Le niveau scolaire s’effondre en France, pays du Tiers monde. Les enfants ne lisent plus, ne savent plus compter, ne connaissent plus correctement leur histoire ni leur géographie. Mais la priorité de l’Education nationale (ou plutôt l’intoxication nationale) semble être ailleurs : après la lutte contre le racisme en cours d’éducation civique sur plusieurs décennies, voici la lutte contre l’homophobie et la transophobie.
Auprès du magazine Têtu, le ministre Pap Ndiaye a affiché mercredi sa volonté de faire “un effort dans les programmes, dans la manière dont les sociabilités scolaires se passent“, et a promis que les portes allaient être “grandes ouvertes” aux associations. Comprendre les associations LGBT+ et notamment celle qui « luttent contre l’homophobie »..comme si nous vivions dans un climat de terreur pour la communauté LGBT+ de ce pays…
Donc la traduction, c’est que vos bambins auront demain des cours de rééducation mentale. On peut apprendre l’écriture inclusive, IEL, le changement de sexe possible, la réflexion autour de sa sexualité, etc etc..Et vu que ce seront des militants LGBT+ ou de la lutte contre l’homophobie qui donneront ces enseignements à vos bambins accompagnés de quelques professeurs gauchisants..vous serez bien entendu certain qu’ils ne seront pas influencés…du tout, du tout !
Et bien non M. N’Diaye. Des millions de parents ne vous laisseront pas faire. Nous ne laisserons pas la propagande pénétrer dans les classes de nos enfants, puis dans leur cerveau. Nous ne laisserons pas des associations leur bourrer le crâne alors que ces crânes sont justement trop vides de décennies d’effondrement du système éducatif en France, à cause des mêmes qui veulent faire pénétrer l’idéologie LGBT+ à l’école. Nous contesterons. Nous bloquerons. Nous ferons la grève des parents. Nous retirerons nos enfants de l’école. Nous ne céderons pas à vos injonctions qui prennent en plus pour prétexte ignoble le suicide d’un adolescent nommé Lucas.
Un suicide que vous attribuez à « l’homophobie », alors que l’on pourrait aussi, en complément, y voir la conséquence psychique, sur les gamins, dès le plus jeune âge, d’un bourrage de crâne concernant la sexualité, le genre, l’homosexualité, et toutes les lubies sociétales du moment. Car justement, si nos bambins étaient plus préoccupés par leurs études au collège ou au lycée qu’à savoir si ils se sentent fille aujourd’hui, garçon demain et poney le week end, ils n’en arriveraient sûrement pas à ces fins tragiques. C’est au contraire en imposant certaines lubies sociétales jusque dans les cours d’école que vous allez susciter les conflits entre gamins, des conflits sur l’identité, le genre, la sexualité qui n’ont rien à faire dans une cour de récréation, d’école, où la naïveté et l’innocence devraient encore être reines…
Enfin, M. N’Diaye, outre le fait que votre souhait, comme ceux de vos prédécesseurs d’ailleurs, d’intoxiquer nos gamins avec tout sauf avec du savoir et de la connaissance, pourtant les buts premiers de l’école, vous risquez aussi d’être rapidement confronté au réel : car si dans les collèges de Carhaix, de Vannes, ou de Dinard, ces mesures susciteront simplement (et éventuellement) des discussions animées entre parents d’élèves, direction, professeurs, élèves…on a hâte de voir vos personnels associatifs dans les banlieues des grandes métropoles, dans les ZEP, dans les établissements d’éducation prioritaire….
Non M. D’Diaye, nous ne vous laisserons pas intoxiquer nos gamins. Car le harcèlement scolaire, le harcèlement d’un gamin, ne peut pas être accepté, toléré. Il doit être férocement combattu et sanctionné (y compris en poursuivant les parents des élèves harceleurs, pénalement). Mais ce harcèlement n’est pas plus grave parce qu’il relève de la sexualité présumée d’un adolescent, de sa couleur de peau, ou bien de la musique qu’il écoute, ou de se beauté physique, ou du niveau économique de ses parents. Il y a déjà des lois qui existent, il suffit de les appliquer, et d’être intransigeant avec TOUS les harcèlements, y compris celui envers le « babtou » qui se fait malmener dans son lycée professionnel en banlieue parisienne parce qu’il est un des seuls blancs. Il suffit d’appliquer les lois donc, pas d’envoyer des agents de rééducation mentale faire la leçon une heure par semaine à nos chères têtes blondes.
Ne touchez pas à nos gosses !
Julien Dir
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8 réponses à “Lutte contre le harcèlement scolaire. Non, les associations de lutte contre « l’homophobie et la transophobie » n’ont pas leur place dans l’Education nationale [L’Agora]”
Il est juste nécessaire de mettre ces enfants face aux conséquences graves de leur acharnement contre un des leurs.
Leur faire assimiler qu’il y aura toujours des différences entre les personnes, que ce soit la couleur de peau, de cheveux, de sexualité,et autre . Qu’ils n’en sont pas responsables . Que ces harcèlement peut faire d’eux des assassins, juste parce qu’ils n’acceptent pas ces différences ! Que ça aurait pu être eux, que c’est la vie, on ne choisit pas d’être blanc ou noir, ou autre.
C’est ça qui est important, pas ces marches blanches.
Sans doute aussi dire aux parents qu’ils arrêtent de se moquer des « pédés » et autres devant leurs enfants ! C’est juste le respect de l’autre qu’il faut inculquer….quand l’autre de fait de mal à personne ! C’est bien connu, les enfants sont souvent méchants, sans le savoir.
Après la mort de Lucas ce discours là aurait dû être fait par le Directeur devant tous les élèves de tous âges réunis.
Tout à fait d’accord avec vous, vous avez parfaitement bien cerner le sujet.
Que l’homosexualité parle à des préadolescents a déjà de quoi interpeller.
Hier soir, sur CNews dans « Face à Rioufol », M. Brighelli a exposé de la façon la plus explicite l’origine de ces dérives de « l’éducation nationale », qui ne vise plus depuis les années 60 qu’à fabriquer des consommateurs abrutis. Le comble est évidemment que les premiers acteurs de cette entreprise, qui au lieu d’aider les plus défavorisés à progresser dans la culture et le savoir fait exactement l’inverse, sont des membres du corps enseignant et des bureaux du ministère chargés d’établir les programmes totalement marqués à gauche et intoxiqués par les théories fumeuses du « constructivisme », etc.
Seule issue selon lui : nous sommes en 1788, et le salut viendra d’une révolution du peuple contre les « élites » à l’origine de cette évolution.
Les commissaires politiques sont de retour !
D’un autre coté, je m’en f…, je suis « hermaphrodite aléatoire »…comme les escargots !
Ces associations de malfaisants n’ont strictement rien à foutre à l’école ! Qu’ils gardent leur distance avec nos enfants et n’essayent pas de « recruter » de nouveaux disciples. Ce sinistre ministre avance deux pas en avant, un pas en arrière mais ne nous laissons pas abuser, il a pour objectif de dissoudre ce qu’il reste de sens commun dans le monde scolaire.
qu’ils apprennent aux jeunes à lire , écrire , compter et penser par eux mêmes
Quel est l’assassin qui a pu mettre dans la tête d’un enfant qu’il était homosexuel avant d’avoir l’âge d’être sexuel, avant d’avoir découvert autrui, avant d’avoir choisi ses préférences individuelles?