées, cassé des vitrines sans que la police n’intervienne. Aucune consigne du Préfet n’avait été donnée, aucune arrestation n’a été faite malgré une vidéo accablante. Quant à la presse de « grand chemin », la DÉSINFORMATION va bon train: elle minimise l’évènement en parlant « d’affrontement » ou « d’empêchement ».
Que nenni, il s’agit d’une AGRESSION À SENS UNIQUE.
Les agresseurs eussent-t-ils été de l’autre côté, la presse de grand chemin, la bien-pensance et le politiquement correct auraient crié au scandale, à grand renfort de « fachos, nazis, racistes, extrême droite »…
Par son silence et son inaction, l’Etat est complice de la violence d’ultra gauche et de la délinquance fasciste. Il devrait rendre des comptes pour non assistance à personne en danger.
Par la minimisation des faits, les euphémismes et le mensonge des mots, les médias de grand chemin contribuent à la montée de la violence et de l’intégrisme de gauche. Les journalistes aux ordres devraient être jugés pour complicité.
Mais, passez votre chemin, il n’y a rien d’autre à voir que ce que les bien pensants veulent bien vous montrer.
Toute violence est inadmissible.
Ainsi, on a identifié, arrêté et jugé en un claquement de doigt les agresseurs de Monsieur Trogneux, neveu de Brigitte Macron, tout comme on a condamné illico l’auteur de la gifle au Président. C’est très bien. On aimerait une Justice aussi efficace en toutes circonstances.
Mais alors pourquoi deux poids deux mesures ? (vidéo à 24.50)
Des milices fascistes organisées d’extrême gauche, prêtes à en découdre, ont agressé les personnes venues PACIFIQUEMENT à la dédicace du livre de E. Zemmour. Les fascistes (encagoulés pour certains et reconnaissables pour d’autres) on tabassé des adolescents et des personnes âgées, cassé des vitrines sans que la police n’intervienne. Aucune consigne du Préfet n’avait été donnée, aucune arrestation n’a été faite malgré une vidéo accablante. Quant à la presse de « grand chemin », la DÉSINFORMATION va bon train: elle minimise l’évènement en parlant « d’affrontement » ou « d’empêchement ».
Que nenni, il s’agit d’une AGRESSION À SENS UNIQUE.
Les agresseurs eussent-t-ils été de l’autre côté, la presse de grand chemin, la bien-pensance et le politiquement correct auraient crié au scandale, à grand renfort de mots tels « fachos, nazis, racistes, extrême droite »…
Par son silence et son inaction, l’Etat est complice de la violence d’ultra gauche et de la délinquance fasciste. Il devrait rendre des comptes pour non assistance à personne en danger.
Par la minimisation des faits, par les euphémismes du vocabulaire, par le mensonge des mots, les médias de grand chemin contribuent à la montée de la violence et de l’intégrisme de gauche. Les journalistes aux ordres devraient être jugés pour complicité.
Mais, passez votre chemin, il n’y a rien d’autre à voir que ce que les bien pensants veulent bien vous montrer.
on connait la suite, pour les bien pensants, la récupération politique est une honte, l’agression un banal fait divers