“Au Cégep* de Valleyfield, la violence sexuelle, c’est l’affaire de tout le monde et on prend ça au sérieux. Dans les prochaines semaines, tu pourras voir toutes les affiches de notre nouvelle campagne sur la violence sexuelle vécue par les communautés LGBTQIA2S+ sur les espaces d’affichage du cégep.”
Une bien noble initiative dans cette école d’enseignement public du Québec ! C’est ce que l’on pourrait penser en lisant ces quelques lignes. La lutte à la violence sexuelle étant, sans nul doute, le fait de tous. Du moins de toute personne saine d’esprit.
Or, l’adhésion que pouvait susciter cette annonce, laisse cependant vite la place au rire en découvrant les affiches de la campagne, à dire peu …complètement démentes.
Citons-les : “As-tu déjà remarqué qu’il n’y a généralement pas de poubelle à tampons dans les toilettes réservés aux hommes ? Ça aussi c’est de la violence sexuelle”.
“As-tu déjà eu à corriger plein de fois la même personne sur tes pronoms ? Ça aussi c’est de la violence sexuelle”.
Et puis le rire laisse vite place à une certaine consternation : de toute évidence, personne au Collectif social, au Bureau de lutte contre l’homophobie et la transphobie, au Ministère de la Justice du Québec et au Gouvernement du Québec – entités à l’origine de la campagne – n’a jamais, ô grand jamais, subi de violence sexuelle. Une ignoble banalisation de la violence sexuelle, un affront envers tous ceux et celles qui ont véritablement subi une violence sexuelle.
Ces folies, pourrait-on penser, apanage de personnes complètement délirantes et ne concernant qu’une nanoscopique partie des sociétés occidentales, crée cependant un climat anxiogène, puisque les fautifs – et il suffit d’une erreur sur le choix d’un pronom pour entrer dans la catégorie – sont pourchassés et soumis à des sanctions judiciaires. C’est de fait une véritable dictature LGBT qui s’instaure peu à peu. À coup de petits délires comme cette campagne ici présente, la mouvance entend transformer profondément notre société. Censure et délation devenant à l’ordre du jour comme durant les pires périodes staliniennes, ils imposent leur petite sensibilité à fleur de peau à tous, y compris jusque dans les institutions, normalement garantes d’une juste forme de neutralité.
Le temps où les homosexuels luttaient pour une véritable reconnaissance de droits fondamentaux – et non de caprices -, pour “être comme tout le monde”, le temps où les orientations sexuelles n’étaient qu’une information parmi d’autres et non un status simbol permettant l’accès à la tant enviée minorité LGBTQ** semble bien loin.
Dans une entrevue, Karl Lagerfeld racontait : « Enfant, lorsque j’ai demandé à ma mère ce qu’était l’homosexualité, elle m’a répondu : c’est comme une couleur de cheveux. Ce n’est rien, ça ne pose pas de problème« . Ce temps-là, avec son je-ne-sais-quoi de paradis perdu, semble effectivement révolu.
Peut-être est-ce de là, que les militants de la cause homosexuelle devraient repartir.
Audrey D’Aguanno
*Un cégep est un type d’établissement d’enseignement collégial public et unique au Québec. Il s’agit, dans le système d’éducation québécois, d’études supérieures qui suivent les études secondaires et précèdent l’université.
** excusez-moi si j’ai oublié quelques lettres, je n’entends pas me soumettre hebdomadairement aux absurdités de ces insensés en mal de reconnaissance.
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4 réponses à “Délire LGBT : l’absence de poubelle à tampons dans les toilettes des hommes serait une violence sexuelle au Québec”
LGBT, j’arrivais a comprendre l’acronyme mais QIA2S+ là j’avoue que je sèche. Peut être une référence au Quotient Intellectuel égal à 2 ou plus des abrutis qui on pondu ce genre d’ineptie ? Trudeau, Macron, chaque peuple doit subir le choix des irresponsables qui les ont élus.
Notre société occidentale est devenue un concours de conneries. Et il y a de plus en plus de candidats.
le pire c’est que leurs dérives forcent les médias à en parler, ce qui m’enrage
A tous !
Faites l expérience suivante :
Appelez un centre PMA et présentez vous comme un homosexuel qui a une amie de longue date (bientôt vieille fille) et demandez un rdv avec le service PMA pour envisager de faire un enfant entre un homme et une femme et aussi l élever.
A la clinique Mathilde à Rouen on m a dit que c était interdit par la loi juste avant le mariage pour tous !
Et tenez vous bien le médecin risque des centaines de milliers de euros d amende.
Et la secrétaire médicale finira par me dire « faites lui l amour « !
A Paris les deux tiers des bobos divorcent. Et souvent quand leurs enfants ont 5 ou 6 ans ou 10 ou 11 ans. Deux périodes charnières fragiles pour le développement du futur adulte.
En France on peut arriver à l aéroport avec un bébé acheté à l étranger et être reconnus parents biologiques !!
Et même certains trans commencent à demander un congés maternité a la justice ! Pour l heure c est encore refusé.
Mais pour combien de temps.
La mère c est celle qui pousse et qui à la naissance désigne le père. Et la l heureux élu souvent averti chiale.
C est beau une femme.
Voilà nous ne sommes pas tous des dégénérés.
Français réveille toi