« Radis Calcaire est un collectif nomade qui cherche à contribuer à une culture du soin aux collectifs dans les orga’ anti-autoritaires et dans une perspective révolutionnaire émancipatrice, à travers des sujets comme les dynamiques collectives, les modes d’organisation et les postures individuelles au sein des collectifs. »
Vous avez compris quelque chose à ce charabia ? Moi non plus ! Mais en creusant en profondeur, on comprend que Radis Calcaire pose la question de la santé mentale dans les milieux gauchistes. Car le thème est devenu majeur dans cet infra-monde composé avant tout d’adulescents mal dans leur slip, d’enfants de la bourgeoisie tralala, d’hommes soja et de maniérés. Le milieu trans étant l’apothéose en la matière ! Si certains n’ont pas deux trois autismes dans les coins ils s’en cherchent et se glorifient d’être fragiles mentalement. Déstructurés. Perdus dans leurs angoisses de gosses de notables accros aux jeux vidéos, les « déconstruits » cherchent en permanence un dérivatif à leurs angoisses de gâtés. Sur les réseaux sociaux, le thème « santé mentale » est l’un des thèmes principaux des discussions animant ces milieux. Et la réponse est toujours la même : il faut « transitionner » pour se sentir mieux. Pour ensuite s’habiller en rose bonbon, comme une gamine de 8 ans. Et si, après la transition, la petite têtête à pépette ne va toujours pas bien, c’est immanquablement de la faute à « l’oppression systémique du patriarcat blanc ».
Dans les milieux antifas et féministes, les problèmes mentaux sont moins mis en avant mais la pression de groupe, notamment à l’encontre des hommes, est phénoménale. Ceux-ci sont appelés à se remettre en question en permanence, à s’auto-castrer face à des femelles ayant des comportements dictatoriaux. Tabou dans ce milieu et pourtant réel problème accentué par l’épuisement de la lutte. D’où des burn-outs militants de la part de certains activistes.
Radis Calcaire organise à ce propos, le 18 avril prochain à Rennes, une projection du film documentaire « Radical Resilience ». Dans la bande-annonce du film, cette pression interne est abordée de façon cryptique vers la fin.
La Révolution mange ses enfants dit-on, mais avant même l’avènement de la Révolution, le gauchisme détraque les esprits de ses propres militants. Car le gauchisme est devenu une maladie mentale, la sénilité du communisme.
Comme une illustration de cette folie : une projection de ce film aura lieu le samedi 22 avril au Bocal, un local transactiviste de Rennes. Cette soirée est interdite aux « mecs cis-het », c’est à dire aux hommes normaux. Avec de tels comportements, le milieu gauchiste n’a pas fini d’alimenter les caisses de big pharma en achetant des anxiolytiques par palettes entières !
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
6 réponses à “« Radical Resilience » : quand le gauchisme assume le fait d’être une maladie mentale !”
Voilà ce qui arrive quand on combat sans Jésus.
Le mot « résilience » fabriqué de toutes pièces il y a quelques mois est utilisé à tort et à travers au lieu du mot « résistance » qui, lui, a un sens clair. Voilà un exemple parfait de la Pensée Unique, cette diffusion d’informations reprises sans contrôle par l’ensemble des médias (spécialistes des fake news).
Bravo ! D’accord à 100%. De même pour le mot « initier », copie de l’anglo-saxon pour les mots « démarrer », « amorcer », « commencer »;
La société « normale » n’a pas a subir les dérèglements mentaux et existentiels des antifas, féministes et écolos intégristes très bien décrits dans cet article.
Ils veulent changer le monde réel refusant de s’y intégrer et finalement s’auto-détruisent.
La Nature est bien faite : elle repose sur le principe de la sélection. Seul le plus fort ou le plus résistant peut se reproduire. Cela assure l’amélioration de l’espèce.
Chez l’homme (comprenez « l’être humain »), le progrès est venu bouleverser cet équilibre. Dans notre monde moderne, nous voyons donc prospérer des individus qui auparavant n’auraient probablement pas survécu. Certains d’entre eux sont même dangereux pour la société, les psychopathes, par exemple.
Pour paraphraser Esope, le progrès est certainement la meilleure et la pire des choses. Il est à craindre que la récente explosion de l’intelligence artificielle, qui cache mal l’espoir d’une certaine oligarchie d’accéder à l’immortalité, aboutisse logiquement in fine à la destruction totale de l’humanité.
Nous, les hommes normaux, une minorité discriminée. On devrait organiser des cercles en mixité choisie pour en parler, tiens ! Qui en serait ?