EDF : Saccagé délibérément par l’Europe ? Par Henri Proglio, ancien président-directeur général de Veolia à partir de 2002, puis d’EDF de 2009 à 2014, sur la chaine Thinkerview.
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4 réponses à “EDF : Saccagé délibérément par l’Europe ? Par Henri Proglio”
Tout comme Alstom, EDF vendu par Maron et la Hyene de Bruxelle, vendu aux groupes de fond de pensions, un jour on achetera notre electicité aux americains, nous avons aujourd’hui nos centrales nucleaire en arrêts car les pieces necessaires fabriquées par Alstom, qui recheté à prix d’amis ! n’appartient plus à la France, nos pieces pour les centrales, les sous marins etc. sont au bon vouloir du gouvernement americain !!!! MERCI SARKOSY, FRAMBY? ET SUTOUT MARON ! ah ! j’oubliais ! le mari de Md PECRESSE !!!!!! les bruler comme eretiques !!!
quand on sait tout ça, quel gachis! voulu? on va me dire complotiste, sauf si on m’explique
EDF : Saccagé délibérément par l’Europe ? Pourquoi prendre la peine de mettre un point d’interrogation à la fin de la phrase ? Bien évidement que l’europe de bruxelles veut mètre un terme à la puissance d’EDF, les allemands s’y emploient depuis toujours. Ayant merdé comme des abrutis de schleus qu’ils sont en tuant leur énergie nucléaire, il veulent couler notre indépendance énergétique à tout prix. Ils infiltres les groupes industriels sous-traitants avec la complicité de gens comme macron ou panier-runachier et semblent sur le point d’arriver à leurs fins.
Il y a d’abord le dogme libéral sur lequel s’est fondée l’UE (marché commun…) et qui a rapidement vu le quasi monopole d’EDF comme une organisation à abattre.
Ensuite il y a eu l’idéologie Verte des écolos qui ont choisi le nucléaire comme ennemi commun, et harcelé la France de l’extérieur puis de l’intérieur pour fermer des centrales qui fonctionnaient pourtant sans émission de CO2 ni de particules fines.
Enfin, il y a la peur de l’Allemagne de perdre son hégémonie économique – due au fait que ce sont de grands travailleurs, disciplinés – face à une énergie à laquelle elle avait renoncée mais qui s’avérait de manière de plus en plus évidente comme le choix optimal.
Tout cela a conduit peu à peu nos politiques de tous bords (Chirac avec la l’entrée dans un marché européen puis le passage d’EDF en SA en 2004, Sarko avec la loi NOME en 2015 qui offre 25 % des kWh nucléaires à des traders, et bien entendu Hollande et sa loi dite de Transition énergétique faite pour arrêter progressivement le nucléaire) à céder aux pressions de Bruxelles et des Allemands.
Qu’est-ce qui a poussé Macron en 2022, après avoir arrêté Fessenheim, à comprendre qu’on allait dans le mur en se privant de cette source d’énergie, et à faire un virage complet à 180 degrés ? Mystère… Il a peut-être entendu des voix célestes.