Khoukha, Marianne, Clara et Juliette, quatre néo-féministes nantaises, étaient poursuivies ce lundi 12 décembre pour « rébellion envers agent » commise le 14 juillet 2020 lors d’un contrôle policier à Nantes. Elles ont été relaxées.
Lors d’un « collage féministe », c’est à dire la pose de slogans absurdes, misandres et pleurnichards sur les murs, elles avaient été contrôlées par la force publique. Bien entendu, cherchant l’incident, ces demoiselles s’étaient rebellées contre les fonctionnaires de police. Ensuite, les versions diffèrent. Les néo-féministes accusent les policiers d’avoir cherché à « étrangler » l’une d’entre elles, les policiers, quant à eux, affirment avoir été victimes de « violences ».
Le tribunal de Nantes aura finalement donné raison aux néo-féministes. Chacun se fera une opinion de la crédibilité de chacun et surtout de chacune.
Mais là où le cocasse s’invite dans le navrant c’est que l’une de ces demoiselles, Marianne a déclaré à Actu Nantes à l’issue du procès « qu’elle allait pouvoir retourner chez elle en Auvergne où elle se sent bien. « C’est fini Nantes. C’est une ville maudite. Je ne me sens pas en sécurité en tant que femme, il y a trop de sirènes de police, ça m’effraie, je ne m’y sens pas bien. » »
Sa copine Clara partage d’ailleurs les mêmes craintes « je ne sais pas si ça va changer quelque chose dans l’immédiat. J’ai encore peur de croiser les policiers. Ça va prendre du temps de passer à autre chose »
Tout cela mérite quelques explications : Nantes est une ville où les policiers ont été formés sous Pinochet. Les caves du quai de la Fosse regorgent de néo-féministes que ces tortionnaires assermentés enlèvent la nuit pour les torturer et les violer. Pour un Nantais, entendre une sirène de police signifie, à coup sûr, une disparition, une rafle s’achevant de façon certaine par une fin horrible. On raconte même que des hélicoptères de la police jette des femmes vivantes, ainsi que des racisé-e-s, dans la Loire. Et que les malheureux se font manger par les requins ! Les requins de la Loire ! Les plus féroces du genre selon les spécialistes…
Heureusement, les honnêtes gens et les LGBT peuvent se réfugier dans certains quartiers plus sûrs, des quartiers « safe » d’où les policiers sont bannis : les Dervallières, Bellevue, Malakoff. Des endroits où les féministes et surtout les LGBT peuvent vivre leur « identité » en toute quiétude !
Malgré cette pression policière, Nantes reste une ville commerçante ! Le secteur de Commerce et les voies du Tram jusqu’au boulevard des 50 otages est, par exemple, un lieu où de paisibles boutiquiers s’efforcent de développer la ville et d’accroître sa prospérité économique. Hélas sous la menace constante de la police fasciste.
Influencée par cette atmosphère qui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire, la TAN, les transports publics nantais, viennent d’ailleurs d’annoncer que des lignes de bus et de tramway seraient supprimées mercredi soir à l’occasion de la demi-finale France-Maroc. Le pouvoir policier entend ainsi empêcher aux « Nantais de souche » et aux « racisé-e-s » de fraterniser. De se créoliser dans la joie et le vivrensemble. Écœurant !
Bref, on comprend que cette dame ait voulu retourner en Auvergne, pour nous aussi Bretons, la vie à Nantes, sous la botte des bandes nazis qui sillonnent constamment la ville, c’est dur. Très dur.
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3 réponses à “Nantes : une féministe ne s’y sent pas en sécurité « car il y a trop de sirènes de police »”
Ces féministes pleureuses sont complètement effarouchées d’une nuisance sonore, mais apparemment pas du tout de la cause qui provoque ces sirènes ! Quelles partent en centre Afrique, et elles retrouveront le calme auquel elles aspirent…!
Excellent, cet article ! :-)
Excellent article, très drôle comme je les aime ! Et hélas affligeant pour le niveau mental des filles en question…