Le marxisme devient une maladie mentale quand il est associé à une idéologique africaniste de type raciste anti-blanc.
Dans les années 2000, Robert Mugabe, le dictateur noir et marxiste du Zimbabwe a expulsé les agriculteurs blancs pour confier leurs exploitations à des vétérans de la « guerre de libération » dépourvus de toute expérience agricole (au mépris des petits agriculteurs noirs locaux). Cette action s’inscrit dans la théorie marxiste qui dit que les travailleurs, quelles que soient leurs compétences initiales, feront toujours mieux que les patrons (en l’occurrence, la majorité des fermiers blancs du Zimbabwe étaient de besogneux entrepreneurs qui donnaient du travail à une main d’oeuvre locale).
Résultat : en quelques années, le Zimbabwe, réputé « grenier de l’Afrique » et largement exportateur de céréales quand le pays s’appelait la Rhodésie est devenu une terre désolée où les fermes blanches autrefois florissantes sont devenues des endroits à l’abandon ou cultivées suivant les pratiques locales de l’agriculture vivrière.
Démissionné en 2017, Robert Mugabe, marxiste fervent mais économiste incompétent, a été remplacé par Emmerson Mnangagwa, un président à l’idéologie plus pragmatique. Celui-ci négocia le retour des fermiers blancs pour faire repartir l’économie du pays et proposa un plan d’indemnisation de 3 milliards d’euros signé en 2020. Il faut dire qu’il fut aidé en cela par le président de la très puissante fédération des vétérans de la guerre de libération (ZNLWVA) qui supplia les méchants blancs de revenir prendre la direction de l’économie, leur offrant même des postes au sein du gouvernement ! Hélas, devant l’incapacité de l’état zimbabwéen à payer le plan d’indemnisation, la communauté internationale notamment européenne (britannique principalement) a été mise à contribution ! Les Européens ont donc été contraints de payer les erreurs du raciste anti-blanc Robert Mugabe, un comble !
Today we signed a historic compensation agreement with the Commercial Farmers Union, bringing closure & a new beginning to land discourse in Zimbabwe. The agreement re-affirms the irreversibility of land & is as a symbol of our commitment to the rule of law & property rights 1/2 pic.twitter.com/6HsPtLhuzg
— President of Zimbabwe (@edmnangagwa) July 29, 2020
Le Zimbabwe est un pays « libéré de l’oppression blanche » mais bizarrement il n’y a qu’un seul parti au pouvoir depuis la « libération » : le ZANU-PF de Robert Mugabe, dont Emmerson Mnangagwa est aujourd’hui le champion. C’est donc directement avec le ZANU-PF et non le gouvernement du Zimbabwe que négocie le SAAI (Suider-Afrika Agri Inisiatief), l’organisation représentative des fermiers blancs qui ont osé revenir. Pour rappel : au début des années 60, il y a avait 5% de Blancs au Zimbabwe, aujourd’hui, ils sont entre 0,2 et 0,3% de la population mais constituent la principale force économique et agricole.
Selon Theo De Jager, président du SAAI, le ZANU-PF a reconnu qu’il devait une compensation aux agriculteurs blancs et s’est même engagé à un accord de versement. Or, trois ans après, aucun dollar RTGS n’a été versé. Au Zimbabwe, la crise financière provoquée par les décisions marxistes que Mugabe a prise a été tellement profonde que le dollar zimbabwéen a dû être remplacé par le dollar RTGS, en anglais Real Time Gross Settlement dollar, une monnaie spécialement créée avec le soutien de la communauté internationale car le Dollar Zimbabwéen était devenue, sous Mugabe, la monnaie la plus faible au monde ! Encore une fois, le méchant colonisateur blanc est obligé de venir à l’aide des pauvres Noirs colonisés !
En tant que représentant de 500 fermiers familiaux blancs qui cultivaient ou cultivent encore au Zimbabwe, le SAAI a commencé depuis janvier à augmenter la pression sur le gouvernement zimbabwéen pour accélérer la mise en place du plan, le gouvernement sud-africain jouant le rôle d’intermédiaire.
De surcroît, la question des titres de propriété reste ouverte : durant la grande terreur née de la calamiteuse réforme agraire mugabiste des années 2000, le ZANU-PF avait proposé que toutes les entreprises du pays devaient être détenues à 51% minimum par des zimbabwéens NOIRS. Ce qui a fait quelque peu réfléchir les investisseurs… Aujourd’hui, cependant, les fermiers blancs n’ont plus de titres de propriétés et leurs descendants installés un peu partout dans le monde sont parfois introuvables. De surcroît, le ZANU-PF propose d’indemniser les fermiers expropriés grâce à un paiement en… obligations d’Etat qui ne pourront être escomptés que dans 14 ans ! Si l’Etat Zimbabwéens n’est pas complètement en faillite d’ici là !
Devant une telle situation, les fermiers blancs sont donc en pleine réflexion sur leur retour aux commandes de l’économie agricole zimbabwéenne ou non. Mais le temps presse : aujourd’hui la moyenne d’âge des « rhodésiens », les fermiers blancs du Zimbabwe, est de… 86 ans.
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3 réponses à “Zimbabwe : le timide retour des fermiers blancs pour sauver le pays de la famine”
Une fois les exploitations agricoles redevenues rentables, un petit pogrom antiblanc et c’est tout bénéfice.
Les européens sont vraiment des minables, pour faire la promotion des droits de l’homme, de l’antiracisme, ils arrivent à créer des enclaves ou les « bons noirs » se comportent en bouchers.
Laissons la Chine s’en occuper, eux ont compris depuis longtemps !
si j’étais « fermier » je ne m’installerais jamais dans un pays qui a assassiné des « fermiers blancs », même pour quelques dollars; mais cette info prouve que l’épuration ethnique est source de pauvreté assurée, au zymbabwe comme en algérie, certains s’en mordent les doigts (mais trop tard)
En France (pour changer de sujet) ne serait-il pas nécessaire, et une bonne idée, de promouvoir une ardente coopération avec nos amis Algériens
pour le maintien de l’ordre en France. La police, les forces de l’ordre en général, algérienne aurait beaucoup de leçon à donner à la France. Des unités de ce pays, éternel ami de le France, pourraient intervenir directement pour montrer comment garder la paix civile et dans la bonne humeur.