Les médias l’ont nommée « la forêt de la drogue ». Située en Lombardie, dans la province de Varese, l’endroit qui s’étend sur plusieurs milliers d’hectares est désormais un no man’s land aux mains de clandestins armés, interdit aux autochtones.
« C’est eux qui commandent, ils décident qui entre et qui sort des bois. » « Ils nous tirent dessus pour nous faire partir. »
« Ce que nous vous montrons n’est pas l’habituel lieu du trafic de drogue, mais une réalité de fusillades, d’assassinats et de tortures. Des groupes paramilitaires nord-africains ont colonisé 50.000 hectares de forêt. Ces bois sont devenus inaccessibles aux habitants. Ils se déplacent vite, avec des techniques militaires et sont prêts à défendre le terrain conquis. Kalashnikovs, pistolets, machettes, bunkers et campements dans des positions stratégiques…
Ils ont récemment volé de l’azote dans un manège des environs, rappelons que l’azote est utilisée pour fabriquer des explosifs. Une réalité hors de contrôle des institutions et des forces de l’ordre ».
Dans ce reportage, diffusé le 7 mars dernier sur la chaîne italienne Rete 4, Matteo Bariano, ancien parachutiste des forces spéciales de montagne accompagne les journalistes pour leur montrer ce qu’il dénonce depuis des années. « Une fois, ils nous ont tiré dessus pendant trois jours. La plupart sont des immigrés marocains en situation irrégulière. Ils construisent des refuges pour contrôler le territoire, où les forces de l’ordre ne peuvent pas entrer, et s’entraînent militairement. »
Devant des cibles en cartons dédiées à l’entraînement et un emballage vide, la journaliste de conclure « cela contenait 45 kg de chlore. Avec l’azote dérobée, à quoi servent-ils ? Pourquoi ces bandes de Nord-africains s’entraînent-elles ? Que ce passe-t-il vraiment dans ces bois ? »
Quelques jours avant le reportage, la découverte du corps criblé de balles d’un des trafiquants présumés, Farid Nachat, avait contraint les autorités à réagir, bien qu’entre overdoses, assassinats et règlements de compte, il ne s’agisse pas du premier cadavre en date. Le 27 février dernier, le sous secrétaire au ministère de l’Intérieur Nicola Molteni s’était rendu sur place pour rencontrer les institutions locales, décrivant des « structures criminelles étrangères, souvent maghrébines » qui règnent sur un morceau de territoire italien. Vendredi 12 mars, plusieurs refuges et bivouacs étaient démantelés par les gendarmes.
Si ces dernières années, plus de 330 kg de haschisch, 170 kg de cocaïne et une cinquantaine d’armes ont été découverts et une centaine d’arrestations effectuée, la région revient sans cesse aux mains des criminels : les arrivées de migrants toujours plus nombreuses et la facilité de se cacher dans les bois annulant de fait le travail des autorités.
Audrey D’Aguanno
Photo : DR
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7 réponses à “Italie : un pan de territoire aux mains de dealers clandestins”
Il faut envoyer les commandos de l’armée et pas de prisonniers
Ces »clandestins » sont des MUSULMANS qui viennent chez nous, en Europe, pour profiter des »aides », vendre de la drogue à nos enfants, faire des attentats, violer les filles, etc… et répandre l’islamisme! Les Européens doivent DIRE STOP à cette immigration musulmane et RENVOYER ces musulmans dans »leur » pays!
La majorité des Français NE VEULENT PAS de cette immigration musulmane mais MACRON CONTINUE de laisser les musulmans envahir notre pays!….ainsi, en octobre 2022 il a fait venir 4.000 »étudiants » algériens, chez nous,….quand les étudiants »français » ont tant de mal à se nourrir et à trouver un logement et….. sachant que le F.L.N., qui gouverne en Algérie, refuse de reprendre les Algériens entrés clandestinement en France!… Macron ne doit pas s’étonner si le R.N. devient le premier parti d’opposition!..
Ici et ailleurs en Europe : des zones de » non droit » , territoires perdues des républiques, remplacement de populations autochtones par des traficants, zones interdites aux habitants » normaux » etc…
Tous les politiques sont au courant, bien sûr, alors demandez vous quelle volonté derrière ces non interventions ?
Ils ne sont pas des réfugiés mais des envahisseurs !
On se croirait en seine Saint Denis , dans certains quartiers de Marseille etc…. Notre pays n’est pas épargné et pourtant ce sujet n’est pas la préoccupation première de beaucoup de nos compatriotes, ils le regretteront amèrement mais sans doute tardivement !
fakeniouze, mme méloni avait assuré qu’elle régulariserait la situation! bon elle semble régulariser les clandestin!